Le Classicisme Pictural

travers la poésie, en rapport avec l’art pictural et les autres genres littéraires Lectures analytiques * Agrippa d’Aubigné : « France, mère affligée… » (Les Tragiques) * Jean de La Taille : Le Courtisan retiré * Philippe Desportes : « Epouvantable Nuit, qui tes cheveux noircis… » (Les Amours d’Hippolyte, Sonnet LXXI) * Saint-Amant : Le Fumeur * Martial de Brives : Enigme sur le vent Etudes d’ensemble L’humanisme Baroque et classicisme Le sonnet L’épique, le parodique et

meurt en 1757. L'enfant est alors pris en charge par ses oncles qui remarquent ses dispositions pour le dessin et l’inscrivent à l’Académie de Saint-Luc. Il rejoint David à Joseph-Marie Vien, peintre passionné par l’art antique et précurseur du néo-classicisme français. En 1771, David obtient le second Prix de Rome pour son tableau « Le combat de Mars contre Minerve ». Il tentera à nouveau d’obtenir le premier Prix de Rome les années suivantes, mais ce n’est qu’à la quatrième tentative en 1774 qu’il réussit

sans repères. => Il veut s’affirmer individuellement en exprimant ses émotions par images qui transmettent un message à l’humanité. Epanouissement du lyrisme personnel , primauté de l’imagination sur la raison, élargissement par rapport aux règles picturales néoclassiques. Thèmes du romantisme : - Le sentiment religieux. – La nature. – L’actualité avec une orientation spécifique : position POUR le faible, l’opprimé, CONTRE l’oppresseur, le fort la violence, l’injustice. => le Romantisme devient

Mulhouse gréco-romaine, se partage en deux périodes : le quattrocento (le XVe siècle) et le cinquocento (le XVIe siècle). Ces deux siècles connaissent une révolution intellectuelle, scientifique et humaniste. Parallèlement va se jouer celle de l’art pictural et de ses techniques. Elle prend naissance en Italie pour s’étendre durant cette période sur toute l’Europe, exceptés les peintres flamands attachés à leur tradition et qui résisteront, ne subissant qu’une légère influence. Les préoccupations des

(gloire de dieu) Transition tourmentée entre deux époques : renaissance (humanisme) et le classicisme. mélange des genres et des styles : tragi-comédie, comédie-ballet et opéra recherche des extrêmes dans le contenu et l’expression : préciosité >< burlesque foisonnement des personnages et complication des intrigues thématique de l’instabilité goût du bizarre et de l’artifice Traits majeurs • • • • • Classicisme Langue commune Conforme au bon goût, règles et usages établis, sans surprise. Dans

napoléon III. I)Caractéristiques du mouvement Le mouvement européen du romantisme est caractérisé par le rejet du rationalisme et du classicisme. Le Romantisme correspond à l'utilisation de l'imagination, à un fort sentiment d'individualisme et à une soif de liberté et d'évasion. 1. Le refus des règles La recherche de l'harmonie caractéristiques du classicisme et le rationalisme du Siècle des Lumières laissent place aux manifestations de l'imagination et de la sensibilité. L'écrivain n'accepte

fait rire lui même (autodérision) Le poème illustré par des gouaches à plusieurs reprises. Le recueil, lui même, fait référence à l’art pictural. Mot titre mis valeur v,23 influence Surréalisme ds le style. I-Poète moderne. 1-La liberté de composition. Le genre poétique se repère mise en page. Forme libre, Le poème échappe totalement aux règles du classicisme : Il n’a pas de mètre, ni de rimes. -Phrases tiennent sur plusieurs vers

aux desseins premiers du concile : répondre aux critiques justifiées des tenants de l'Église réformée (qui étaient grands adversaires du luxe et de l'abus des jouissances esthétiques). Le style de la véritable architecture jésuite est celui du classicisme sévère inauguré par Vignole pour la construction de l'église du Gesù à Rome, dont l'extérieur est d'une remarquable sobriété, comme maintes églises construites par les pères jésuites dans leurs missions d'Amérique latine, avant l'introduction des

détail. Le regard de la femme semble sortir du tableau, il surgit dans la vraie vie. Interpellé avec arrogance, le spectateur se retrouve lui-même au milieu du tableau, comme saisi sur le vif. Le nu ne prétend pas être beau, diffèrent du classicisme : idéalisme pictural. Au bas du regard de la femme, une nature morte autour d'un panier renversé ; l’on reconnait du pain et des fruits (des cerises, des figues) sur un lit de verdure. I) L'influence académique reste présente dans cette œuvre : a) Inspirations

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