Le ciel lui tombe sur la tête

LE CIEL N’ETAIT PAS TOUT A FAIT NOIR La ride de Lara Croft La couleur bleu ciel La démence, Clémence Etre neuve La Marie Brizard Narcisse Harry Roselmack et moi Le mouton LA RIDE DE LARA CROFT Un matin, elle remarque qu’il ne se met du gel que sur le côté droit du crâne. A la pause, elle lui demande pourquoi. Abdelhakim claque de la langue : C’est cher, le gel, madame. C’est ainsi qu’elle se retrouve dans le rayon cosmétiques du Monoprix de l’avenue Gambetta

Le dormeur du Val C'est un trou de verdure où chante une rivièreAccrochant follement aux herbes des haillonsD'argent ; où le soleil, de la montagne fière,Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, lèvre, bouche ouverte, tête nue,Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,Dort ; il est étendu dans l'herbe sous la nue,Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant commeSourirait un enfant malade, il fait un somme :Nature

l’an 79, il se passe de drôles de choses dans cette ville de Pompéi où je réside avec mon père, notable de la ville. Je m’empresse d’écrire ces quelques mots au cas où le pire surviendrait … En effet, depuis deux trois jours, la terre tremble et le ciel s’assombrit d’heures en heures. J’ignore ce qui nous menace, mais une tension est palpable au sein de la population et les pires interrogations se lisent sur les visages des citoyens. Je ne vous parle pas de cette odeur de soufre qui envahit les rues

Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Victor Hugo, « Les contemplations », 1856 Tableau : Anne-Louis Girodet de Roussy-Trioson, 1808, "Funérailles d'Atala" I/ Anne-Louis Girodet

branche au mois de Mai la roseEn sa belle jeunesse, en sa première fleurRendre le ciel jaloux de sa vive couleur,Quand l’Aube de ses pleurs au point du jour l’arrose :La grâce dans sa feuille, et l’amour se repose,Embaumant les jardins et les arbres d’odeur :Mais battue ou de pluie, ou d’excessive ardeur,Languissante elle meurt feuille à feuille déclose :Ainsi en ta première et jeune nouveauté,Quand la terre et le ciel honoraient ta beauté,La Parque t’a tuée, et cendre tu reposes.Pour obsèques reçois

tellement été touché qu’il tombe par terre J’t’en fais voir d’toute les couleur tu vas finir skizophréne G-NY tête de merde… On ce demande c’est qui son père Ta copine est tellement grosse pour grimper dessus faut faire d’l’escalade Gros prisonnier sortir de chez toi c’est pire qu’une escapade maintenant t'as une tête à claque.. mais gars t'as une geule à plaindre Dans l'rap , poto , t'es pire qu'une arraigné qui n'sais même pas tisser !!!! T'es comme un oiseau tombée de son nid Une simple proie

j'étais fatigué. Je ne savais pas où j'étais, je ne savais pas où étaient les autres. M'avaient-ils abandonnés ? Soudain, le blizzard se dissipa et je me retrouvais dans une forêt délabrée en face d'un cimetière abandonné. Il faisait sombre et le ciel était encore couvert de la tempête. J'entendais des loups hurler au loin dans la forêt. Derrière des tombes renversées se trouvait une ruine d'un ancien bâtiment religieux, sans doute. J'avançais en hésitant vers cette lugubre structure. Soudain,

1)J'étais le genre de gosse qui avait toujours peur que le ciel lui tombe sur la tête. (2) Pourquoi suis-je si différent ? Suis-je un martien ? De quel genre d’expérience étrange je fais partie ?Car je ne suis pas à ma place dans ce monde. C'est pourquoi je me moque de l'autorité, souvent rebelle.Je me prends la tête avec ma mère, je n'ai pas de père.Donc je n'obéis pas

[pic] • Il fait une analogie entre la musique et la mer. Il montre que la musique l'enivre. [pic] • En imaginant ce qu'un mort entendrait ou verrait de sa tombe, l'auteur parle des différents personnages qui divaguent dans les cimetières. [pic] • L'auteur semble décrire de façon péjorative un homme des temps médiévaux.

------Je l'avais rencontrée des années auparavant. Mais, elle était de celle qu'on ne remarque pas. Une poupée sur une étagère. C'était étrange sa manière de baisser la tête. J'ai compris plus tard, trop tard l'origine de cette étrange manie. En effet, aujourd'hui, quand je regarde le ciel je me dis qu'elle baissait la tête pour protéger ces rubis qui étincelaient dans ses yeux. C'était indécent de nous laisser voir cette fenêtre qui menait droit à l'azur, à son esprit même. Sans doute était-ce