Le Clivage Gauche Droite

est la représentation officielle du pays. La ferveur qui l'entoure tourne parfois au culte monarchique, même si l'attachement des Britanniques à la Couronne semble décliner. Bien que le monarque fasse usage de trois droits : le droit d'être consulté, le droit de conseiller et le droit d'avertir. Les gouvernements et le Premier ministre ont des réunions de travail confidentielles chaque semaine avec le monarque. Plus ce dernier règne, plus il acquiert de l'expérience et des connaissances, et plus ces

Pinçon-Charlot, Paris mosaïque, Calmann-Lévy, 2001). Paris qui se dépeuple Paris est structuré par deux grandes divisions : d’une part, la partition ouest/est, c’est à dire quartiers bourgeois et quartiers populaires ; d’autre part, rive droite et rive gauche de la Seine, à savoir monde des affaires, avec la Bourse, et monde de la culture, avec la Sorbonne. Paris comptait environ 0,5 million habitants au début du XIXe siècle, 1, 7 M en 1860, 2,9 M en 1921, chiffre le plus élevé. Depuis, la diminution

résultats immédiats et concrets. Ce pragmatisme ne veut pas dire pour autant que les jeunes n'ont plus d'idéaux ni de valeurs. Il ne les empêche pas d'être portés par des valeurs, notamment par des valeurs universalistes privilégiant la tolérance, les droits de l'homme, le respect de l'autre, la justice sociale, ou encore l'égalité. On peut dire que ce double registre, réaliste et idéaliste, caractérise la politisation des jeunes. Il définit des attentes fortes vis-à-vis de la politique. Vous soulignez

ouvrir le monde paysan sur l’extérieur. Ce contact aurait poussé les paysans à s’exprimer par un vote libre et désintéressé. Pour Maurice Agulhon, cette unification se serait faite en France avec l’apparition du suffrage universel, en 1848. Le droit de vote a ouvert les populations sur le débat politique. Grâce à une vie associative intense (organisation de manifestations et événements locaux…) les paysans se sont familiarisés à un rituel nouveau où chacun s’exprime de façon autonome. Mieux

que le politiste ne juge pas, il décompose et explique les choses. La science politique est autonome aussi par rapport au droit. Il n’y a plus d’approche juridique. Le but du juriste est de distinguer le légal de l’illégal, de règlementé le pouvoir politique. Le politiste n’est pas juriste, il ne dit pas la règle, il étudie les logiques et la manière dont les auteurs du droit produisent la règle, et comment celle-ci est respectée ou non. La science politique n’a pas d’approche institutionnelle, on

effet, ces "adversaires" doivent necessairement avoir des points d'accord, notamment concernant les principes democratiques de liberté et d'égalité. Ces points d'accord vont alors leur permettre de defendre leur point de vue, sans empieter sur le droit légitime de leurs adversaires d'en faire autant avec leurs opinions. Dans cette optique, les passions vont être mises en avant par la creation possible et légitime "d'identités collectives autour d'objectifs democratiques". Enfin dans un dernier paragraphe

nombreuses en participant aux scrutins( seulement 15 ont réussi de participer à toutes les 5 scrutins. 2.Des urnes, au pouvoir Le régime actuel de la Roumanie est bicameral, le président est élu directement par le vote du peuple et il a le droit d’élir son premier-ministre. Pendant le temps le numéro des électeurs a baisé et parmi leurs votes on trouve des bulletins blancs ou qui sont annulés parce qu’ils ne sont pas rélévants. En caractérisant la système politique, l’auteur donne des informations

La gauche en France L'union de la gauche Deux stratégies se succèdent au sein de la gauche non communiste pour préparer l'élection présidentielle de 1965, première élection du président de la République au suffrage universel direct depuis 1848 :  candidature de Gaston Deferre (L'Express : "Monsieur X") et création pour le soutenir d'une fédération regroupant la gauche non communiste (SFIO, clubs) et le centre (Parti Radical, Mouvement Républicain Populaire). C'est-à-dire la reconduction des

toute démocratie. Il faut distinguer différents types de partis : les partis dits "de cadre", nés au XIXe siècle, sont des partis de notables (issus, dans un premier temps, de la bourgeoisie ou de l’aristocratie) et se situent traditionnellement à droite ou au centre. En France, le Parti radical, pivot des gouvernements sous la IIIe République en a été le premier exemple ; les partis dits "de masse", nés au début du XXe siècle avec le développement du socialisme et du communisme. Ils ont comme objectif

combat entre une droite qui met en avant l’identité nationale et une gauche qui met en avant, peut-être moins maintenant, l’identité sociale. Dans un premier temps, l’auteur revisite l’expression « identité nationale », née de l’opposition sous la Révolution entre monarchistes et républicains, la droite et la gauche de l’époque. « Eux » et « nous ». Je crois que le thème de l’identité française s’impose à tout le monde, qu’on soit de gauche, de droite ou du centre, de l’extrême gauche ou de l’extrême