Le Combat De Frère Jean

narrateur se recentre sur frère Jean qu’on retrouve aussi belliqueux « choquer » l8. L’armée n’est pas en position de combattre et le moine s’avère aussi sans pitié que redoutable notamment avec le CCL « sans crier gare » l8. Il considère ses ennemis comme des animaux « renverser comme des porcs » l8 et il frappe sur tout ce qui bouge. Il se bat avec sa croix comme avec une épée ce qui est très burlesque voire contradictoire. On retrouve ainsi un paradoxe entre frère Jean se battant « selon la vieille

Gargantua et les fouanciers de Lerné. Ce conflit s’engendre à cause d`une demande des bergers envers les fouanciers. Ils veulent que les fouanciers leur vendent des fouaces au prix du marché. Mais cette demande est rejetée. Tout se transforme en un combat dont les vainqueurs sont les bergers. Dans le chapitre suivant, les fouaciers, offensés et enragés, se dirigent vers leur roi Picrochole. Il commence une préparation pour une vengeance. Le roi Picrochole organise tous les habitants de Lerné

considérer Frère Jean comme un véritable héros ? Lorsque Rabelais écrit Gargantua, sous le pseudonyme d’Alcofribas Nasier, il a l’intention d’amuser ses lecteurs mais aussi de les inciter à « sucer la substantifique moelle ». Ce roman original de par son sujet qui s’écarte du roman chevaleresque ou à vocation religieuse et de par ses personnages nous invite à réfléchir sur la notion de héros. Dans quelles mesures peut-on considérer Fère Jean comme un véritable héros ? Frère Jean, incarnation

guerres de religion. Dans le premier paragraphe, Rabelais se moque gentiment des moines en associant un nombre impressionnant de qualités, souvent inhabituelles pour un moine car attribuées la plupart du temps à un chevalier ou à un gentilhomme, au frère Jean des Entommeurs : « jeune, galant, frisque, de hait, bien à dextre, hardi , aventureux, délibéré, haut, maigre, bien fendu de geule, bien avantagé en nez, beau dépêcheur d’heures, beau débrideur de messes, beau décrotteur de vigiles ». Dans le second

Analyse des mots clés : registre : -satirique -comique (fantaisie, burlesque) -épique -parodique Dénoncer= critique grâce à la satire Recherche des grandes idées directrices I-Un combat épique II-Qui tourne à la parodie III-Au service de la dénonciation de Rabelais à travers la satire I- Un combat épique Un héros grandi et un portrait élogieux… -tenue « grande robe », bâton de croix symbolique « symbole de la royauté » -un homme courageux l9 et 10 « il les chargea donc si rudement

formalités religieuses : "beau débiteur de prières, bel expéditeur de messes..." « Un vrai moine » ironie de Rabelais, frère Jean n’a rien d’un moine ainsi décrit, sauf, sans doute, son penchant pour la boisson ! »Depuis que le monde moina » jeux sur le langage : néologisme amusant. Thèse pour appuyer l’appartenance de Frère Jean au clergé ! Le vocabulaire de Frère Jean est « cru », il jure et Blasphème sans retenue : « Bien chié chanté/vertudieu/Cordieu/Ventre Saint Jacques/corps de Dieu/… »

l’écriture de Rabelais puisqu’en général, le roman de chevalerie commence par un délit ce qui permet d’introduire le caractère héroïque du personnage qui ramènera l’ordre dans la société. * Hyperbole, amplification des blessures des ennemis au combat : P227 « il lui faisait voler la tête en morceaux en le frappant à la suture occipitopariétale », « aux uns il écrabouillait la cervelle, à d’autres, il brisait bras et jambes, à d’autres, il démettait les vertèbres du cou, à d’autres, il disloquait

PROPRE ECRIT Jean Racine, appartenant au mouvement littéraire classicisme, est un dramaturge et poète français du XVIIe siècle. Il est issue d’une famille de petit notable et devient orphelin à l’âge de 3ans. Les premières œuvres de Racine se tourne plus particulièrement vers le roi Soleil, Louis XIV. Il connut un très grand succès par la suite pour son œuvre «Andromaque » en 1667, 3 ans après «La Thébaïde ». Racine explore le secret des passions humaine, dévorés par l’angoisse et la jalousie, menacé

nous prendrons la Crète, Chypre, Rhodes et les îles Cyclades, puis nous attaquerons la Morée ». b) Une guerre de défense Mais, survient au chapitre 27 le premier habitant du pays de Grandgousier qui résiste à ses attaques, c'est un moine : Frère Jean "avec son bâton de croix, frappa si fort sur les ennemis " p225Dans toute cette première partie de la guerre, le pays de Grandgousier subit les attaques de Picrochole sans même que Grandgousier ne soit au courant de ces dernières. Ce n'est qu'au

de fougasses.) le texte relate un épisode de cette guerre : lorsque l’armée de Picrochole envahit un monastère, les moines décident de prier ; seul un jeune moine nommé frère Jean des Entommeures, décide de se battre. Apparition d’un nouveau personnage dans le récit. Présentation : Description du personnage de frère Jean au combat. Dénonciation de la guerre et parodie des romans de chevalerie.Mouvement : Le texte nous montre l’arrivée fracassante du personnage sur les ennemis et les coups portés