Le ciel lui tombe sur la tête

à l’idéal :la femme  : Grâce à sa beauté et à sa sensualité, elle permet au poète de s’évader vers un autre monde, de fuir une réalité sinistre  : «  Que tu viennes du ciel ou de l’enfer, qu’importe, […] Si ton œil, ton souris, ton pied, m'ouvrent la porte / D'un Infini que j'aime et n'ai jamais connu?  », «  Qu'importe, si tu rends, […]/ L'univers moins hideux et les instants moins

Anthologie Introduction : Le thème choisi est le voyage qui est aussi relié à l'exotisme ces deux thèmes sont à relier principalement à l'évasion, fuite en dehors d'un monde décevant, fuite d'un tête-à-tête avec soi-même. L'exotisme, c'est le rêve de pays lointains, on peut considérer la vie comme un long voyage. Les poètes du voyage s'inspirent de leurs propres voyages, de ce qu'ils ont vécu, que ce soit un bon ou un mauvais souvenir ces poètes

nourricier, ennemi des chloroses, | |Eveille dans les champs les vers comme les roses ; | |II fait s'évaporer les soucis vers le ciel, | |Et remplit les cerveaux et les ruches le miel. | |C'est lui qui rajeunit les porteurs de béquilles

Les hommes : las un jour elle succombe, aux mains des ennemis tombent Dans la flamme horrible tombe La blanche colombe Mais depuis l’âme aguerrie au nom de Jeanne chérie Ange saint de la patrie C’est nous qui gardons l’accès du sol français Fiers enfants de la Lorraine Des montagnes à la plaine Sur nous plane ombre sereine Jeanne d’Arc vierge souveraine Vieux gaulois à tête ronde Nous bravons tout à la ronde Si là bas l’orage gronde C’est nous qui gardons l’accès du sol

l’intérieur, m’apparaissait comme une énorme tête de mort. Je distinguais les fosses nasales, la voûte du palais, la double arcade sourcilière, le creux profond et terrible des yeux éteints. Le gros pilier central avec son chapiteau était la racine du nez. Des cloisons déchirées faisaient les cartilages. En bas, sur la pente du ravin, les saillies du pan de mur tombé figuraient affreusement la mâchoire. Je n’ai de ma vie rien vu de plus mélancolique que cette grande tête de mort posée sur ce grand néant qui

lorsque tout d'un coup, au milieu du festin, il aperçut au-dessus de sa tête une épée nue, que Denys y avait fait attacher, et qui ne tenait au plancher que par un simple crin de cheval. Aussitôt les yeux de notre bienheureux se troublèrent : ils ne virent plus, ni ces beaux garçons, qui le servaient, ni la magnifique vaisselle qui était devant lui : ses mains n'osèrent plus toucher aux plats : sa couronne tomba de sa tête. Que dis-je? il demanda en grâce au tyran la permission de s'en aller, ne

dans la poudre, Et disait, le coeur plein de son beau lac natal : « Eau, quand donc pleuvras-tu? quand tonneras-tu, foudre ? » Je vois ce malheureux, mythe étrange et fatal, Vers le ciel quelquefois, comme l'homme d'Ovide, Vers le ciel ironique et cruellement bleu, Sur son cou convulsif tendant sa tête avide, Comme s'il adressait des reproches à Dieu! II Paris change ! mais rien dans ma mélancolie N'a bougé ! palais neufs, échafaudages, blocs, Vieux faubourgs, tout pour moi devient

alchimiques permettant de transformer la boue en or, de fuir le spleen pour accéder à l’idéal : • la femme : Grâce à sa beauté et à sa sensualité, elle permet au poète de s’évader vers un autre monde, de fuir une réalité sinistre : « Que tu viennes du ciel ou de l’enfer, qu’importe, […] Si ton œil, ton souris, ton pied, m'ouvrent la porte / D'un Infini que j'aime et n'ai jamais connu? », « Qu'importe, si tu rends, […]/ L'univers moins hideux et les instants moins lourds ? » (poème XXI « Hymne à la

celle-ci grinçait et faisait retentir un bruit semblable, peut-être, au bruit de la corne dans laquelle pourrait souffler la mort pour annoncer le jugement dernier, au même moment, la horde de corbeaux qui campaient sur la pelouse défilèrent dans le ciel pour former un nuage que certains interprètent comme « mauvais présage ». Un seul chemin menait au manoir et c’était une ligne droite et longue, y défilaient sur la pelouse différents arbustes de différentes formes. Son père y prenait détente à les

que, pour désigner la couleur, il emploie toujours rigoureusement le mot propre, à l'exclusion de la métaphore ? Le bras est-il toujours blanc, les cheveux toujours noirs ou blonds, le ciel toujours bleu ? Non. Nous voyons encore chez Victor Hugo des brus d'albâtre ou de neige, des cheveux d'or ou d'ébène, un ciel de saphir. le lui a reproché, et l'on a eu tort, car aucune contradiction. Victor Hugo n'a il On n'y a là voulu im- COULI ik, LA poser aux autres ni du mot propre :