Le Capitulaire De Quierzy Extrait 877

le sacre peut comporter des éléments qui ne sont pas forcément religieux (serment, couronne). Les étapes sont les suivantes : Un serment prononcé par le roi au bénéfice de son Eglise et de son royaume. Le serment n’apparaît qu’au siècle suivant, en 877 avec Louis II dit le Bègue à l’instigation de l’évêque Hincmar de Reims. L’acclamation : la foule acclame le roi, le reconnaît comme roi. La consécration, c’est-à-dire l’onction d’huile sainte. Le couronnement qui se traduit par le dépôt de la couronne

le sacre peut comporter des éléments qui ne sont pas forcément religieux (serment, couronne). Les étapes sont les suivantes : Un serment prononcé par le roi au bénéfice de son Eglise et de son royaume. Le serment n’apparaît qu’au siècle suivant, en 877 avec Louis II dit le Bègue à l’instigation de l’évêque Hincmar de Reims. L’acclamation : la foule acclame le roi, le reconnaît comme roi. La consécration, c’est-à-dire l’onction d’huile sainte. Le couronnement qui se traduit par le dépôt de la couronne

Constitutions impériales c'est à dire des lois de Rome qui étaient connues et appliquées dans l’empire. C’était le Droit Romain. Le Bréviaire d’Alaric rechercha à simplifier ce droit issus du Code Théodosien, cela en ajoutant aux Constitutions impériales des extraits de doctrines des juristes. Le Bréviaire d’Alaric constitua une source importante de conservation de l’héritage juridique romain car il sera utilisé dans la Gaule devenu Franque et cela par la population d’origine Gallo-romaine et cela jusqu’au XIème

l'OST). C'est l'armée qui est organisée dans un cadre vassalique. Aboutissement du processus de vassalisation favorisé par le pouvoir central : en 847, le capitulaire de Mersen (c'est un acte ayant une valeur législative sous les Carolingiens) pris sous Charles le Chauve, encourage tous les hommes libres à se choisir un seigneur. Donc ce capitulaire les incite à utiliser les liens personnels, à généraliser la pratique de la vassalité dans toute la société carolingienne. Cette idée d'utiliser la vassalité

personnalité des lois. Les actes des lois carolingiennes sont appelés capitulaires. On distingue plusieurs catégories de capitulaires : - Les capitula missorum : ce sont des instructions qui sont adressées aux Missi Dominici. Ils ont un caractère administratif. - Les caoitula legibus addenda : ce sont des capitulaires additionnels aux lois : ils viennent modifier la loi nationale de tel ou tel peuple. Ces capitulaires doivent théoriquement être acceptés par l’assemblée du peuple concerné

sa volonté de manière générale, il prend donc des actes législatifs qui s'imposent à tous ses sujets, cette nouvelle unité législative va faire disparaitre la personnalité des lois. Ces actes législatifs se nomment les capitulaires plusieurs sortes: - Les capitula missorum ont un caractère administratif, ce sont des instructions envoyées par le roi à ses agents administratifs particulièrement aux missi dominici (inspecteurs impériaux).

créatrice s’est tarie ; on glose, on résume, on publie des manuels destinés aux étudiants et aux praticiens. - doctrine + simple, voire sommaire : composition de nombreux abrégés, résumés, le plus souvent assez brefs (Ex : Les sentences de Paul, extraites des ouvrages de Paul et compilées verts 325 ; cf. aussi les Règles d’Ulpien) - œuvre de compilation, + que de création : l’emp. s’est réservé le quasi monopole d’une production originale de la norme jurid. D’où également l’imptce des commentaires

210 Paragraphe 2. Les sources du droit mérovingien 210 Section II. L’empire carolingien ( 751-888-987 ) 225 Paragraphe 1. Les institutions publiques carolingiennes 226 Paragraphe 2. Les sources du droit : les capitulaires impériaux 230 Chapitre II. La féodalité ( IXème – XII ème siècles ) 235 Section I. Les seigneuries 236 Paragraphe 1. Les relations féodo-vassaliques 236 Paragraphe 2. La seigneurie banale 240

et y rajoute toutes les nouvelles constitutions impériales depuis 438, il est achevé en avril 529 et est publié en novembre 534. > le digeste: le recueil de l'ensemble de la jurisprudence romaine afin de mettre à la disposition des juristes les extraits les plus significatifs des plus grands juristes consultes notamment ceux du 3e s, pour le rédiger il met en place une comission de 16 personnes qui va se lancer à la recherche de cette jurisprudence romaine et sélectionne les passages les plus significatifs

exploits de ses ancêtres et les siens propres. Il chargea de ce soin un chanoine de SaintQuentin, Doon. L’œuvre, exécutée avant 1026 , est pleine d’enseignements. On y surprend à la tâche un écrivain du XIe siècle occupé à compiler les renseignements extraits d’annales antérieures, qu’il ne cite jamais, avec quelques communications orales, dont il fait grand état, et avec les embellissements que lui suggéraient tantôt ses souvenirs livresques, tantôt, plus simplement, son imagination. On y saisit au vif