Le Comique Madame Bovary

réalité donnée par tous les artifices du langage comme le vocabulaire, la description, etc. Ce courant est mené par Gustave Flaubert qui prône l'imitation de la réalité dans le roman. Il appliquera sa pensée dans ses romans, c'est le cas dans Madame Bovary qui est paru en 1857. Dans l'incipit de ce roman, Flaubert introduit un personnage important du récit : M.Bovary, lors de sa rentrée en cours, c'est un personnage important du roman sans pour autant en être le personnage principal. Comment cet

poésie lyrique (Théophile de Viau, OEuvres), épique (Agrippa d’Aubigné, Les Tragiques), théâtre (Pierre Corneille, L’illusion comique). _ le mouvement classique recherche d’équilibre et d’harmonie, rigueur et sobriété, idéal esthétique codifié. Genres littéraires dominants : théâtre tragique (Corneille, Le Cid, Horace... ; Racine, Britannicus, Phèdre...) et comique (Molière, L’École des femmes, Dom Juan...) ; poésie (La Fontaine, Fables) ; littérature d’idées (La Bruyère, Les Caractères,

d’œuvres et études d’extraits : Les Liaisons Dangereuses (Choderlos de Laclos) et Le Père Goriot (Honoré de Balzac) « Du réalisme au naturalisme » : lecture d’extraits : L’Avant-propos de La Comédie Humaine (Balzac), Les Illusions Perdues (Balzac), Madame Bovary (Flaubert), Préface à l’Assommoir (Zola), Préface de Pierre et Jean (Maupassant), Bel-Ami (Maupassant) Lecture : Le Chef d’œuvre inconnu (Balzac) SEQUENCE 4 : Théâtre, Texte et Représentation : Etude d’une comédie baroque : Amphitryon (1668)

personnellement pu vérifier ceci, alors que je me faisais opérer du genou. Après l’opération, entendre et partager le rire des amis et de la famille m’a permis d’oublier quelques instants la douleur à laquelle je faisais face. Il faut dire que le comique est une arme contre le pire, de fait le rire est non seulement l’un des fondements de l’esprit mais il amène à une intelligence, à une compréhension humaniste de l’existence parce qu’il est précisément au cœur de l’Homme. Le rire nous permet de supporter

salons parisiens où il côtoie Baudelaire et Gautier, l'auteur s'enferme dans la propriété familiale du Croisset où il écrit et réécrit les brouillons des oeuvres qui deviendront ses plus grands romans. Inspiré d'un fait divers lu dans le journal, 'Madame Bovary' lui assure une rapide consécration littéraire mais son héroïne représente bien trop ce que la morale bourgeoise réprouve, liberté et désirs avoués ; en 1864, le Rouennais est condamné pour outrage aux bonnes moeurs. Attaqué par les moralistes

vision du monde, en nous faisant comprendre que tout est éphémère, que le changement est naturel. • Écrivains représentatifs : Théophile de Viau, Saint-Amant, Tristan L'Hermite, Madeleine de Scudéry. • Quelques oeuvres représentatives : L'Illusion comique de Corneille, Stances et sonnets de la mort de Jean de Sponde. Classicisme - XVIIe siècle : Le classicisme apparaît en partie en réponse à l'exagération baroque, mais surtout en conséquence de la réglementation et de la codification de la culture

cultiver. En outre, l’opinion négative du roman peut provenir de la présence du comique. Le comique (de geste, de décalage, de situation…) fait perdre alors toute crédibilité à un roman. Ainsi dans « Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part » d’Anna Gavalda, ce recueil de 12 nouvelles à rencontré un grand succès auprès du public grâce entre autre au fait que certaines histoires laissent une place au comique, voire dérisoires. Le contenu de l’œuvre est alors décrédibilisé. Ainsi, L’œuvre

- Le pastiche C'est l'imitation d'un style et des ''tics'' d'écriture d'un auteur. Il peut être comique ou satirique. C'est un jeu avec le lecteur qui a plaisir à retrouver la ''manière'' d'écrire d'un autre. C'est une joie pour l'auteur qui s'amuse à reproduire un style. Il doit toutefois avoir une connaissance approfondie de celui dont il s'inspire. - La parodie C'est une imitation comique et une déformation d'un style. Elle a pour but de se moquer et de faire rire. Burlesque, caricaturale

littéraires fondés sur les réflexions psychologiques H. d’Urfé, L’Astrée : roman pastoral. Mlle de Scudéry, Le Grand Cyrus, Clélie : dimension historique Mme de Lafayette, Zaïde Charles Sorel, Le berger extravagant : parodie des romans précieux Romans comiques : langue familière, héros populaires, rire (Furetière, Le roman bourgeois, Scarron) Romans héroïques : héritage des épopées. Sujets historiques, sans souci historique. Narrateur homodiégétique (1ère personne) et intradiégétique. Histoires imbriquées

pauvres et les plus marginales, comme dans les contes et les farces ; il n'hésite pas à peindre les occupations des hommes les plus triviales et à évoquer le corps et ses fonctions dans les termes les plus crus. Ainsi, L'Histoire comique de Francion de Sorel ou Le Roman comique de Scarron font une large place aux notations matérielles, mais ne prétendent pas pour autant être une transcription fidèle de la réalité : marqués par l'exagération et le burlesque, leurs récits visent essentiellement à faire