Le Cid Monologue

dignité. Alors en quoi ces deux éléments font-ils de Hermione une victime de la fameuse fatalité tragédienne? Et comment cette fatalité se manifeste-t-elle dans cette scène? Ce n’et pas la problématique attendue. Cette scène, prenant la forme d'un monologue d'Hermione, prend le rôle de confession: le personnage y révèle au spectateur ses sentiments à la suite de son rejet. Dès le début de la scène, un premier état d'esprit se manifeste: la confusion. Hermione est perdue, elle ne sait pas comment réagir

Matamore est dans le paraître tandis que Rodrigue est dans l’être. Matamore vit dans l’illusion de son personnage. C’est une illusion dans l’illusion théâtrale. Matamore se met en scène et ce qui accroît la théâtralité de son illusion. Tandis que dans le Cid, le coté illusoire est supprimé, le personnage colle à son être : on passe à la tragédie grâce à la vraisemblance des faits. I- le couple farcesque Matamore/Clindor Matamore est le miles glorisus alors que Clindor est le servus currens (attaché

première est l'unité de temps, l'idéal étant celui d'une journée; ensuite l'unité d'action et enfin l'unité d'espace qui définit l'endroit où les personnages se rencontrent et agissent. Cette règle a été mise en place, après les représentations du Cid de Corneille. Aussi, le théâtre est donc visuel. Ce qui implique donc que les acteurs, pour que le public comprennent mieux qui sont ils, portent des costumes qui indiquent leur classe sociale, leur rang. A l'époque du théâtre antique, les acteurs exclusivement

Stevenson…), au policier (Christie, Vargas, ...), à la science-fiction (Barjavel, La nuit des temps), à la fantasy (Tolkien)… II. Le théâtre Liste d’œuvres Shakespeare, Hamlet, Le songe d’une nuit d’été Calderon, La vie est un songe Corneille, Le Cid Molière, Le malade imaginaire, Dom Juan, Le Misanthrope, Le Tartuffe, Les précieuses ridicules… Racine, Phèdre, Britannicus, Bajazet Marivaux, L’île des esclaves, le jeu de l’amour et du hasard, la double inconstance Beaumarchais, Le Mariage de

qui voit dans cette « folle journée » 1 amusement 2 la cour, là où à la postérité y voit le germe 2 la révolution.) + (Ds le monologue 2 Figaro= l’auteur s’exprime contre les injustices sociales et politiques 2 son époque. Il remet en cause les principes mêmes 2 la noblesse « Qu’avezvous fait pour tant 2 biens? Vous vous êtes donné la peine 2 naître, et rien 2 plus ») Cid, Corneille ( le récit nous dispense d’assister à l’assaut qu’il donne au Maures) Camille Claudel, auteur + metteur en scène=

du texte lui-même. 1. Les répliques - Aparté : c'est ce qu'un personnage dit à l'écart des autres et que seuls les spectateurs sont censés entendre. - Dialogue : c'est un échange de paroles, une conversation entre deux personnages ou plus. - Monologue : c'est un discours qu'un personnage se tient à lui-même. Il devient parfois tirade. - Stichomythie : c'est un dialogue où les personnages se répondent vers pour vers. - Tirade : c'est une longue réplique récitée d'un trait, sans interruption,

théâtre. Tout comme il serait désagréable d'essayer de distinguer des acteurs sur une scène en train de jouer le plus réalistement possible. Les rôles de la pièce Dom Juan de Molière par exemple, sont volontairement exagérés : jamais on ne verra un monologue sur le tabac long de plusieurs minutes au cinéma, alors que sur les planches cela passe très bien et rend le caractère des acteurs bien plus évident. La mise en scène n'est pas non plus la même au théâtre qu'au cinéma : d'un coté, des plans fixes

Présentation de l’auteur : .Pierre Corneille est un dramaturge français , frère de Thomas Corneille . Il est né à Rouen le 6 juin 1606 et est mort à Paris le 1er octobre 1684 . .Il a écrit plusieurs pièces de théâtre célèbres comme « Le Cid » , « Cinna » , « Polyeucte » et « Horace » . .Dans ces œuvres , sont souvent représentée la richesse et la diversité qui représente les valeurs et les grandes interrogation de son époque . .Il s’inspire du baroque et du classicisme dans ces

extérieurs qui les troublent et les mettent dans des situations délicates, ils sont soumis à des conflits intérieurs qui les torturent. Le théâtre possède d’ailleurs un moyen très efficace pour donner à entendre ces problématiques internes : le monologue. Toute l’esthétique de cette spécificité théâtrale réside dans cette expression orale des pensées et des sentiments d’un personnage tourmenté. Titus, dans Bérénice de Jean Racine, doit choisir entre la femme qu’il aime et le pouvoir. Dans la scène

humains à travers personnages stéréotypés. Par exemple l’avare Harpagon, ou l’hypocrite Tartuffe, ou encore le soldat fanfaron Matamore. Les monologues délibératifs, s'ils sont artificiels et parfois même en vers, n'en traduisent pas moins clairement et profondément la vérité humaine des sentiments contradictoires, comme dans les stances de Rodrigue (Le Cid de Corneille) ou dans celles de Clindor (L’Illusion comique). En mettant à nu la vérité humaine, en agissant comme un révélateur, le théâtre