Le Cheval Et Le Loup

d’histoire Ø Ce poème met en œuvre un genre que Victor Hugo pratique rarement : la fable ( c’est en effet le seul exemple de fable présent dans la première édition du recueil ; dans l’édition de 1870, Hugo en ajoutera une autre : « Les Trois chevaux », VI, 16 ). Conformément au genre de la fable, Victor Hugo met ici en scène des animaux, qui symbolisent chacun un caractère humain, traditionnellement convenu et stéréotypé. Tout en s’inspirant des Fables de la Fontaine, il donne à ce poème une

du renouvellement du théâtre algérien en arabe parlé, Prix national des Lettres en 1988, il est mort de leucémie à Grenoble en octobre 1989. Né à cheval entre deux cultures, Kateb Yacine appartient à une génération que les conditions historiques et sociales de son époque auront fortement marquée. Enfant, il sera jeté dans la « gueule du loup », c’est-à-dire à l’école française, où il apprendra la langue de l’occupant et sera introduit à sa culture. Loin d’y voir un enrichissement, Kateb

filet de pêcher, clefs, homme crucifié à l’envers, homme marchant sur l’eau… Saint Paul : Dans un premier temps il persécute les chrétiens puis suite à un éclair le foudroyant il se convertit. Il sera dacapité à Rome. Attributs : Epée du martyre, cheval, parchemin, serpent.. Saint Laurent : Torturé afin qu'il livre les archives et les biens de l'église dont il était le dépositaire, Laurent sera inhumé. Attributs : On représente parfois Laurent portant une croix sur l'épaule droite, l'Evangile dans

d'or sur champ d'azur, ou quelque chose d'analogue, car l'ombre de la voûte ne permettait pas de les bien distinguer. Dans le mur étaient scellés des éteignoirs en tôle noircis par les torches, et des anneaux de t'or où s'attachaient autrefois les chevaux des visiteurs, événement bien rare aujourd'hui, à en croire la poussière qui les souillait. De ce porche, sous lequel s'ouvraient deux portes, l'une conduisant aux appartements du rez-de-chaussée, l'autre à une salle qui avait pu jadis servir de salle

emploi : Si tu n'avais servi qu'un meunier, comme moi, Tu ne serais pas si malade8. » 5. Le Loup et le Chien9. Un Loup n'avait que les os et la peau, Tant les Chiens faisaient bonne garde. Ce Loup rencontre un Dogue10 aussi puissant que ---------------------------------------------------------[beau, Gras, poli11, qui s'était fourvoyé12 par mégarde. L'attaquer, le mettre en quartiers13, Sire14 Loup l'eût fait volontiers ; Mais il fallait livrer bataille, Seuls les rois et les princes ont

le rattrape. C’est un loup. «  Un loup ! Grand père m’a menti ! Il m’a dit qu’il n’y en avait plus ici depuis très longtemps. Mais que va-t-il m’arriver ? Je ne peux redescendre car il faudrait que je passe devant lui et il me poursuivrait. En courant devant moi vers le sommet je trouverai peut-etre la possibilité de m’échapper. Mais dans la montée il ne me sera pas facile de courir vite. Que vais-je devenir ?»Rapidement l’animal est a coté de lui. C’est un grand et beau loup. Son pelage bleu est

très efficace qui tua tous les soldats en un coup « […] Panurge vit qu’ils étaient tous dans le cercle et que ses deux compagnons s’en étaient éloignés […] Epistémon commença alors à tirer en actionnant le cabestan ; les deux cordes saisirent les chevaux aux jambes […] Panurge met le feu à la trainée de poudre et il les fit tous brulés là comme âmes damnées. » (Page 263) Un seul chevalier qui avait réussi à sortir du cercle est gardé comme prisonnier. A 5 ils partent affronter des milliers de

village. En passant dans un bois, elle rencontra compère le Loup, qui eut bien envie de la manger ; mais il n’osa, à cause de quelques bûcherons qui étaient dans la forêt. Il lui demanda où elle allait ; la pauvre enfant, qui ne savait pas qu’il est dangereux de s’arrêter à écouter un loup, lui dit : « Je vais voir ma mère-grand, et lui porter une galette avec un petit pot de beurre que ma mère lui envoie. – Demeure-t-elle bien loin ? lui dit le Loup. – Oh ! oui, dit le petit Chaperon rouge, c’est par-delà

bien amusant, ce vieil homme scandaleux, mais aujourd’hui on n’a pas le cœur à rire. La récolte sera-t-elle bonne ? Pleuvra-t-il encore ? Chacun a son souci, qui lui coud la bouche, qui lui met des plis au front et l’inquiétude dans l’âme.Un galop de cheval qui devient de plus en plus fort comme si un tambour arrivait en courant.Et voici Balletroy et Jean-Marie.– Honneur !– Respect !Ils mettent pied à terre.– Bonjou’pè ! Bonjou’pè !Vêtu d’un vieux pardessus noir, une manière de soutane, coiffé d’un melon

sorcière, oh! dis, si tu le sais, A cet esprit comblé d'angoisse Et pareil au mourant qu'écrasent les blessés, Que le sabot du cheval froisse, Dis-le, belle sorcière, oh! dis, si tu le sais, A cet agonisant que le loup déjà flaire Et que surveille le corbeau, A ce soldat brisé! s'il faut qu'il désespère D'avoir sa croix et son tombeau; Ce pauvre agonisant que déjà le loup flaire! Peut-on illuminer un ciel bourbeux et noir? Peut-on déchirer des ténèbres Plus denses que la poix, sans matin et