Le Cercle Vicieux De La Déflation

remet plus ses billets en circulation afin de maintenir un taux de couverture assez élevé. => Il y a donc une diminution de la masse monétaire, // à la diminution d'émission de la masse d'or =>Une diminution de la masse monétaire entraîne une déflation : -> I diminue, mais les X augmente -> rééquilibre de la balance de paiement Cas de la G-B : Les anglais on fait bcp X, et ont donc une grande rentrée d'or. 2 choix : - soit, on augmente la masse monétaire - Soit mutualisation des paiements

Ø Ø - Phénomènes de contagion à t Raréfaction du crédit : elle est liée au poids importants des prêts improductifs baisse des crédits distribués pour assainir le bilan des banques rationnement du crédit même pour les entreprises saines cercle vicieux : récession accumulation prêts improductifs faillites Baisse de la croissance à l étranger baisse des prêts des banques vis-à-vis de visl extérieur ralentissement de la croissance dans ces pays partenaires(Exemple : Japon et pays d Asie du sud

répartition du revenu ne change pas. Hausse du taux d’épargne, à taux d’épargne constant, le stock de capital s’accroit donc le capital par tête s’élève ; Cercle vertueux, croissance illimitée … Le processus de croissance est endogène et cumulative. EXEMPLE des économies du Nord pendant les trente glorieuses. Qu’est- ce qu’il va bloquer ce cercle vertueux ? Pourquoi cela ne continue pas ? Extension du marché va limiter la croissance. Le marché cesse de s’étendre, dans le cas où les besoins seraient

l’inflation est un mal, elle ne l’est pas toujours : l’inflation peut opérer une redistribution plus égalitaire des revenus, comme il ne faut pas oublier qu’elle a accompagné des périodes d’essor, telles que les trente glorieuses, tandis que la déflation(≠ inflation) accompagnait la crise de 1929. Nous allons, justement dans ce chapitre, comprendre l’inflation ainsi que ses différentes origines, et mettre en évidence ses effets et conséquences complexes, aussi bien sur le domaine économique que

marchés financiers (les marchés boursiers new-yorkais s'effondrèrent de manière durable le lundi 28 octobre 1929, dit lundi noir). Les événements de cette journée sonnèrent le début d'une dépression économique mondiale qui mena à une importante déflation et à un accroissement significatif du chômage. |Sommaire | |[masquer]

→ économies d'échelles via une augmentation des volumes de P°. Pour les firmes c'est une stratégie de domination par les coûts d'autant plus accepté par le consommateur que la concurrence est faible. C'est une période de plein-emploi basé sur un cercle vertueux durant laquelle l'investissement permet la création d'emploi il s'agit d'investissement de capacité, ces emplois assurent des revenus supplémentaire pouvant être à la fois consommé ou épargner, épargne servant à financer de nouveaux investissements

donc en place un cercle vertueux au où le financement l’économie et l’activité économique s’autoalimentent et créent un effet d’amplification. Inversement, en cas de retournement de la conjoncture, les primes de risques augmentent puis le patrimoine des consommateurs et la valeur nette des entreprises se dégradent. Les emprunts sont donc plus onéreux et plus rares. A ce phénomène s’ajoute un nombre de défauts de paiement bien plus important. Se met alors en place un cercle vicieux, avec une accélération

prix augmentent, et de plus en plus vite. κ Les prix augmentent et le rythme baisse : c’est une phase de désinflation. λ Le niveau baisse et le rythme est négatif : il s’agit d’une phase de déflation, le niveau des prix baisse. Surtout ne pas confondre désinflation et déflation ! Les deux graphiques traduisent les mêmes phénomènes, de prix ou de quantités, et pourtant leurs configurations sont différentes, ce qui implique la nécessité lors d’une analyse des graphiques de repérer

       En  période    de  récession  un  taux  d'intérêt  trop  élevé  peut  conduire  à  la  déflation.  Celle-­‐ci  correspond  à   une  baisse  des  principales  variables  économiques.   On   peut   la   voir   comme   un   cercle   vicieux   :   la   baisse   des   prix   diminue   les   profits   des   entreprises.   Elles   diminuent   alors  

bancaires mondiaux. La suite de la crise financière fut un enchainement classique : endettement des agents non financiers ; baisse des dépenses de consommation et d’investissement ; baisse de la production ; hausse du chômage et ainsi de suite. Le cercle vicieux s’est progressivement installé, débouchant par la suite sur une crise économique internationale propagée à travers le canal de la mondialisation. Nous revenons sur le contexte et la genèse de la crise financière, puis sur son évolution et sa propagation