Le Charme discret de la bourgeoisie

érudition, indifférents pour toutes les choses qui les ont précédés, sont avides de celles qui se passent à leurs yeux et qui sont comme sous leur main: ils les examinent, ils les discernent, ils ne perdent pas de vue les personnes qui les entourent, si charmés des descriptions et des peintures que l'on fait de leurs contemporains, de leurs concitoyens, de ceux enfin qui leur ressemblent et à qui ils ne croient pas ressembler, que jusque dans la chaire l'on se croit obligé souvent de suspendre l'Evangile

critique. Mais Buren a sans doute réorienté sa démarche critique pour opérer sur les rites de passage entre l'art et la vie sociale banale, au risque, peut-être accepté, d'une perte totale de sens, voire même d'attention sociale à la présence très discrète de l'intervention théorique / artistique dans le lieu. Ce qui serait peut-être l'interprétation la plus intéressante de cette démarche : l'annulation effective de la séparation entre art et vie sociale, pour la population qui passe sur le lieu ;

indifférents pour toutes les choses qui les ont précédés, sont avides de celles qui se passent à leurs yeux et qui sont comme sous leur main : ils les examinent, ils les discernent, ils ne perdent pas de vue les personnes qui les entourent, si charmés des descriptions et des peintures que l’on fait de leurs contemporains, de leurs concitoyens, de ceux enfin qui leur ressemblent et à qui ils ne croient pas ressembler, que jusque dans la chaire l’on se croit obligé souvent de suspendre l’Évangile

en quête de sites, de traditions ou de peuples méconnus au travers desquels se dessine l’histoire de l’homme. Une merveilleuse évasion vers un ailleurs nimbé de mystère. Parcourir la France et l’Allemagne à mobylette, c’est l’aventure pleine de charme que nous propose François Skyvington. De Munich à Nevers en passant par Gap et Hambourg, le sympathique baroudeur multiplie les rencontres, pousse des portes dérobées et pénètre dans des lieux parfois ignorés. Un road movie généreux et poétique hors

Caravage ; Annibal Carrache ; Rubens. Se développe, en effet, un « collectionnisme » privé, qui soutient le développement de la peinture d’histoire profane et l’apparition d’un nouveau type d’œuvre, le quadro di stanza, le tableau de collection peint pour charmer l’œil de l’amateur et s’insérer dans une galerie ou un cabinet où s’illustre la variété des styles. 1) Réforme des Carrache  Il faut constater l’importance de la réforme des trois bolonais : Ludovico et ses deux cousins, Agostino et Annibal.

chez elle, madame Vauquer se coucha le soir en rôtissant, comme une perdrix dans sa barde, au feu du désir qui la saisit de quitter le suaire de Vauquer pour renaître en Goriot. Se marier, vendre sa pension, donner le bras à cette fine fleur de bourgeoisie, devenir une dame notable dans le quartier, y quêter pour les indigents, faire de petites parties le dimanche à Choisy, Soissy, Gentilly; aller au spectacle à sa guise, en loge, sans attendre les billets d'auteur que lui donnaient quelques-uns de

chez elle, madame Vauquer se coucha le soir en rôtissant, comme une perdrix dans sa barde, au feu du désir qui la saisit de quitter le suaire de Vauquer pour renaître en Goriot. Se marier, vendre sa pension, donner le bras à cette fine fleur de bourgeoisie, devenir une dame notable dans le quartier, y quêter pour les indigents, faire de petites parties le dimanche à Choisy, Soissy, Gentilly ; aller au spectacle à sa guise, en loge, sans attendre les billets d'auteur que lui donnaient quelques−uns

INTRODUCTION Des liens étroits entre la France et le Brésil ont toujours existé. Les mouvements historiques, ainsi que la philosophie et l’art français ont exercé une influence indélébile sur la pensée brésilienne. De nombreux jeunes de la bourgeoisie brésilienne de la fin du XIXe siècle et du début du XXe venaient faire leurs études dans les universités réputées de Paris. La France représentait à l’époque tout ce qu’il y avait de chic, élégant et raffiné. Les familles riches envoyaient leurs

s’installa chez elle, madame Vauquer se coucha le soir en rôtissant, comme une perdrix dans sa barde, au feu du désir qui la saisit de quitter le suaire de Vauquer pour renaître en Goriot. Se marier, vendre sa pension, donner le bras à cette fine fleur de bourgeoisie, devenir une dame notable dans le quartier, y quêter pour les indigents, faire de petites parties le dimanche à Choisy, Soissy, Gentilly ; aller au spectacle à sa guise, en loge, sans attendre les billets d’auteur que lui donnaient quelques-uns

chez elle, madame Vauquer se coucha le soir en rôtissant, comme une perdrix dans sa barde, au feu du désir qui la saisit de quitter le suaire de Vauquer pour renaître en Goriot. Se marier, vendre sa pension, donner le bras à cette fine fleur de bourgeoisie, devenir une dame notable dans le quartier, y quêter pour les indigents, faire de petites parties le dimanche à Choisy, Soissy, Gentilly ; aller au spectacle à sa guise, en loge, sans attendre les billets d'auteur que lui donnaient quelques−uns