Le Cinéma Américain Dans Le Monde

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Nouvelle approche de la notion de « Classicisme hollywoodien » L’étude du « Classicisme hollywoodien » éclaire des thèmes fondateurs de la culture américaine. La complexité de cette étude vient du fait que cette période située entre la fin des années 1910 et la fin des années 1950, oscille sans cesse entre une grande hétérogénéité et en même temps une cohérence remarquable. Il est vrai que l’immense diversité des films produits chaque année par Hollywood semble être un obstacle infranchissable

production sont de plus en plus interdépendants, irrémédiablement liés les uns aux autres. « Le monde est devenu un seul et unique marché » dans lequel les biens et les services échangés véhiculent également des normes, des valeurs. Cette circulation mondiale de biens et de services (produits alimentaires, vestimentaires, etc.), y compris l'information et la culture (produits culturels comme le cinéma, la musique, etc.) entraînerait l o o ’ m généisation des modes de vie et de la culture. h Pour

LE MODELE AMERICAIN Introduction * Modèle : système politique, économique et socioculturel propre à un pays qui tend à s'imposer à l'étranger mais que certains peuvent rejeter. * Problématique : Les États-Unis ont à peine 200 ans d'existence et leur système s'est répandu au XXème siècle à travers le monde. Pourquoi cette rapidité ? Avec la disparition du contre-modèle soviétique, le modèle américain est-il en position monopolistique ? * Paradoxe du modèle américain : influence croissante

PREMIÈRE PARTIE m 1. Selon les documents 2, 3, 4 et 5, les manifestations d’une uniformisation culturelle sont diverses. Cela va de l’influence étatsunienne dans les domaines du cinéma et de la télévision (documents 2 et 5) à l’extinction de langues minoritaires, notamment en Australie et aux États-Unis, mais aussi en Amérique latine et en Afrique (document 4), en passant par les menaces qui pèsent sur certaines expressions culturelles (document 3), au point que l’UNESCO s’est senti obligée d’adopter

s'affirme après las seconde GM grâce à la TV et à la pub. Mais il s'agit aussi d'une culture savante créatrice et dynamique qui reflète notamment les les 1400 universités du pays, dont le pv attractif continu de drainer les meilleurs chercheurs du monde. Les USA savent aussi accueillir ds les années 1930 et 1940 de très nombreux scientifiques, intellectuels et artistes européens fuyant la guerre et le nazisme. (A. Einstein, Chaplin, Lange). La culture US présente depuis les années 1960 deux visages :

Prokosh), Fritz LANG (lui-même), Michel PICCOLI (Paul Javal), Georgia MOLL (Francesca Vanini), Jean-Luc GODARD (l’assistant-réalisateur) Sortie : 27 décembre 1963 SYNOPSIS A Rome, Fritz Lang tourne une adaptation de l’Odyssée pour un producteur américain, Jeremy Prokosh. On demande à Paul Javal, scénariste célèbre, de revenir travailler certaines scènes moyennant une rallonge financière. Ce dernier hésite. Pendant ce temps, Camille, qui est venue rejoindre son mari Paul, fait des avances au producteur

Enfant asthmatique et frêle, le jeune Martin Scorsese ne peut pratiquer de sport et ses parents l'emmènent fréquemment au cinéma. Il se destine d'abord à une vie religieuse et entre au séminaire en 1956. Renvoyé au bout d'un an, il termine ses études à la Cardinal Hays School (dans le Bronx) puis intègre l'université de New York (NYU) en 1960 où il fréquente les cours de cinéma de la Tisch School et décroche une maîtrise en 1966. Il sera d'ailleurs professeur dans cette même université entre 1968

Dès ses débuts, le cinéma, dans le monde entier, se fait coquin... et paie son audace ! En 1895, la projection du baiser de "The Kiss" justifie l'intervention de la police. A New York, la "Société des enfants" réclame la fermeture des nickelodeons, salles de cinéma au rabais (prix d'entrée : un nickel, soit 5 cents) : on y projette des films "susceptibles de stimuler l'imagination érotique du public et d'encourager le vice" (Jean-Luc Douin, Dictionnaire de la censure au cinéma, PUF). En 1897, la

Tous les professionnels vous le diront : le cinéma belge (et plus particulièrement le cinéma belge francophone) souffre de l’indifférence du public national.  Alors, plutôt que de se lamenter sans rien faire, nous nous sommes demandés pourquoi nos films ne faisaient pas plus d’entrées chez nous. Sont-ils mauvais ? Loin de là. Sans rire, le cinéma belge est un des plus passionnants qui soient. Tout le monde le dit et l’écrit, un peu partout à travers le globe. Nos acteurs s’arrachent en France, certains