Le Clergé

siècle du classicisme, la dixième du livre VII du deuxième recueil des Fables. . Sous le règne de Louis XVI, les écrivains dépendent du mécénat et du pouvoir royal,ils n’avaient pas de liberté pour critiquer directement les membres de la royauté ou du clergé. Jean de La Fontaine , avec les fables réalise un parfait équilibre entre exigences classiques et une éblouissante fantaisie , où la critique y est implicite.Dans cette ette ,il nous raconte la mésaventure d'une jeune laitière un peu trop éprise par

Corrigé de la composition :La puissance de l’Église en Europe du XIème au XIIIème siècle 1ère étape : analyser le sujet, en approfondissant Église = institution, organisation qui encadre les croyants, clergé séculier/régulier, dirigée par le pape, intermédiaire entre fidèles et D, qui dit les guider vers le salut Puissance = pouvoir, influence → idée d'Eglise qui agit dans plusieurs domaines → pouvoir spirituel : dogme, salut, sacrements, omniprésence → pouvoir social : assistance, charité, définition

et le féminisme. Il importe donc de démontrer avec des exemples concrets l’ampleur et l’impact de ce contrôle clérical sur la littérature au Québec. Après la Rébellion de 1837, le clergé augmente ses effectifs. Beaucoup de communautés religieuses s'installent au Canada (14 entre 1841 et 1866). Le clergé s’impose partout. Rien n’échappe à son emprise et la censure proscriptive est appliquée dans la vie civile, la vie sociale, la vie privée en contrôlant la danse, les films et les livres, en

Pape ou évêque de Rome qui est élu) Église de Rome (Chrétien catholique) = Pape, évêque de Rome Église de Constantinople (Chrétien Orthodoxe) = Patriarche B/Clergé régulier, clergé séculier Le clergé régulier comprend ceux qui ont prononcé des vœux et vivent en communauté selon une règle (moines et religieux). Le clergé séculier comprend les clercs et les prêtres au service de l'Église dans le cadre de l'Église diocésaine (évêques, prêtres, diacres). L' Église a des terres et des

légitime de s’enrichir avec les ressources existants dans son domaine royal. Les conflits persistants entre le roi de France et le roi d'Angleterre, amena la création des impôts royaux payés par tous les sujets du royaume, avec des exemptions pour le clergé (qui priait pour le succès de l’armée du roi), la noblesse (qui payait l'impôt du sang) mais aussi de nombreuses régions, villes ou professions privilégiés. Ces ressources n’étant pas suffisantes au roi, des prélèvements fiscaux et des impositions

hommes libres, - les serfs qui appartiennent à un maître. 3- Le Clergé prie mais il possède aussi des terres et des châteaux. un ordre : une catégorie sociale au Moyen Âge. une redevance : somme d’argent à payer par le paysan en échange de la culture des terres seigneuriales. une taxe : impôt (somme d’argent) à payer au seigneur en échange de l’utilisation des équipements du village (four, moulin, pressoir). Un clerc: les membres du clergé (les hommes d’églises). un seigneur : la personne qui détient

mérovingiens puis celle des carolingiens. La dissolution de l'empire carolingien au IX ième siècle, et la « mutation féodale » qui l'accompagne, se caractérisent par la croissance de la puissance des seigneurs et de leur emprise sur les paysans ou le clergé. Mais malgré les guerres menées par les seigneurs à l'encontre du reste du royaume,les religieux ont su acquérir une grande autorité spirituelle qui créera leur force. De plus, durant la période du Moyen Age se construit la société médiévale. Cette

théorique + idéaliste (// Cluny qui = organisation réformiste) > critique, tt le monde à besoin de ceux qui travaillent, dc pas les « soumettre » Selon Adalbéron : 3 catégories de groupe, ayant chacun une fct° précise à remplir : - Clergé : ceux qui prient pour protect° et ont le savoir (0,5 % dl popu.) - Noblesse : ceux qui combattent pour défendre le peuple (1,5% dl popu.) - Peuple : ceux qui travaillent (artisans, paysans,…) (reste dl popu.) ⇨ respecter et non

Indulgences et les dérives du clergé ne pouvaient à elles seules, avoir provoqué un mouvement de l'ampleur de la Réforme. Dans le Saint-Empire Germanique où le mouvement a commencé, des revendications politiques et théologiques se greffèrent aux questions religieuses. • Causes politiques : o Les princes allemands voient d'un mauvais œil la souveraineté éminente du pape. Ils contestent de plus en plus les impôts ecclésiastiques, notamment la dîme o Le bas-clergé, dont la condition était misérable

remplir son trésor épuisé, voulut imposer des contributions extraordinaires au clergé. Le pape protesta, et déclara dans la bulle Clericis laicos que le roi ne pouvait lever aucun impôt sur le bien de l'Église sans son autorisation. Philippe le Bel avait d'autre part emprisonné Bernard Saisset, évêque de Pamiers. Le 24 février 1296, le pape avait promulgué une bulle excommuniant ipso facto tous ceux qui exigeaient du clergé des subsides extraordinaires. Pour riposter, Philippe le Bel interdit toute