Le Cid Acte 2 Scène 3

répétition [graphique] la figure dérivative répétition consistant à utiliser dans une même phrase deux mots ayant la même racine « Ton bras est invaincu, mais non pas invincible » — Corneille, Le Cid [rythmique] l'isocolie [stylistique] répétition d'une cadence sur plusieurs segments de phrase « Quitté de mes compagnes, je me reposai au bord d'un massif d'arbres : son obscurité, glacée de lumière, formait la pénombre où j'étais assis. » — Chateaubriand, Mémoires d'Outre-tombe, 1re partie

distincte des genres. Enfin il y aurait l’abandon des règles des trois unités sauf, bien sûr, l’unité d’action mais nous les aborderons lors de l’analyse de l’extrait d’Hernani. a) La théorie des trois âges. D’Après Victor Hugo, la poésie a 3 âges et chacun d’entre eux correspond à une époque de la société : La première, l’ode apparaît au temps primitif. C’est l’innocence universelle alors que les hommes sont encore simples et pieux. C’est aussi l’expression des sentiments, l’apogée

consistant à utiliser deux mots dans|« Ton bras est invaincu, mais non pas invincible » | | |dérivative |une même phrase ayant la même racine |— Corneille, Le Cid | | |[rythmique] l'isocolie |[Stylistique] répétition d'une cadence sur |« Quitté de mes compagnes, je me reposai au bord d'un massif d'arbres : son

Analyse linéaire :1. Zone Voir analyse -> https://commentairecompose.fr/zone-apollinaire/2. Le pont mirabeau Voir analyse -> https://commentairecompose.fr/le-pont-mirabeau/Problématique:  en quoi ce poème d’amour est-il à la fois traditionnel et à la fois moderne ?I/ La nostalgie d’un amour passé (1-6)Le pont Mirabeau est un signe de modernité mais il signifie surtout la rupture d’Apollinaire avec Marie Laurencin (Apollinaire empruntait ce

l’effet, de la complexité. - Il développe une nouvelle vision du monde : un monde instable, en désordre, en chaos, qui change, qui est éphémère (qui dure pas longtemps) et qui n’a pas de règles ; - Les auteurs célèbres : * Corneille (le Cid, Horace). * Shakespeare (Roméo et Juliette, Le Songe d’une nuit d’été) ; * Calderon. -La Préciosité : Roman, Poésie lyrique - Mouvement culturel et littéraire français du XVIIème siècle (1610 à 1660) ; - Il repose sur la volonté de

la danseuse, décousus, violents, sauvages. La presque nudité de l’interprète, permet l’expression des visages, des corps, et met ainsi en exergue la violence de la scène. La musique accompagne parfaitement la scène, elle monte en puissance, en tension progressivement puis s’arrête brutalement, symbolisant la mort des enfants. Cette scène sanglante n’est pas représentée de la même manière chez Anouilh. Sa tragédie Médée, ne perd pourtant pas en violence. Médée égorge ses enfants, mort sanglante également

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ensemble (signent GG), amitié profonde, goût pour orient, rêve. salons : appartement de V. Hugo (jusqu’en 1830), salon de Delfine de Gérardin (dès 1830), salon de Mme. Sabatier (dès 1850) : Flaubert, Baudelaire (=grand ami de Gautier), diners de Mugny (2 frères Goncourt, Flaubert, peintres... → Gautier a connu les plus grands salons parisiens, il a bcp verve, brille ds ces salons (sait raconter histoires) voyages : attrait pour orient, parti en Belgique, en France, d’abord en diligence ensuite en train

lettres © Éditions Flammarion, 2010 ISBN : 978-2-0812-1966-3 ISSN : 1269-8822 Création maquette intérieure : Sarbacane Design. Composition : In Folio. Dépôt légal : janvier 2010 Numéro d’édition : L.01EHRN000234.N001 SOMMAIRE ■ Présentation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Phèdre : les derniers feux de la tragédie Un monstre esthétique La démolition du modèle héroïque traditionnel Une nouvelle métaphysique héroïque Du texte à la scène : l’œuvre et ses représentations 5 5 9 18 23

Proust et son œuvre fondatrice sur la fonction du roman et le jeu de la mémoire (À la recherche du temps perdu, 1913-1927), et André Gide, également poète (Les Nourritures terrestres, 1895) et autobiographe (Si le grain ne meurt, 1920-1924) qui met en scène l'acte gratuit (Les caves du Vatican, 1914) et qui transforme la structure narrative dans Les Faux-monnayeurs (1925). Ce questionnement psychologique va déboucher à la génération suivante sur le sentiment de l'absurde avec le personnage de Meursault