Le Carnaval des animaux

séduire en provoquant l’imagination. En effet la plume de parure renvoie dans notre société à différents terrains imaginaires. Depuis les plumes d’autruches de la déesse Maât dans l’Egypte ancienne aux feux d’artifices multicolores des costumes de carnaval, elle a été utilisée dans des contextes très différents. En fonction de notre culture et de la société à laquelle nous appartenons elle évoquera tel ou tel univers. Dans les sociétés occidentales et contemporaines les images provoquées par la plume

a) Surligne, parmi les mots proposés ci-dessous, les 9 thèmes majeurs de la dédicace que tu viens d’étudier. enfant nourriture amitié cuisine grande personne faiblesse grandeur télévision souffrance animaux tristesse nature générosité sport compréhension du monde Vérifie tes réponses dans le corrigé avant de poursuivre. © Cned, Français 6e, — © Cned – Académie en ligne 65 Séquence 8 — séance 2 b) Classe les thèmes

du Moyen Age vient du clergé : les étudiants sont des clercs et étudient la scolastique (enseignement de la théologie) à la Sorbonne. La fête des clercs était la fête des « fous » (désordre pour mieux rompre avec la monotonie du travail comme le carnaval aujourd’hui). Donc la naissance des idées européennes est née de la connaissance des clercs Selon Aristote le monde est fait pour Dieu (finaliste). • Renaissance : la pensée grecque et la représentation hellénique d’origine reprend le dessus

Table des matières Introduction 3 Typologie des caricatures de la Seconde Guerre mondiale 4 I. Représenter l’État 4 A. Les symboles nationaux 4 B. Les chefs d’État 11 II. L’animalisation 17 A. Animaux emblématiques 17 B. Animaux attribués 19 III. Les référents culturels 24 A. Références au réel 24 B. Références de fiction

force de ses muscles. »· Insistent sur la force du moine • Les ennemis (soldats de Picrochole) : une image néfaste : des pillards en déroute, avides et sans scrupules· Ne se comportent plus comme des soldats, mais comme des animaux goinfres qui dépouillent le clos des moines. · « les ennemis, qui sans ordres, ni enseignes, ni trompettes ni tambours, vendangeaient au milieu du clos. » (l. 79-80) · Enumération

la civilisation qui bride les instincts sauvages → refoulement des fonctions instinctives, répression des désirs asociaux qui pourraient nuire à autrui (cf. Malaise dans la civilisation de Freud et La civilisation des mœurs de Elias) . Animal social = animal domestiqué → règles contraignantes, frustrantes → rire 3 2.2: Le rire comme antidépresseur et comme remède à la douleur . ex.: plaisanteries scatologiques + grossièretés dans les salles d'opération . rire = moyen de défense, protection

fragile, Ainsi qu’une couleuvre agile, Fuir et glisser entre mes bras ! Or si d’aventure on s’enquête Qui m’a valu telle conquête, C’est l’allure de mon cheval, Un compliment sur sa mantille, Puis des bonbons à la vanille Par un beau soir de carnaval Alfred de Musset L’écolier J’écrirai le jeudi j’écrirai le dimanche quand je n’irai pas à l’école j’écrirai des nouvelles j’écrirai des romans et même des paraboles je parlerai de mon village je parlerai de mes parents de mes aïeux

interprétatif. *Procédé explicatif, synthétiser ce qui a été dit dans l’explication. Pantagruel : Carnavalesque : comique, humour Livre écrit par Bakhtine « L’œuvre de François Rabelais et la culture populaire ». Carnavalesque signifie carnaval ; La fête du carnaval était le moment ou le peuple pouvait se moquer du gouvernement, bouleverser la hiérarchie des valeurs. Dans le carnavalesque toutes les hiérarchies explosent. « Le mange merde » de Rabelais représente un renversement des valeurs. Le

télécommande. Passent et repassent ainsi des animaux, des brancardiers, des porteurs de faux, des voitures, des cigognes, des gens quelconques, des militaires en armes, des bandes de jeunes des banlieues, des tourterelles, des animateurs culturels, des femmes nues… Les un crient, les autres parlent, d'autres jouent du piston ou du bandonéon, d'autres ne font que se hâter en silence. Sur l'écran on voit les ombres que les projecteurs découpent dans ce carnaval incertain. Et, dans les écouteurs, la foule

désignant le ventre, le terme « hystérie » associe imman- quablement ce trouble à la féminité. Cette association n’est pas neuve : elle renvoie à une théorie remontant aux Égyptiens et aux traités grecs de médecine, selon laquelle la matrice est un animal insatisfait qui se montre mobile et capricieux, au point de se loger dans la gorge ou dans le cerveau. Traditionnellement, la femme est présentée comme faible, soumise à ses pulsions, incontrôlable. À la fin du 19e siècle, la société européenne