Le Conflit Entre Maitres Et Valets

Une scène à trois : analyse du rôle du valet dans la communication Dans cet extrait, Dom Juan et Done Elvire sont les personnages principaux mais Sganarelle, le valet de Dom Juan a aussi un rôle important : celui de messager. En effet, Dom Juan utilise son valet un peu comme un bouclier face à la femme qu'il vient de déshonorer. Il l'oblige à répondre à sa place et utilise notamment une répétition du verbe répondre qui montre son obstination à l'intercaler entre eux deux. Ainsi Dom Juan n'a pas le

coup de maître en écrivant l'Ecole des femmes, la première des comédies de la maturité. Cette pièce, qui soulève des questions importantes (l’institution du mariage et l’éducation des filles), tranche nettement avec les thèmes habituels de la farce ou de la comédie à l’italienne. Innovation littéraire en même temps que critique originale de la société du temps, elle irrite certains auteurs concurrents autant qu’elle choque les tenants de la morale traditionnelle. Intérêt du livre : Entre comédie

notre attention s’inscrit dans la scène d’exposition qui présente action et personnages : les deux valets se nomment l’un l’autre, le nom des personnages suffit à nommer une contrée espagnole, la Sicile. Enfin nous prenons connaissance du conflit de l’action : Dom Juan a enlevé Done Elvire afin de l’épouser puis de disparaître. Nous verrons comment Sganarelle qui réprouve cette conduite décrit son maître (accroissement ainsi que la tension dramatique autour de l’apparition du personnage éponyme) et

qui  oppose  Alceste   à  Philinte.  Alceste  reproche ici à son ami d’accorder trop facilement son amitié. Nous verrons comment est mis en scène le  conflit  entre  les   deux  hommes.  Tout  d’abord  nous  analyserons  la  thèse  d’Alceste  avant  de  nous  intéresser à celle de Philinte pour finir par montrer l’opposition de caractère entre les deux personnages. Axes :    I. La thèse d’Alceste              II. La thèse de Philinte   I. La thèse d’Alceste a) L’idéal moral d’Alceste ­T

les artistes remettent en question les mœurs et la mentalité de leur époque, notamment grâce à la littérature. Molière, maître de la comédie classique, au même titre que Corneille et Racine quant à la tragédie, écrit en 1665 sous les ordres du roi Louis XIV la pièce Dom Juan. Sujette à des controverses de par son ambiguïté entre les sous genres comiques et tragiques, et entre les mouvements classique et baroque, la pièce tire la satire du libertin qu’est Dom Juan sous la devise Castigat Ridendo

jouée le 27 Avril 1784 ; ce fut un triomphe. Sujet : Figaro, le valet du comte Almaviva, doit épouser Suzanne la camériste de la Comtesse. Mais, le Comte, infidèle à son épouse, porte ses vues sur Suzanne. Il entend user du droit du seigneur plus prosaïquement appelé « droit de cuissage », qu’il avait lui-même aboli à l’occasion de son mariage avec Rosine. Figaro, Suzanne et la Comtesse se liguent pour déjouer les desseins du maître du château. Structure : 5 actes. L’acte I comprend 11 scènes ;

femme et de son valet Sganarelle. Je me concentrerai dans un premier temps sur les initiatives qu’a prises Mesguich avec sa mise en scène originale, puis sur l’acte III scène 1, scène très importante que Mesguich décide d’aborder de façon comique. On remarque dès le début de la pièce que le metteur en scène joue sur les différents types de comiques. La pièce commence avec Sganarelle parmi le public. On comprend ainsi que le valet va établir un lien entre les spectateurs et son maître afin de conserver

essentiellement conflit a)omnipresence des confits. b)valeur cathatique motivant le conflit. c)le theatre comme tribune pour exprimer une vision de la société. II-originalité u langage theatral au service de l'expression des rapports humains. a)incarnation du conflit dans l'acteur. b)importance du non verbal. c)la double enonciation. ** Donc comme plan j'ai trouvé : I- Le conflit, élément fondamendal du théâtre A- "Sans conflit, il n'y a pas de théâtre" - Le conflit est le centre

acte I, scène 2, comédie donnée par Marivaux en 1737. Dans cette œuvre, qui renouvelle le genre de la comédie en explorant les méandres du sentiment amoureux, l’auteur met en scène le personnage de Dubois, valet qui met son intelligence au service de son ancien maître, Dorante, pour lui permettre de conquérir le cœur de sa nouvelle maîtresse, Araminte, en dépit de leur situation financière bien différente. Pour ce faire, Dubois use d’une double stratégie ; après avoir informé sa maîtresse

Séville (1775) : le barbier, Figaro, le comte Almaviva et Rosine, appelée maintenant la Comtesse. Beaumarchais use de tous les ressorts du comique, en fidèle héritier de la commedia dell'arte. La pièce débute par une scène d'exposition, le comte Almaviva, maître de Figaro et de Suzanne, a offert un lit aux deux futurs époux. Figaro prend ce cadeau avec plaisir, Suzanne est plus réticente, car elle a compris les véritables intentions du comte. Elle explique à Figaro le but du comte. Est-ce une scène d'exposition