Le Cercle Vicieux De La Déflation

supprimer la propriété privée des moyens de production. II.LA PENSEE ECO CONTEMPORAINE     A)le courant keynésien      inflation c'est    l'augmentation général des prix      désinflation     c'est la baisse progressive et générale des prix      déflation l'entreprise    vend à perte (=sous le prix de revient)      stagflation c'est    l'addition de l'augmentation de l'inflation et de la baisse de la    croissance KEYNES propose une théorie alternative au courant libéral. Il part du principe que le

des revenus que cet actif peut rapporter dans le futur. Inflation = Diminution du pouvoir d’achat de la monnaie, se traduisant par une hausse cumulative du niveau général des prix. Désinflation = Période de ralentissement de la hausse des prix. Déflation = Réduction simultanée et cumulative du niveau de production, des revenus et des prix. Stagflation = Situation économique caractérisée par une forte inflation et un chômage élevé. Chômage = Ensemble des personnes en âge de travailler sans emploi

conjoncturelle vont pouvoir modifier la demande globale afin d’augmenter les offres d’emplois. B. Inflation et demande globale : - Comment mesurer l’inflation ? Augmentation générale et durable des prix. Ne pas confondre déflation et désinflation. La déflation correspond à une baisse des prix. La désinflation est une période ou l’inflation se réduit. Doc 1 page 158 : 2. L’indice des prix doit refléter correctement l’évolution des prix car il peut servir par exemple, à calculer l’augmentation

de demande, cycle du crédit), en insistant notamment sur les liens avec la demande globale. On analysera les mécanismes cumulatifs susceptibles d’engendrer déflation et dépression économique et leurs conséquences sur le chômage de masse. Notions à connaître : − fluctuations économiques − crise économique − désinflation − dépression − déflation Notions de première : − Inflation − Chômage − demande globale Plan : I. La croissance est instable : fluctuations et crises A. Définitions B. Deux siècles

puisqu’elle est vu comme négative car elle représente une charge pour les ménages, les entreprises ou l’Etat lui-même. C’est pour cela que les Etats peuvent mener des politiques d’austérité mais dans un contexte de crise, cela peut mener à un cercle vicieux car la politique va déprimer la croissance et empêcher la relance de celle-ci ce qui va dégrader le solde budgétaire et augmenter les primes de risque souverain donc le taux d’intérêt qui, je le rappelle, est la charge de la dette. Il ne faut

l'augmentation soutenue et durable du niveau générale des prix. Mais il faut savoir qu'il existe plusieurs type d'inflation : - l'hyperinflation, augmentation excessive des prix ( supérieur à 10% ) -la désinflation, baisse de l'augmentation des prix -la déflation, baisse générale des prix Problématique : La BCE doit elle lutter seulement contre l'inflation ? .Dans un premier temps, nous allons parler de la BCE et de sa lutte contre l'inflation, et dans un second temps nous verrons les autres priorités

marché britannique et américain et provoque la faillite de banques autrichiennes (Kreditanstalt) et allemandes (Dâmat Bank, Dresder Bank). II. Les effets de la crise A/ Principales caractéristiques Il s’agit d’une récession et d’une crise de déflation. Faillite de nombreux établissements bancaires ou d’industries. 6 millions de chômeurs en 1932 en Allemagne. Entre 1929 et 1932, la valeur du commerce international chute des deux tiers. Attitude protectionniste adoptée par de nombreux pays ; la

atteint 35,4% du PIB, soit six points de plus que la moyenne des pays de l’OCDE. - Cette forte intervention de l’Etat français, afin de favoriser la consommation des ménages tout au long du XXème siècle, plonge aujourd’hui le pays dans un cercle vicieux. On retrouve les équivalences ricardiennes depuis 2007 avec les deux crises qui traversent la France : si l’Etat emprunte, il augment sa dette, les ménages anticipent une hausse des impôts et épargnent, donc la consommation diminue. ex : Selon

d'inflation. La Banque du Japon augmente à cinq reprises le taux d’intérêt des prêts à court terme (taux d’escompte), qui passe de 2,5 % à 6 % entre mai 1989 et août 1990. Ce retournement brutal et de la politique monétaire provoque une gigantesque déflation qui n'est toujours pas parvenue à son terme en 1998 malgré huit plans de relance, différentes tentatives du ministère des Finances pour soutenir la Bourse ou le marché immobilier et un assouplissement radical de la politique monétaire, avec un taux

une sur production et les actions montent. II Déclenchement de la crise Le jeudi 24 octobre octobre 1929, surnommé le jeudi noir correspond au crash de Wall Street (chute de la bourse). Le cours des actions chutent brutalement. III Le cercle vicieux de la crise La bourse s’écroule, les banques et les sociétés et les personnes qui ont investi perdent de l’argent. Les faillites bancaires: les banques qui ont trop investi en action ou bien qui ont prêté de l’argent de façon imprudente