Le Comique Chez Rabelais

Rabelais Gargantua et Pantagruel Titre adopté par l’usage pour désigner le grand roman fantastique, burlesque et satirique de François Rabelais (1494 ?-1553) écrit et publié en plusieurs livres de 1532 à 1564 ; on dit aussi quelque fois Gargantua tout court. Le personnage apparaît pour la première fois dans les Grandes et inestimables cronicques du grant et énorme géant Gargantua, roman populaire d’aventures, paru sans nom d’auteur à Lyon en 1532. Cette œuvre (que quelques-uns attribuèrent à tort

le réalisme - Utiliser une démarche scientifique. -Appliquer les lois de l'hérédité et les lois du milieu social Procédés - Utiliser des formules courtes - La référence aux textes anciens - Questionner le lecteur (le faire réfléchir, développer chez lui un esprit critique) - Utilisation de formes fixes (sonnet) - Emploi fréquent d'images (comparaisons, métaphores ..) - Registre lyrique - Accumulations, antithèses - L'exagération, hyperboles, mise en abyme - la quantité ( parallélismes, ..) - Utilisation

matières de la première au lycée ! Fiches sur les mathématiques | Fiches sur la biologie | Histoire-géographie contact           aller à : œuvres complètes | textes | poèmes Oeuvres complètes GARGANTUA de Rabelais LES ESSAIS de Montaigne HAMLET de Shakespeare L'ILLUSION COMIQUE de Corneille DOM JUAN de Molière GEORGE DANDIN de Molière LE MISANTHROPE de Molière MANON LESCAUT de l'abbé Prévost L'ÎLE DES ESCLAVES de Marivaux LES FAUSSES CONFIDENCES de Marivaux LE JEU DE L'AMOUR ET DU HASARD de

nous allons voir en quoi l'ironie est un moyen efficace de persuader. Au XVIIIe siècle les autorités politiques et religieuses régissent la vie des citées et du pays donc pour que des ouvrages tels que L'Utopie de Thomas More ou encore Gargantua de Rabelais ai pu paraître il a fallu utiliser certaines méthodes pour «contrer» la censure, l'ironie fait partie de ces procédés . Il est évident que toutes idées pouvant déranger les autorités en vigueurs a l'époque était refusée, il ne faut surtout pas

toujours été un autre ». Cette volonté de la multiplicité n’est pas à chercher du côté du manque mais de la jouissance et de l’expérimentation.Un roman originalOriginalité à chercher du côté de Momo, héros-narrateur et de son langage dont la puissance comique frappe le lecteur. Roman sous le patronage de V. Hugo, par l’intermédiaire de M. Hamil, Momo le prend pour modèle. Le livre se présente comme une réécriture des Misérables . Misère éco et morale. Ainsi, dans ce

L'anonymat des personnages s'oppose au pronoms du style direct: vers.14 = « vous », « moi », « je » --- marque de la dispute II. Une satire de la justice Le personnage de Perrin Dandin Perrin Dandin est un personnage issu de l'œuvre de Rabelais et il est aussi présent dans « les plaideurs » de Racine C'est un magistrat dans le registre de la comédie et du burlesque. Il est donc apte à illustrer les traits satiriques ou caricaturaux. Dans la fable on retrouve la sonorité [den] de Dandin:

Le texte que nous allons lire se trouve au début du conte philosophique de Voltaire. Ce conte est paru en 1759, alors que notre auteur a 65 ans, pour régler les comptes avec le philosophe Leibniz ou plutôt son disciple Wolf, dont l'avatar comique semble bien être le docteur Pangloss - celui qui parle de tout et, de par son nom emblématique, prétend bien dire tout sur tout. Il poursuit par cette narration polémique le débat entamé dans le Poème sur le désastre de Lisbonne paru en 1755, après

les fils qui nous remuent » vers 13) : Satan s'empare de la volonté de l'homme (vers 11 : « le riche métal de notre volonté » qui est « vaporisé »). Le vers 12 montre la puissance de Satan qui peut vaporiser du métal. De plus, on retrouve le plaisir chez Satan avec l’oreiller qui y fait référence. L’emphase « c’est Satan [..] qui » souligne de nouveau l’attrait du Mal, c’est Satan qui dirige l’homme, et non dieu. - Des vices mortels L’homme n’a pas le courage de ses vices et cela est visible grâce

Aristophane : injure et comique. À propos de Cavaliers, 1274-1289 1 Rossella Saetta-Cottone Université de Palerme, UMR « Savoirs et textes » rosmart@free.fr « La louange ou l’injure peuvent prédominer : l’une est toujours prête à se transformer en l’autre. L’éloge contient implicite l’injure, il est gros de l’injure et, inversement, l’injure est grosse de la louange. » M. Bakhtine, L’Œuvre de François Rabelais et la culture populaire au Moyen Âge et sous la Renaissance, Paris, 1970, p. 412

deffaictz Victoire au noble roy Francoys Escampe toute frelore bigot. GLOSSAIRE Galloys : ni gaulois (qui sont déjà bien loin) ni français, tout simplement de joyeux drilles. Orrez : vous entendrez. Ce terme est attesté, dans cette forme, chez Villon (Ballade et oraison, Ballade finale) et dans le Roman de la Rose (Comment Narcisus se mira..., Cy est le rommant de la rose... et L'Amant), par exemple. Ruez : frappés, assénés. Phiffres : petite flûte traversière à six trous, de perce