Le Cercle Vicieux De La Déflation

DANS LE CONTEXTE DES PLANS DE RELANCE  * 1. De la « trappe à liquidité », qui rend la politique monétaire conventionnelle inopérante... * 2. ... à un recours massif à la politique budgétaire, pour évacuer le risque de déflation * C. QUELLES ÉVOLUTIONS STRUCTURELLES ? ÉLÉMENTS POUR LE DÉBAT * 1. Hier : des politiques monétaires pesant sur l'activité ?  * a) Un risque inflationniste probablement surévalué dans la zone euro

reprendre leurs investissements financiers. Instauration du Gold Exchange Standard (???) + Plan Dawes = confiance renouvellée des investisseurs américains. Mais maintien de tendances protectionnistes. Exemple : dévaluation du franc en 1928. politique de déflation en 1925 en Grande-Bretagne (austérité budgétaire, restriction du crédit). La stabilisation monétaire à partir de 1925 entraîne le retour à la prospérité, avec phase d'expansion industrielle et financière. Exemples : Etats-Unis, taux de croissance

l’histoire économique 22 19. La Révolution industrielle anglaise (1760-1830) 50 20. La révolution des transports 54 21. La croissance des États-Unis au XIXe siècle 22. La restauration Meiji au Japon 58 62 23. La déflation britannique des années 1920 66 24. L’hyperinflation allemande 68 25. La « Nouvelle Économie Politique » en URSS 70 26. La crise de 1929 74 27. Le New Deal 78 V Table des matières 28. 29. 30. 31. Les Trente

réduit son CV (licenciement) pour restaurer son taux de profit. Mais, l’arrêt de l’accumulation de capital et la diminution accrue d’une de mande solvable suscite une nouvelle phase de surproduction. Le système capitaliste s'engage dans un cercle vicieux de déflation et de récession qui peut le conduire à sa perte d'après Marx. Ainsi son analyse du système capitaliste lui permet, en même temps qu'il condamne un système inégalitaire due à la supériorité des profits par la recherche du PT sur les besoins

problèmes existants aujourd’hui, et le plongement dans la crise, sont en bonne mesure le fruit des divergences déjà existantes entre les économies. Ces divergences, dans une union monétaire imparfaite, ne font qu’accroître les déséquilibres dans un cercle vicieux. Si l’on omet la période 2008-2011, on voit déjà des déséquilibres continus. Une telle observation permet de considérer la zone euro comme une zone fermée, donc les déséquilibres ne viennent pas de ses rapports avec le reste du monde, mais du

commande d’infrastructure ou encore l’embauche de fonctionnaires. Quelque soit l’origine des commandes supplémentaires adressées aux entreprises, ces dernières vont augmenter leurs productions. Un processus cumulatif d’expansion se met en place nommé cercle vertueux de la croissance : l’augmentation du volume de production entraine une distribution de revenus supplémentaires qui entraine une demande supplémentaire de biens de consommation ce qui entraine des investissements complémentaires ce qui entraine

prix : le PIB est libellé en € ; il peut donc augmenter du seul fait de l’augmentation des prix, ce qui n’est pas un signe d’enrichissement national. Ainsi, on distingue le PIB en valeur du PIB en volume. Pour passer du 1er au 2nd, on procède à une déflation (on retire l’effet prix en divisant l’indice de l’augmentation du PIB réel par l’indice de l’augmentation des prix). On distingue ainsi le PIB en euros constants du PIB en euros courants. Le PIB en valeur exprime le PIB d’une économie en monnaie

va permettre de refonder la relation de Phillips (on parle désormais de "courbe de Phillips augmentée des anticipations"). 24 Courbe de Phillips en zone Euro 25 Courbe de Phillips aux Etats Unis 26 Pour mettre un terme à ce cercle vicieux, Milton Friedman propose l’abandon des politiques monétaires expansionnistes au profit de règles fixes. Il suggère de déterminer un objectif de croissance pour la masse monétaire compatible avec le taux de croissance moyen de la production afin

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premières, aux effets du séisme survenu au Japon et aux conséquences de l’amplification de la crise de la dette souveraine dans la zone euro. En effet, l’activité dans les pays développés, notamment dans la zone euro, a subi l’impact négatif du cercle vicieux résultant des interactions entre détérioration de la solvabilité des banques et accélération de leur processus de désendettement-recapitalisation, dégradation du fonctionnement des marchés interbancaires et contraction du crédit. Dans ce contexte