Le Capitalisme Marchand

une Brute. Pourtant la croissance n’est qu’un indicateur bassement quantitatif qui ne mériterait que mépris ou indifférence. La croissance est l’augmentation du Produit National Brut (PNB) qui est la somme des valeurs ajoutées par la production marchande. C’est un outil plutôt rustique qui est indifférent aux petits bonheurs de la vie : si je me promène (à pieds) le long de la mer le PNB ne varie pas ; au contraire si je suis coincé dans un bouchon il augmente, si j’ai un accident il augmente

valorisat° des territoires. 1. Diffus° du capitalisme : processus géohistorique 1ere mondialisation (capitalisme marchand) qui remonte au 15eme siècle avec les explorateurs et marchands €. 1ère échange de marchandises à échelle mondiale. Applicat° financière et devel du capitalisme. Découverte de mine d'or = besoin de financement. Crée une compagnie où des particuliers donnent une partie de leur revenu qui permet ces act°. 2ème mondialisation (capitalisme industriel avec la révolut° indust), 1850

approche est très contestée aujourd’hui. B) De la « curialisation » à la production de masse. Avant la phase d’industrialisation, seule une partie élitiste de la société avait accès à la consommation. En effet, seule la noblesse, le clergé et les marchands pouvaient s’employer à acquérir des biens secondaires ou des biens de valeur. Le reste de la société, c'est-à-dire la majorité de la population, se concentrait sur l’acquisition de biens essentiels, dits de première nécessité (alimentation, habitat

Sujet : Faut-il toujours plus de croissance ? Dans le capitalisme, la notion de croissance à toujours été un facteur clé de succès, le paramètre qui est le plus souvent pris en compte afin de témoigner de l’état de santé de l’économie d’un pays. Les états ont donc souvent pour objectif d’aller comme le dit N. Sarkozy aller « chercher ce point de croissance qui nous manque ». Cependant, on peut se demander si le seuls moyens pour les économies est de rechercher jusqu’à l’obsession l’augmentation

1 Le mercantilisme La richesse des nations est l’enrichissement monétaire et commercial. Le mercantilisme est la justification du rôle des marchands qui, jusque là, sont tenus en suspicion par l’Eglise et méprisé par l’aristocrate. Il cherche à démontrer que la puissance du roi repose sur la disponibilité de métaux précieux (marchands). Si les marchandes sont riches ils pourront plus payer l’Etat royale qui a son tour sera plus riche. Les économistes suggèrent qu’il existe différents courants :

c’est-à-dire sur ses fondements théoriques et pratiques, historiques, sociaux et organisationnels. C’est un tel retour que propose ce « Repères ». Il en trace l’évolution historique, examine son rôle et les conditions de son insertion dans le capitalisme contemporain, questionne sa pratique normalisée et, plus généralement, son aptitude à produire, en conjonction avec l’audit externe, une représentation « vraie » de l’entreprise et de ses performances. Il fait ainsi apparaître les multiples enjeux

Transformations et difficultés du capitalisme 1. L'apogée du capitalisme Les progrès de l'industrialisation Réalisation de grands marchés nationaux avec unités italiennes et allemandes + encouragement de l'économie par l'empire en France = contexte favorable au capitalisme industriel, ce qui donne de la croissance dans les pays développés L'industrialisation progresse partout dans le monde, s'accélérant dans les pays où elle est déjà présente et se développant dans de nouveaux territoires (ex:

Lyon au 16ème siècle Population : Au 16ème siècle, Lyon est une ville importante située sur la route de l’Italie qui fascine monarques, artistes et commerçants français. Peuplé de 60 000 habitants la ville accueille en permanences de nombreux marchands qui restent souvent après le temps des grandes foires. Cité cosmopolite, elle accueille aussi bien Allemands et Flamands dans le commerce des draps et l'imprimerie que des Italiens (Florentins, Lucquois, Milanais...) qui s'occupent plus particulièrement

autant L'économique est l'art d'accumuler les richesses ...pour acquérir et fortifier le pouvoir : celui des marchands et celui du Prince Les thèses mercantilistes, : souvent caricaturées, serviront d'antithèse aux premiers développements de la « science économique » classique : La richesse est monétaire elle résulte du commerce et la richesse de la Nation, qui s'identifie à celle de ses marchands et de son Prince, doit être favorisée par un interventionnisme légitime de l'Etat (protectionnisme, politique

Dynamique du capitalisme, 1985), Fernand BAUDEL explique que les premières manifestations du capitalisme commercial (de la chrématistique)  se sont développées dès le Moyen Age (16ème 17ème siècle) en Italie et aux Pays-Bas. Le commerce maritime avec l'Orient, a enrichi les cités italiennes à la suite des croisades, tandis que les Pays-Bas, à l'embouchure du Rhin, font le lien entre l'Italie et l’Europe du Nord dominée par la ligue hanséatique. Dans les grandes cités, les marchands de draps et de