Le Cadre Spatio Temporel Dans Un Récit

Tatiana et Richardson 2. L’action a. Le cadre spatio-temporel - Seule marque du cadre : S. Talha, lieu très peu précis, on ne sait pas dans quel pays le livre se situe. b. Annonce de l’action - Annonce de deux évènements importants : le bal et la maladie de Lol V Stein, qui vont tous deux jouer un rôle primordial dans la vie du personnage principal et qui vont intriguer le lecteur. B. Des informations imprécises 1. Cadre spatio-temporel - On ne sait pas situer St Talha, il faut s’imaginer

Le Havre. b) Pourquoi s’agit-il d’une nouvelle réaliste ? La nouvelle Boule de Suif est une nouvelle réaliste car il y a un cadre spatio-temporel réel. En effet, on sait que l’histoire se déroule en France en 1870-1871 plus précisément en Haute Normandie. Ce cadre spatio-temporel est bien connu de Maupassant qui a vécu à cette époque et dans cette région. Le récit est au cœur de l’Histoire : la nouvelle se déroule pendant la déroute de l’armée française face aux prussiens au moment de la chute

roman et ses personnages – visions de l’homme et du monde Premières Germinal ; Séance 1 : lecture analytique de l’incipit. Problématique : Comment l’auteur parvient-il à rendre compte du réel ? Objectif de la séance Etudier le cadre spatio-temporel du récit. Définir la fonction de l’incipit. Texte 1 : l’incipit (I, I, p. 19-20 - ed. Pocket) Dans la plaine rase, sous la nuit sans étoiles, d'une obscurité et d'une épaisseur d'encre, un homme suivait seul la grande route de Marchiennes

des personnages, cadre spatio-temporel, imparfait, plus que parfait, passé-composé, présence du narrateur) ; conte : registre merveilleux ; ordre de présentation des personnages est perturbé ; leur description physique et leurs qualités ; description du château ; Pangloss ; Candide ; la métaphysico-théologo-cosmolonigologie) ; conte philosophique. Incipit : Les premières lignes Différent de Excipit : les dernières lignes On a affaire à un conte qui normalement est un récit court. Nous sommes

verrons un utopie le tout dans un récit agréable et plaisant, utilisant le

Lecture analytique 1 Acte I, Scène 1 : : Une scène d’exposition I – les repères spatio-temporels A - le moment : - un soir d’orage : didascalie initiale ; l. 2 « dans le noir » ; l. 5 « par cet orage » ; didascalies l. 78, 82, 88 – - pas d’époque déterminée B- le lieu : • didascalie : « une cabane de pêcheurs » • l.11 : « à vingt lieues de toutes maisons » • à proximité « lac » et « cascade » l. 12 – 13 • ( comme dans un conte, un lieu et une époque imprécis II –

 A propos les nouvelles 1** Définition : Une nouvelle était au début un long récit fictif écrit en prose (paragraphe), qui pouvait de ce fait être publié aussi bien dans les journaux qu’en recueil. Ce genre littéraire apparu à la fin du Moyen Âge, était alors proche du roman, et, d’inspiration réaliste1, se distinguant peu du conte. À partir du xixe siècle, les auteurs ont progressivement développé d’autres possibilités du genre, en s’appuyant sur la concentration de l’histoire pour renforcer

ainsi le cadre spatio temporel, les personnages , le thème et le registre (manifestation par le langage de grandes catégories d'émotions ). Le passage étudié commence par la conjonction de coordination « donc » placée en début de phrase. Ce procédé est rare car il est d'usage de placer cette conjonction entre 2 propositions. Sa position en début de phrase rappelle que ce passage est un prolongement de l'incipit et résume les faits précédents. Nous y retrouvons le cadre spatio temporel décrit précédemment

pour une lecture analytique du texte D’Holbach, extrait de l’œuvre Le Bon sens Il s’agit de montrer en quoi ce texte relève de l’apologue (reportez-vous à la définition) : ici, c’est un conte philosophique planté dans un décor oriental. I) Un récit plaisant (On s’attachera à l’analyse des procédés repris du conte traditionnel merveilleux, Et plus généralement à tous les procédés destinés à séduire le lecteur) a) une structure narrative très simple - schéma narratif très simple qui s’apparente

différents personnages, Melle De Chartres, future princesse de Clèves, Mr Myriel, évêque de digne dans les Misérables, Jacques et son maitre dans Jacques et le Fataliste dévoilés tous les quatre par le point de vue omniscient d’un narrateur extérieur au récit. Le portrait de Melle De Chartres est pauvre en détails : sa beauté « qui attira les yeux de tout le monde » (l 25) est hyperbolique et conforme aux critères de beauté de l’époque. Mr Myriel est « un vieillard d’environ soixante quinze ans » (l 2)