Le Classicisme Pictural

présente chez Charles le Brun, maître de Philippe de Champaigne. Les compositions claires et ordonnées de Philippe de Champaigne, ainsi que sa maîtrise de la lumière et l'idéalisation de ses personnages nous amène à le replacer dans son époque, le classicisme. En effet son style présent dans ses peintures l'associe à ses contemporains tels que Nicolas Poussin, Simon Vouet, Charles le Brun, George de la Tour et tant d'autres. Le courant classique est en partie dut au contexte historique de la période

grande bourgeoisie parisienne.  Beaux-Arts en 1855, fréquente plus volontiers l'atelier privé de Louis Lamothe, élève d'Ingres et qui le présente à ce dernier. Malgré l'exemple d'Ingres, il admire Delacroix et aspire à conjuguer dans son art le classicisme du premier et le romantisme du second.  découverte de l'estampe japonaise l'a beaucoup inspiré par des compositions décentrées, des raccourcis elliptiques, des gros-plans ou encore des contre-jours. Il s'essaie à la peinture d'histoire qu'il souhaite

s'industrialise entraînant l'émergence d'un prolétariat important, les intellectuels se passionnent pour les sciences et les techniques. Les réalistes rejettent l'idéalisme et le sentimentalisme du romantisme ainsi que le formalisme bourgeois du classicisme. Ils s'inspirent de la vie quotidienne du prolétariat et des « petites gens », qu'ils se donnent pour mission de décrire fidèlement, sans en adoucir l'âpre réalité ; en cela, ils entendent atteindre à la même sincérité que la photographie naissante

XIXe siècle 1850 1800 1900 Néo-classicisme Romantisme Réalisme Impressionnisme Post impressionnisme Art nouveau Art naïf Le contexte historique et social Vers 1860, à Paris, les audaces picturales et le choix des sujets de jeunes peintres constitués en associations font scandale. Refusés aux Salons des officiels, ils organisent des expositions privées. La première se déroule dans l’atelier du photographe Félix Nadar en 1874. A cette occasion est exposé le tableau de Claude

extrait est célèbre dans l’histoire littéraire car il contient l’un des premiers emplois de l’adjectif « romantique ». Ce n’est pourtant qu’au 19ème siècle que se développera le Romantisme, mouvement culturel européen qui naît en opposition au classicisme (17 ème siècle) et au rationalisme (18ème siècle) et qui met en avant l’expression de la sensibilité, des états d’âme, de l’imagination. La communion avec la nature est l’un des thèmes romantiques les plus fréquents. L'auteur J.-J. Rousseau est

| |2 Le mal du siècle | |3 La rupture avec le classicisme : le préromantisme anglais de la fin du XVIIIe siècle (les Graveyard Poets et le roman gothique) | |4 Le romantisme allemand

couronner par des anges. A droite, on aperçoit un vieil homme, et dans le coin, le diable qui vient assister à la crucifixion. 02/10/12 Divers Classicisme | Baroque | Le classicisme est un art Linéaire, qui veut mettre de l’ordre partout que ce soit en peinture, en musique, ou dans les règles sociales. Les maitres mots du Classicisme sont la régularité, la raison.L’enlèvement des sabines (Nicolas Poussin) | Le baroque est un art lourd et chargé, qui est toujours un peu asymétrique. Il

Leucippe sont enlevées par Castor et Pollux. Il y a aussi dans le tableau deux anges accrochés aux montures des deux chevaux. Cette œuvre appartient clairement au mouvement baroque et offre une manière inédite de peindre les corps, qui s’éloigne du classicisme et de ces models sculpturale antiques . En quoi Rubens propose-t-il une nouvelle manière de représenter les corps ? Comment pour Rubens la représentation du corps véritable, dans toute sa chaire et sa matière est-il pour lui une représentation du

OE - Argumenter : convaincre, persuader, délibérer - Un mouvement littéraire et culturel : le classicisme La Bruyère, les Caractères. Etude d’extraits Problématique : Les Caractères, l’expression d’un idéal classique ? Chapitre V, De la société et de la conversation, remarque 9 (ajout de la 8ème édition) Intro : A propos de la question du « portrait », éléments de réflexion sur la question du « genre » des « Caractères » à partir d’éléments de définition. Le caractère est un genre

dont la composition allégorique suggère que l'existence terrestre est vide, vaine, la vie humaine précaire et de peu d'importance. Très répandu à l'époque baroque, particulièrement en Hollande, ce thème de la vanité s'étend à des représentations picturales comprenant aussi des personnages vivants comme Les Ambassadeurs d’Holbein. Elle désigne deux choses : Un sentiment de satisfaction personnelle, sentiment d'orgueil . Caractère de ce qui est en vain , futile, vide de sens. C'est donc