Le Clonage Point De Vue Christianisme

Le clonage INTRODUCTION : La nature elle-même fabrique des clones : les plantes qui font des boutures ou les vrais jumeaux. L'homme, quant à lui, a inventé une nouvelle forme de clonage, la génération d'animaux (comme la brebis Dolly) à partir de cellules d'animaux adultes. Le terme clonage est utilisé pour la première fois en 1903. Mais qu’est ce que le clonage et cela a-t-il eu des conséquences dans nos vies ? C’est ce que nous allons montrer en parlant d’abord du principe du clonage, puis

interdits… qui ne passe pas forcément par la réflexion. Attention, pas d’incompatibilité entre les deux. A. De la morale à l’éthique Les règles morales : on les retrouve essentiellement dans les religions monothéistes. Judaïsme Christianisme Islam Torah Bible Coran 10 commandements idem + 7 péchés capitaux 5 piliers 611 lois 24 sourates Selon les religions, la vie sur terre n’est qu’un passage, bonheur après la mort. Dans l’antiquité grecque,

de bioéthique de différentes religions. Quelques remarques philosophiques : En ce qui concerne l’humanité, il n’y a pas de « moi », il n’y a pas de « je », ni de « tu » ou de « il », il n’y a pas d’identité ni de personne sans corps. D’un point de vue extérieur, c’est par notre corps que nous sommes présents au monde & que nous sommes en relation avec les autres, & leur corps. Inversement, notre expérience personnelle montre bien que c’est par notre corps que le monde extérieur ainsi que les

théologie 1 – Introduction 2 – Le bouddhisme 3 – Le christianisme 4 – Le Judaïsme 5 – Le Protestantisme 6 – L'islam C – Implication des fondements religieux et leurs interactions avec la société 1 – Le clonage humain: thérapeutique ou reproductif a – Préambule b – Définition du C.N.R.S c – Le clonage pourquoi fait-il peur? d – Le clonage une idée nouvelle? e – Le point de vue du christianisme f – Le point de vue du judaïsme 2 31 31 g – Le point de vue du bouddhisme 2 – Interruption Volontaire de

INSAT | Clonage humain | | | Ben Wannes Ahmed/Alaya Marouane | | | Intro : De nos jours, plusieurs maladies restent incurables malgré l’avancée de la médecine moderne ainsi on ne peut jamais réimplanter un bras par exemple lorsque celui-ci a été coupé et c’est pourquoi les scientifiques se sont tournés vers le clonage. Ainsi s’inspirant des plantes on essaie de nos jours de produire de nouveaux organes à partir de cellules pluripotentes ce qu’on appelle clonage thérapeutique

d'ovules dans le champ de la reproduction) ; * la privatisation de banques d'organes ou de greffons (de sang de cordon par exemple) ; * L'hypothèse d'une gestation de l’embryon humain par des espèces non humaines ; * Les questions de clonage humain (thérapeutique ou non) ; * Le diagnostic prénatal ou préimplantatoire ; * La connaissance de caractères génétiques et la thérapies géniques ; * L'eugénisme (stérilisation d'handicapés mentaux et de personnes à risque génétique.

conduit au bonheur. Le bonheur est lié au plaisir mais ne se réduit pas au plaisir. Différence entre hédonisme (le bonheur se réduit à la maximisation du plaisir), et eudémonisme (le bonheur ne se réduit pas à la maximisation du plaisir). Le christianisme valorise la douleur, le dolorisme. Différent de l’ascétisme grec, qui consiste à l’exercer à la douleur pour la dépasser. Avec le monothéisme, vous n’avez qu’une seule bonne religion et qu’une bonne éthique. Pour les grecs, l’Ethique est une

: Introduction. P.3 I- Le clonage Thérapeutique. P.4-10 A- Techniques. P.5 B- Utilisation et alternatives au clonage thérapeutique. P.6-7 C- Les avantages et les espoirs de chaque techniques. P.8 D- Les inconvénients et les difficultés de chaque techniques. P.9-10 Index. P.11 II-Le clonage reproductif animal. P.12-20 A- Definition. P.12 B- Les risques. P.12-14 C- Les espoirs. P.15-20 III- Le cas particulier : Le clonage Humain. P.21-24 A- Définition

coûteuse -religieuse : remise en cause des relations de l’individu avec dieu. Interrogeons nous maintenant sur la question du suicide : il a sa place dans l’étude de la relation entre le droit et la religion. Les trois religions monothéistes (christianisme, judaïsme, islamisme) condamnent le suicide, car elles considèrent que la vie de l’individu ne lui appartient pas et qu’elle est la propriété de Dieu. Cette question qui est plus tournée vers la religion intéresse aussi le législateur qui n’est

mais seulement de créer les conditions d’une vie civile pacifique ; l’Église n’a pas à requérir de l’autorité publique la coercition contre d’autres croyances. D’une part, « l’État, selon mes idées, est une société d’hommes instituée dans la seule vue de l’établissement, de la conservation et de l’avancement de leurs intérêts civils. J’appelle intérêts civils, la vie, la liberté, la santé du corps ; la possession des biens extérieurs » ; d’autre part, le mot d’Église, « j’entends une société d’hommes