Le Cid Récit épique

passe totalement inaperçue. Au service de Fouquet (1658-1663) En 1658, il entre au service de Fouquet, Surintendant des Finances, auquel, outre une série de poèmes de circonstances prévus par contrat - une « pension poétique » - il dédie le poème épique Adonis tiré d’Ovide et élabore un texte composite à la gloire du domaine de son patron, le Songe de Vaux, qui restera inachevé, car Fouquet est arrêté sur ordre de Louis XIV ; La Fontaine écrit en faveur de son protecteur en 1662, l’Ode au Roi puis

Voyageur, St-Amant se rendit en Afrique de l’Est, aux Caraïbes, en Italie, en Pologne, en Suède et en Angleterre. Il accompagna le Duc de Retz dans ses expéditions et ses ambassades et se noue d’amitié. Ainsi, il donne naissance à de nombreux poèmes et récits de voyage. Il fréquenta aussi les cabarets parisiens où il puisa son inspiration pour les poèmes Les Vignes, Le Fromage, Les Cabarets, Les Goinfres... En 1631, il publie son poème le plus célèbre, Le Paresseux, qui caractérise bien son art poétique

cherche à faire partager les sentiments, souvent exaltés, qu'il éprouve. - Le registre pathétique : le lecteur est ému, pris de pitié. - Le registre tragique : le lecteur est désespéré devant l'impossibilité d'échapper au malheur. - Le registre épique : l'auteur fait éprouver au lecteur un sentiment d'admiration pour un héros et des faits hors du commun. - Le registre fantastique : l'auteur introduit une hésitation entre réel et surnaturel, inquiétant ainsi le lecteur. Le corpus est constitué

à garder une sérénité parfaite devant les événements et à considérer les folies humaines avec une grande indulgence. Ce livre ne va pas être moins condamné que les 2 autres. Il devra se réfugier à Metz. • Le Quart Livre (1548-1552) : série de récits où Rabelais renonce à ses attaques contre les théologiens. Exploitant l’intérêt des voyages de Jacques Courtiers vers le Canada. Il décrit les escales de Panugre. Il introduit des fantaisies très variées. À travers les formes variées de son génie

narration : épopée / tragédie-comédie La dernière différenciation entre épopée/tragédie/comédie est dans le rapprochement de la tragédie et de la comédie et de leur différence avec l’épopée. Cela concerne le mode de narration (diégèse/ mimésis).  Récit : épopée > style indirect   Action : théâtre > style direct. Bilan de cette comparaison entre l’éposée, la tragédie et la comédie  Du point de vue de l’objet, l’épopée ressemble à la tragédie   Du point de vue du mode de narration, l’épopée

La seconde, l’épopée, apparaît au temps antique. Le cœur parle moins, les actions comptent plus. Puis autrefois le rêve caractérisait la poésie, mais à partir de l’épopée c’est l’histoire. Puis on trouve à la place de la candeur des hommes, des récits, toujours lyrique, de guerres. C’est une poésie d’où sortent des hommes majestueux comme Achille, Atrée, Oreste, héros tragiques ! La dernière, le drame, apparaît au temps moderne. C’est une poésie cherchant à dépeindre la réalité, comme si étant

d'Athènes. Il a un fils, Hippolyte, puis, après la disparition d'Antiope, il épouse Phèdre, dont il a eu deux fils, Acamas et Démophon (jamais mentionné par Racine dans la pièce). Thésée a donc un passé glorieux. La pièce retentit, par allusion ou récits épiques, de ses exploits. Thésée, comme Hippolyte, a sa "faiblesse", et ce point faible, ce sont les femmes. Ses aventures galantes sont évoquées à plusieurs reprises dans la pièce, comme un thème récurrent : au vers 23 ("jeunes erreurs"), aux vers

| |Récits de théâtre (ES/S, sept 2005) |Question : Caractérisez ces textes destinés à la scène et précisez succinctement | |- Corneille, Le Cid, IV,3 |ce qui les distingue. | |- Giraudoux, Electre, II,9 |Commentaire : Corneille, Le Cid, IV,3 | |- Reynaud, Regarde

types. Dans le premier type, le discours est en principe pris en charge par l’auteur, nous parlerons alors d’essai au sens large ; dans le second type, le discours est plutôt délégué à un narrateur et à des personnages, nous aurons alors affaire au récit et à la fiction, au genre général de l’apologue. Attention cependant, les genres chimiquement purs n’existent pas : un essai peut abriter des exemples qui confinent parfois à la fiction6, comme une fable permettre aussi l’expression directe de l’auteur

distinguent les grands rois ; il était d’un caractère timide et un peu sauvage. Durant son règne, il ne montra aucun goût pour les lettres, car il fut dégouté de la lecture dès sa plus tendre jeunesse, même si Corneille avait déjà enfanté sa tragédie du Cid, et même si Richelieu, sous le nom de son maître, établit, en 1637, l’Académie Française, en triomphant de la résistance au parlement de Paris. L'histoire de son règne n'est le plus souvent que celle du cardinal de Richelieu, qui, rapportant tout à