Le Cid Récit épique

telles avaient été ses paroles précises: en conséquence elle ne le recevait que de nuit, et jamais il n'y avait de lumière dans l'appartement. I. Clélia Conti. STENDHAL., La Chartreuse de Parme, II, 28. Exercices Exercice 18. Distinguez dans ce récit les passages où des propos sont rapportés. À quels personnages ces propos appartiennent-ils successivement ? Distinguez les paroles dites à d'autres et les paroles dites pour soi. Chaque mot centuplait l'affreux malheur de Julien. Il voulut fuir

par « paroles pour chants » → aspect musical. 2. Histoire d’un motPour la Pléiade, un poème est un ouvrage en vers d’une certaine ampleur et solennité, genre noble. Joachim Du Bellay garde la conception noble, avec tout en haut du gradiant la poésie épique. Jusqu’au XIXe siècle, poème se dit pour désigner la tragédie. Avec l’époque romantique, le poème tend à désigner un genre particulier à l’intérieur des formes poétiques. Lamartine et la poésie élégiaque, Hugo et la poésie lyrique et Vigny avec le

l’épopée. Hiérarchie esthétique entre les genres littéraires, ayant à son sommet l’épopée, grand genre par excellence. Hugo va s’essayer au genre de l’épopée, et dès l’âge de 14 ans, il propose une première ébauche, Le Déluge, poème en trois chants épiques, dans lequel on remarquera l’influence très présente de l’idole qui est alors Chateaubriand. Gout du merveilleux chrétien, né chez lui avec Le Génie du christianisme. Le gigantisme, la démesure, le gout pour l’outrance vont devenir sa marque de fabrique

évidence toute relative. Non seulement le terme de « héros » n'est prononcé qu'une seule fois dans la pièce, et pour désigner les ancêtres défunts de Ruy Gomez de Silva, mais en outre la Préface de Cromwell assimile nettement l'héroïsme aux temps épiques, dont le représentant principal est Homère, et que l'âge du drame doit dépasser en ajoutant au sublime l'étude du grotesque. C'est dire le paradoxe qu'il y a à parler, comme je m'y apprête, d'héroïsme dans la pièce chargée de représenter hautement

l'agrégation de lettres et enseigner le français, volume II Stratégies didactiques, rédigées et prêtes à être transformées en séquences pédagogiques. On y étudie à partir de textes ou de groupements de textes les thèmes suivants : la description dans le récit, mise en scène et représentation de l'affrontement (duels et combats), poésie et schéma de communication, l'épistolaire, Victor Hugo polémiste, le personnage de roman, le poème en prose à la croisée des chemins, la rencontre amoureuse ou scène de première

« socle commun de connaissances et de compétences ». Le commentaire consiste en l'explication d'un texte, pouvant appartenir à n'importe quel genre (théâtre, poésie, roman, article de presse , etc.), à n'importe quel type (argumentatif, polémique, épique, narratif, poétique), ou période littéraire (romantisme, surréalisme , etc.). [modifier] Synthèse et analyse L'épreuve évalue également la capacité personnelle de l'élève à organiser, structurer et expliquer son analyse du texte, tout en cernant

|objectives, définitions, | |passages où se manifeste plus ou | | | | |Littérature d'érudition du XVII° |chiffres, dates) et le récit | |moins nettement la subjectivité | | | | |siècle (compilations), certains |l'emporte sur le discours. |

[...] Ainsi, pour résumer rapidement les faits que nous avons observés jusqu'ici, la poésie a trois âges, dont chacun correspond à une époque de la société : l'ode, l'épopée, le drame. Les temps primitifs sont lyriques, les temps antiques sont épiques, les temps modernes sont dramatiques. L'ode chante l'éternité, l'épopée solennise l'histoire, le drame peint la vie. Le caractère de la première poésie est la naïveté, le caractère de la seconde est la simplicité, le caractère de la troisième, la

prétention aux beaux usages et satire de la pédanterie. Parmi ses grandes pièces, seul l'Avare (1668) est fondé sur la déviance pathologique d'un personnage. Définitions globales devant être connues Adjuvant : personnage qui aide le héros dans un récit, contraire de l’opposant. Alexandrin : vers de 12 syllabes le classique comprend quatre coupes avec un arrêt à l’hémistiche. Allégorie : Figuration d’une abstraction par une image, souvent par un être vivant= personnification Allitération : répétition

répandre un sang si précieux ? (vers 1027) Andromaque de Racine 8 Andromaque : histoire de son interprétation Par Agathe Sanjuan, conservateur-archiviste de la Comédie-Française Une création orageuse Cette tragédie fit le même bruit à peu près que Le Cid lorsqu’il fut représenté. (Perrault, Hommes illustres, t. II) Le 17 novembre 1667, Racine présente à la Cour sa nouvelle pièce Andromaque. Âgé de 28 ans, il est déjà l’auteur de deux tragédies La Thébaïde et Alexandre le Grand, mais c’est avec Andromaque