Le Comique Et La Relation Maitre Valet

CORPUS « Les relations entre maîtres et valets » Corpus : Molière – Dom Juan (acte III, scène I) Marivaux – L'Île des esclaves (incipit) Beaumarchais – Le Mariage de Figaro(acteV, scène 3) Le corpus est constitué de trois textes extraits de pièces de théâtre différentes : L'Ile des Esclaves de Marivaux, Le Mariage de Figaro de Beaumarchais et Dom Juan de Molière. Cesontdes comédies datant du XVIIe et du XVIIIe siècle. Le corpus a pour thème les rapports entre maîtres et valets au théâtre,

voyante, assez flashe. De plus la plupart des costumes comportent des motifs très moderne. La marquise Lisette Scène comique La pièce, s'agissant d'une comédie, comporte de nombreuses scènes comiques. En autre, a la fin de celle-ci on a une scène assez comique qui ma fais assez rire, lorsque le Comte surprend le Chevalier embrassé la Marquise. On a ici du comique de situation, en effet le compte avais demandé de l'aide au Chevalier afin de «courtiser» la Marquise et celui ci accepta démentissent

Iphicrate et son valet Arlequin ayant fait naufrage, débarquent sur une île fondée, il y a une centaine d’années, par des esclaves révoltés. Dans cette île, les maîtres deviennent des valets et les valets des maîtres. Ainsi, Iphicrate et son laquais Arlequin, ainsi que Euphrosine et sa soubrette Cléanthis échangent leur condition, leurs vêtements et aussi leurs noms. Nous avons étudié cette œuvre pour éclairer l’objet d’étude le théâtre en s’interrogeant plus particulièrement à la relation entre le texte

de son maître. De quelle manière, la relation entre Sganarelle et Dom Juan tourne t-elle au comique ?, et comment Dom Juan se décrit-il en tant qu'hypocrite ? Dans notre extrait, (acte 5, scène 2) nous allons donc, dans un premier temps observer la relation comique qui se joue entre le valet Sganarelle et son maître Don Juan. Puis nous étudierons le portrait d'un hypocrite. A l'annonce de Dom Juan à son père dans la scène 1, Sganarelle surpris et heureux de la conversion de son maître, laisse

propre valet, le qualifie comme un « épouseur à toutes mains ». Seul son plaisir le guide et il n’hésite pas à faire sortir Done Elvire du convent, pour l’abandonner dès que son amour pour elle disparaitra. A la manière d’un conquérant, Don juan ne se limite pas à une seule femme, sa soif de conquête le contraint au perpétuel changement. • La relation maitre/valet : Sganarelle est constamment en scène avec Don Juan, parfois actif, parfois passif. Cette complicité entre le maître et le valet

social maître/esclave est renversée (concept des Saturnales). Dans la scène d'exposition, on assiste à un dialogue entre Iphicrate & son esclave Arlequin échoués sur l'île après un naufrage : début in médias res, caractéristique des scènes d'expositions théâtrales. Quand Arlequin apprend où ils se trouvent, il devient moqueur voire insolent, alors que Iphicrate est de plus en plus inquiet, & on verra par la suite que c'est légitime. Cette scène d'exposition est sous dominante comique, elle

certaine audace et une arrogance permanente. La pièce raconte donc comment Don Juan ayant quitté Dona Elvire alors qu'il l'avait enlevé d'un couvent va, accompagné de son valet Sganarelle tenter de séduire une paysanne, sauvé aun frère d'Elvire et mentir à son père sur ses résolutions avant d'être enlevé par une statue. Ce maître débauché et libertin a cependant un esprit chevaleresque et beau joueur, ce qui lui vaut l'admiration du publique et les foudres des dévôts. Il est accompagné de Sganarelle

A travers les siècles, le rôle du valet a évolué, et particulièrement entre le XVIIe et le XVIIIe siècle dans des comédies allant de Molière à Beaumarchais et au XXe siècle avec Jean Genet. La condition du maître et celle du valet reflètent une réalité sociale. Ce couple incarne l’inégalité de la société, dans laquelle le maître, représentant des puissants, domine ; et le valet, considéré comme inférieur, exprime l’impossibilité de se faire une place dans un monde où la naissance prime sur le mérite

acte I, scène 2, comédie donnée par Marivaux en 1737. Dans cette œuvre, qui renouvelle le genre de la comédie en explorant les méandres du sentiment amoureux, l’auteur met en scène le personnage de Dubois, valet qui met son intelligence au service de son ancien maître, Dorante, pour lui permettre de conquérir le cœur de sa nouvelle maîtresse, Araminte, en dépit de leur situation financière bien différente. Pour ce faire, Dubois use d’une double stratégie ; après avoir informé sa maîtresse

amoureuse et la saper de l’intérieur, créant un effet comique évident tout en signant la mort du romantisme. Plan : I) Une multiplicité de discours qui crée un effet comique a) Deux discours que tout oppose b) Des discours qui se superposent et qui se répondent c) Le langage du corps II) Une déclaration ratée, volontairement brisée par l’ironie de Flaubert a) Un lieu inapproprié c) Une critique de la vie provinciale Conclusion : Un passage éminemment comique puisque Flaubert joue avec les clichés du romantisme