Le Bovarysme

retenons que ces faits et ces personnages ont une grande portée sur la société, notamment Emma Bovary qui tout au long du récit s'agrippe sur le pilier de la perpétuelle insatisfaction morale qui définit  tout un courant littéraire qu'on appelle le Bovarysme. C'est pour quoi elle finie par tomber en chute libre sur le flanc de ses recherches fallacieuses. Nous conseillons donc à tous de s'accommoder à ce qu'on procède dans la vie ou de n'essayer  de rechercher  le superflu que sur le rapport de principes

retenons que ces faits et ces personnages ont une grande portée sur la société, notamment Emma Bovary qui tout au long du récit s'agrippe sur le pilier de la perpétuelle insatisfaction morale qui définit  tout un courant littéraire qu'on appelle le Bovarysme. C'est pour quoi elle finie par tomber en chute libre sur le flanc de ses recherches fallacieuses. Nous conseillons donc à tous de s'accommoder à ce qu'on procède dans la vie ou de n'essayer  de rechercher  le superflu que sur le rapport de principes

avec qui elle vit un amour platonique, et de M. Homais, pharmacien amateur d’idée reçues. Elle devient la maitrisasse de Rodolphe, gentilhomme-fermier qui la quitte rapidement. Emma s’endette et, abandonnée de tous, se suicide à l’arsenic. Le Bovarysme : Avec Emma Bovary, Flaubert a inventé un type universel : celui d’un être qui perd sa vie pour n’avoir pas su voir et accepter le réel tel qu’il est, pour n’avoir pas compris qu’un fossé sépare l’idée qu’on se fait de la vie et la vie elle-même

sentimentale), un défaut (Ex : l’arrivisme – Bel Ami ou le père Goriot) que chacun porte en soi. Habité par une passion, il devient un type chez Balzac (Ex : Rastignac est le type de l’ambitieux) et peut même s’élever au rang de mythe (Ex : le Bovarysme est forgé sur le nom de Madame Bovary). 4 – Le personnage au XXe siècle : La déconstruction * Conflits mondiaux et découverte de l’inconscient ébranlent la représentation de l’homme : le personnage romanesque entre en crise. Plongé dans un monde

valeurs et des anti-valeurs ainsi que des sensations fortes. L'auteur les décrits comme mauvais, car il ne trouve pas que cela est de la création mais de la reproduction. Il la considère comme une « littérature du prêt à jouir ». 6. « Le droit au bovarysme (maladie textuellement transmissible) » : droit à la « satisfaction immédiate et exclusive de nos sensations ». Daniel Pennac décrit tous les phénomènes liés à cette « maladie ». L'imagination qui enfle, les nerfs qui vibrent, le cœur qui s'emballe

longue date (l’avare, l’hypocrite, par exemple…) Flaubert pour sa part invente un type nouveau en créant le personnage de Madame Bovary à partir d’un fait-divers extrait d’une gazette de province. Il crée en quelque sorte un nouveau poncif : « le bovarysme ». Emma Bovary est-elle une exception ? On peut se poser cette question. Flaubert présente son héroïne comme une petite bourgeoise bien ordinaire, élevée au couvent. Mais il lui prête une énergie telle (cf l’article de Baudelaire sur Flaubert) que

deux mots contradictoires. Sigisbée : chevalier servant d’une dame Le cynisme : attitude cynique, mépris effronté des convenances et de l’opinion qui poussent à exprimer sans ménagements des principes contraires à la morale, à la norme sociale. Bovarysme : comportement d’une femme que l’insatisfaction entraine à des rêveries ambitieuses ayant un rôle compensatoire. Clichés : banalités qu’on redit souvent et dans les mêmes termes. Truisme : vérité banale, si évidente qu’elle ne mériterait pas d’être

iréalistes de son personnage. (livre mal compris lors de sa sortie , jugé immoral accusé de faire l'apologie de l'aldultaire et du suicide. L'intention premiere de Flaubert est de faire aparraitre ce que l'on a désigner apres coup comme le bovarysme , caractère d'une personne qui par exces de romanesque et de romantisme se fait trop d'illusions sur la vie et ne peut donc qu'être deçu voir à l'extreme anéantie par la réalité ) Problèmatique possible : pour annalyser se passage on cherchera

étoffes est sans doute un autre moyen de connaître la griserie de la vie exceptionnelle, rien n’y fait, elle est rattrapée par Lheureux et ses billets à ordre. Reste le suicide, la mort tragique digne de son modèle musical, Lucie de Lammermoor. Le bovarysme d’Emma se résume donc à un dévoiement de l’imagination par la lecture mal contrôlée, par le dégoût du monde réel trop plat comme la conversation du seul homme qui l’a vraiment aimée, Charles Bovary. 2) Rodolphe est un bourgeois enrichi qui prend

Mme Bovary fournit la preuve. Mme Bovary représente l’essouflement du romantisme résultant d’une trop grande idéalisation des sentiments. C’est ainsi qu’on assite à l’avènement du réalisme qui est un refus de l’idéalisation romantique du monde. BOVARYSME : expression introduite par Barbey d’Aurevilly : état d’insatisfaction affectif et sociaux qui se traduit par des ambitions démesurées.