Le Cercle Vicieux De La Déflation

mesures du New Deal) : • Réduction du temps de travail (de 48h à 40h) sans réduction du salaire et 15 jours de congés payés. • Politique conjoncturelle : Relance de la consommation (Dépression – diminution des prix (déflation) Les prix augmentent, transferts sociaux • Relance des dépenses publics, des crédits d’équipement et investissement public, salaires des fonctionnaires. • Relance de l’investissement public et privé. Remédier à la crise

lutte du revenu national. Les salariés veulent augmenter leur part du revenus. Si les grêves réussissent, les salariés voit le salaires augmenter, comme les profits vont baisser, les prix de ventes vont augmenter, le Pouvoir d’achat va diminuer. Cercle vicieux. Lutte des groupes sociaux entre eux pour se partager le revenu national. C’est l’inflation sociologique, si on réduit cette inflation, TOUTE l’inflation disparaît. On commence par geler les salaires, la demande stagne, donc on lutte contre l’inflation

certaines banques et des « béquilles » toujours actives en provenance des politiques monétaires et des politiques budgétaires. Un premier bilan permet de penser que, par leur réactivité, les banques centrales ont permis d’éviter le pire, à savoir une déflation mondiale. Si l’on remonte de la gestion à la prévention de la crise, ces banques centrales auraient-elles pu et dû agir autrement, et quelles leçons en tirer pour l’avenir ? Tel est l’objet principal du rapport qui suit. Ce rapport exploite et éclaire

qu’avant il était pour le laissé faire. Analyse factuelle et les réponses concrètes, crise de 1929 financière, économique puis à la fin devient sociale. Banques : canal de transmission. Donc chômage, donc consommation moindre, moins demande faillite … Cercle cumulatif de la récession. Il y a eu la réponse néo classiques, pour eux (Jean Baptiste SAY) la crise n’existe pas, loi des débouchés, la monnaie est un voile, les produits s’échangent contre des produits, toute offre créée ca demande.il y a pas de

depuis la grande dépression du début des années 30, en Amérique latine au début des années 80, dans les pays nordiques au début des années 90 et en Extrême-Orient tout dernièrement.15 La gestion macro-économique doit éviter deux menaces: la déflation et l'hyperinflation Si la politique monétaire (et, éventuellement, les règles prudentielles) se relâche, et si la banque centrale octroie des crédits à des banques et des entreprises en difficulté, il y a danger d'hyperinflation. Plusieurs pays

crédits lié à une crise bancaire, les banques rationalisant fortement le crédit alors même que les tx d’intérêts réels peuvent être très bas). Particulièrement fort après la récession de 97-98. Canal du crédit = gelé entraînant l’éco dans un cercle vicieux.91 Le Japon a assouplit sa politique de création monétaire de 89 à 2006. Cette pol ne s’est pourtant pas traduite par un redémarrage du crédit. Malgré des tx d’intérêts directeurs en Europe et aux Etats-Unis, depuis 2009, tx de refinancement de

révélèrent désastreux pour le Trésor. En 1952, Antoine Pinay décide de rompre avec la politique d’investissements que menaient la France depuis la sortie de la Seconde guerre mondiale pour adopter une politique d’économies budgétaires, de déflation. Il lance alors, en 1952 puis en 1958, une amnistie fiscale pour favoriser l’entrée de capitaux. Cette amnistie exonérera les souscripteurs de cette rente d’impôts et de taxes diverses (taxe proportionnelle et taxe progressive entre autres). De plus

efforts liés aux remboursements de la dette © Groupe Eyrolles 42 Économie et marchés financiers – Perspectives 2010-2020 seraient en tout ou partie annihilés par la déflation. C’est le pire des scénarios. C’est pour cela que les autorités monétaires et politiques veulent à tout prix éviter le spectre de la déflation et qu’elles seraient en revanche assez conciliantes avec une inflation modérée. Pour mémoire, le scénario déflationniste est justement celui qui est arrivé dans les années 1930

fermées de haies, de levées de terre ou de mur de pierres sèches, le propriétaire est affranchi des contraintes collectives et peut généralement effectuer la rotation de ses cultures comme il l’entend. Ce système enferme l’agriculture dans un cercle vicieux. En raison de l’importance des céréales, la part des finages consacrés au bétail reste exiguë. En raison également du manque de fumure, la jachère pratiquée un an sur deux, ou un an sur trois sur les terres de labours est la seule réponse possible

Keynes pense que le chômage peut être un phénomène involontaire, lié à une insuffisance de la demande effective. Ni les entrepreneurs, ni les ménages peuvent contrer ce phénomène. Seul l’Etat, agent extérieur au marché, est en mesure d’inverser ce cercle vicieux. Ainsi, Keynes plaide une intervention conjoncturelle de l’Etat pour rétablir concurrence et équilibre. Keynes est favorable à un peu d’inflation, à condition qu’elle demeure maîtrisée, car c’est un facteur important pour la croissance : les