Le Canard Au Ballon

chargés de signification, alourdis par leur sens, qui finissent toujours par succomber, s’écrouler… L’ÉLÈVE : … dans les oreilles des sourds. LE PROFESSEUR : C’est ça, mais n’interrompez pas… et dans la pire confusion… Ou par crever comme des ballons. Ainsi donc, Mademoiselle… (L’élève a soudain l’air de souffrir). Qu’avez-vous donc ? L’ÉLÈVE : J’ai mal aux dents, Monsieur. LE PROFESSEUR : Ca n’a pas d’importance. Nous n’allons pas nous arrêter pour si peu de chose. Continuons… L’ÉLÈVE –

football. Seule l’équipe de France restant visible sur des chaînes non payantes (TF1 et M6). Ce nouveau match Be In -Canal+ oppose deux adversaires aux moyens humains et techniques conséquents. Chaque chaîne mise sur l’expertise d’anciennes vedettes du ballon rond qui, au-delà du commentaire des matchs, officient dans des émissions où l’analyse pertinente s’efface parfois devant des débats stériles. Qualité des retransmissions et des commentaires, habillages sonores et visuels, comparaison des offres…

aussi zen que le golf. Oui, je sais, il n’y a rien de plus ennuyeux que les analogies sur le golf, mais soyez un peu indulgentes. Attendez de voir où je veux en venir. À moins d’être un joueur vraiment nerveux (le genre à balancer son club sur le canard qui a osé faire coin-coin au mauvais moment), ce qui n’est pas mon cas, chaque balle est une nouvelle opportunité, sans connexion directe avec celles qui précèdent et celles qui suivent. Chaque trou vous offre une chance de montrer qui vous êtes et

légère, court de rayon en rayon pour choisir les ingrédients d'un pique-nique sur le pouce : pain au sésame, pastrami, cheescakes, pancakes, sirop d'érable du Vermont... Puis ils déjeunèrent sur un banc de Central Park en face de la mare aux canards qui est toute gelée. Au dessert, elle humecte de salive une serviette papier, se penche vers Sam et lui essuie une goutte de sirop qui coule sur sa lèvre. Un froid sec et pur remplit l'atmosphère. L'air brûle comme le feu mais le ciel est sans

main et, légère, court de rayon en rayon pour choisir les ingrédients d’un pique-nique sur le pouce : pain au sésame, pastrami1, cheesecake, pancakes, sirop d’érable du Vermont... Puis ils déjeunent sur un banc de Central Park en face de la mare aux canards qui est toute gelée. Au dessert, elle humecte de salive une serviette en papier, se penche vers Sam et lui essuie une goutte de sirop qui coule sur sa lèvre. Un froid sec et pur remplit l’atmophère. L’air brûle comme le feu mais le ciel est sans nuage

peu sur la déesse romaine. Elle regretta de ne pas l’avoir étudiée davantage, mais le latin ne lui était jamais venu avec la même facilité que le grec. En contrebas, la coque de l’Argo II, en suspension au-dessus du forum, luisait comme un immense ballon de bronze. – Lorsque nous partons en guerre, reprit Reyna, nous commençons toujours par une visite au temple de Bellone. À l’intérieur, il y a un carré de terre symbolique qui représente le sol ennemi. Nous y plantons une lance pour signifier que

avait fait la moitié du chemin dans un hamac suspendu à un bâton que deux hommes portaient sur l’épaule, car ses jambes avaient monstrueusement enflé et leurs varices crevaient comme des bulles. Bien qu’ils fissent peine à voir avec leurs ventres ballonnés et leurs yeux mourants, les enfants résistèrent mieux que leurs parents au voyage qui s’avéra pour eux, la plupart du temps, une source d’amusement. Un matin, après bientôt deux ans de marche, ils furent les premiers mortels à découvrir le versant

très vite que les femmes s’intéressent à son argent. Elles défilent toutes dans l’espoir de lui faire les poches. Il n’a qu’à montrer qu’il est riche ou qu’il conduit une belle voiture et possède une grande maison pour qu’elles s’alignent comme des canards. » D’accord, beaucoup d’hommes riches aiment s’afficher avec une Barbie. Mais leur argent est généralement leur seul atout et leurs pimbêches ne font pas long feu. Dès qu’une femme ne fait plus l’affaire, ils la remplacent par un nouveau modèle. Un

essaye d’aller plus loin et les Conventions de la Haye (1899 et 1907) élargissent les droits de la guerre à la guerre maritime et adoptent un règlement détaillé sur les lois et coutumes de la guerre. Terre, mer, air (pas de projectiles lancés par les ballons, on ne se doute pas que les avions seront des machines de guerre). On rassemble aussi les devoirs des occupants et des occupés : respecter les institutions en place (mais mise en place d’institutions occupantes), respecter les usages et coutumes des

l’ogre sanguinolent qui vociférait. Ameutant les soldats et les gardes, il dirigea les canons de La Valette sur mon navire. Il y eut une explosion. Je vis le boulet arriver sur moi, je me convainquis, en une seconde, que j’allais l’arrêter comme un ballon. Je tendis mes mains puis… Le choc me tira du sommeil. Autour de moi, la cellule reposait dans le calme de la nuit maltaise. L’Afghan ronflait sur sa couche, et Boub, à son habitude, dormait en sifflant du nez. Je venais de faire un mauvais rêve.