Le Ciseau Et Le Maillet Sur La Pierre Brute

la planche qu’il nous a présenté il y a quelques mois, notre F :. Gilles Pasquier, rappelait que le « Travail » des trois vertus fondamentales que sont la Beauté, la Force et la Sagesse permettait de lutter contre nos passions, de « tailler la pierre brute », de construire son temple. Gilles Pasquier décrivait plus particulièrement l’influence spirituelle de la Force qui nous permettait de travailler utilement. Ce dernier nous indiquait que le rappel à soi provoqué par l’Initiation, nous permettait

caractérisé par un aspect progressif indéniable. L’idéal Maçonnique vise incontestablement au développement humain et à la concorde universelle. Ce but de perfectionnement de l’homme passe par l’utilisation d’outils dont le rituel est très certainement la pierre angulaire, cela au sens le plus littéral du terme. Le rituel Notre rituel d’initiation, dans sa progressivité et les étapes qu’il nous fait accomplir, physiquement et symboliquement, incorpore très bien tout ce que nous venons d’évoquer. En

Bertrand P. - Villeneuve Loubet(06)SINCERITE, DOCILITE, CONSTANCE, Qualités de l’impétrant ou du maçon ? Lors de l’introduction en Loge de l’impétrant pour son initiation, le Vénérable lui dit immédiatement: «  Monsieur, les premières qualités que nous exigeons pour être admis parmi nous, et sans lesquelles on ne peut-être initié à nos mystères, sont la plus grande SINCERITE, une DOCILITE absolue et une CONSTANCE à toute épreuve. Vos réponses aux questions que je vais vous

métiers des Bâtisseurs, notamment de cathédrales. Rien d’étrange donc à retrouver de tels Symboles dans le Temple lors de nos Tenues. J’apprends qu’il existe d’autre Symboles empruntés à l’univers de la construction : Le Compas, la Pierre Brute, le Ciseau, le Maillet, le Levier, la Règle graduée, la Truelle…Certains ont pour moi pris du sens, d’autres continuent encore à m’échapper. Mais je suis encore bien jeune, et ma curiosité et ma soif n’empêchent pas la patience ; nul doute que la Voie maçonnique

d’autres restent mystérieuses et inquiétantes comme ce mot VITRIOL qui rappelle plus un acide qui brûle la chair qu’un acrostiche dont la signification me restera longtemps inconnue « visite l’intérieur de la terre et en rectifiant, tu trouveras la pierre cachée » Cette énigme alchimiste me laisse perplexe. Pourtant elle résume à elle seule le long travail du Frère maçon tout au long de sa vie ! Et ne sachant ni lire ni écrire, je ne perçois que le sens littéral de V.I.T.R.I.O.L. Ce travail sur

silence absolu. Il observe et écoute avec vigilance. Il médite. Ensuite, sous la surveillance de son guide. il met en pratique les notions théoriques acquises pour travailler assidûment « sa » pierre brute (son âme). Personnellement, en ce qui me concerne le silence m’a servi de maillet et de ciseau pour rectifier mes défauts ou me conforter dans mes qualités. CONCLUSION : En ce qui concerne la planche que j’ai eu l’honneur de « dégauchir » : le silence de l’Apprenti est, pour celui-ci

les passions, l’intransigeance absolue, mais nous devons travailler pour nous débarrasser de l’artificiel, que la société nous a apporté : dégrossir la pierre brute afin de la dépouiller de ses aspérités et la rapprocher d’une forme en rapport avec sa destination. Mettons notre tablier, symbole de travail, munissons nous du ciseau et du maillet, outils de travail de l’apprenti et engageons nous avec force et vigueur, sur le grand chantier que constitue notre « moi » afin de construire le temple

élargissant le cercle de nos recherches sur le fonctionnement de notre mental, nous découvrons que nous sommes aussi retenus par le jeu de notre ego, pour lequel tout est compétition, comparaison. C’est avec persévérance, constance, au moyen du ciseau et du maillet, par des coups finement ajustés, qu’il nous faut nous libérer, « rectifier » en nous-mêmes pour nous forger notre liberté de pensée, et pour nous situer non pas en tant qu’être unique au cœur du monde, mais comme un élément du monde semblable

vital à la vie des êtres vivants. Ce premier voyage apparaît comme étant le voyage le plus long des trois. Truffé d’embûches et de bruits assourdissants, ce voyage a pour but de lui faire prendre conscience des éléments profanes qui abritent la pierre brute qu’il représente « les  vices, les passions, les préjugés et l’ego».Elément léger, libre et immatériel, l’air est ressenti comme une figure sensible du monde invisible et lieu de la lumière, car son symbole serait la plus proche représentation

(trois lumières sont nécessaires pour le premier degré) du côté Nord. • Un maillet. • Une épée flamboyante orientée la pointe au Nord. • Au pied du plateau au centre de l’estrade : la patente de la Loge. Décors des plateaux des Officiers : • Un chandelier à une branche à l’angle le plus proche du Naos pour le plateau des Premier et Second Surveillants et du Secrétaire. • Un maillet pour les Premier et Second Surveillant. Décors des membres de la Loge :