Le Conflit Est Une Des Composantes De La Démocratie

philosophique politique) -Double rapport : -Influences par les idées philosophiques -Influences par les circonstances et idées politiques Naissance de la philo politique-Grèce Antique La démocratie athénienne Cité 3 piliers : -Egalité devant la loi -Egale participation (plus un devoir qu’un droit =>démocratie direct . de nos jours Référendum ) -Liberté d’opinions Ces 3 points ne valent que pour les citoyens (donc pas les femmes, les esclaves, les étrangers) Isonomie (politique est l’œuvre essentielle

l'introduction de la monnaie vers 680) engendre une nouvelle sorte de conflits entre les grandes cités. Passé 650, l'aristocratie doit combattre pour n'être pas renversée et remplacée par des leaders populistes appelés tyrans. À remarquer que ce terme de (tyran- tyrranoï), n'a pas nécessairement le sens moderne de dictateur despotique mais désignait le plus souvent, simplement le chef (ou le maire) de la Cité. L’éveil a la démocratie À Athènes, au contraire, la monarchie fut abolie en 683, et Solon

transformation profonde : on assiste à l’accélération du rythme de création de nouveaux États. De 51 lors de sa création en 1945, l’ONU est passée en 2012 à 193 Etats membres (sur 196 qu’elle reconnaît officiellement). 89a a/ Une solution à des conflits ethno-religieux ? Depuis quinze ans, plus de 26 000 kilomètres de nouvelles frontières ont été tracées. Des États neufs sont apparus, comme le Timor oriental (2003), le Monténégro (2006), le Kosovo (2008), entérinant des divisions ethniques et

d’un jeune diplômé tunisien Pays affectés Pays stables Régimes renversés Tunisie Égypte Lybie Yémen Pays pas encore ou non affectés Régimes menacés Syrie Bahreïn Avenir ??? Arabie Saoudite Oman Jordanie Algérie Maroc Qatar Koweït E. A. U. Conflits régionaux Irak Liban Palestine Guerres civiles Comores Djibouti Somalie Soudan Mauritanie Principales causes du Printemps arabe Facteurs politiques • Longue durée de l’exercice du pouvoir Mouammar Kadhafi: 42 années de règne en Lybie Famille

aisément, et elle est bien souvent source de conflits ou de choix politique de gestion. L'étude de cas envisage la gestion durable de la Vanoise. I. Un milieu anciennement exploité. La notion de milieu est synonyme de celle d'environnement : elle désigne non seulement un cadre physique (milieu montagnard) mais également les relations qui existent entre cet aspect concret et les usages qu'en font les sociétés. Le milieu se définit donc par ces composantes matérielles (pente, sols, climats, eau,

général, régional et une Assemblée délibérante. Ainsi, il y a une amélioration de satisfaction des aspirations de la population et des moyens d’administrer, on parle de démocratie participative. Cette revendication de liberté détient des avantages et des inconvénients, en effet, elle permet une meilleure gestion locale, une démocratie locale et allège la charge du pouvoir central. Cependant ce morcellement peut être un contre-pouvoir, poser des problèmes financier, des difficultés de compréhension pour

Qu’est-ce que la crise de la social-démocratie ? Master 2 « Sciences de gouvernement comparées », sous la direction de Pierre Martin Sciences Po Grenoble mai 2010 1 RÉSUMÉ DU MÉMOIRE La question de recherche et les sources utilisées Ce travail sur la social-démocratie a pour origine un intérêt personnel et citoyen pour la gauche européenne, et un étonnement devant le paradoxe apparent d’une concomitance entre crise du capitalisme et crise de la social-démocratie. Aidés dans notre démarche de

la modernité. Ainsi, les sociétés contemporaines ou postmodernes déçues par la non réalisation du progrès prônée par la modernité se trouvent dans une ambivalence due aux conflits des rapports entre les deux types de sociétés. Dans cette perspective, comment comprendre notre sujet de recherche «Quels sont les enjeux des conflits de la modernité et la postmodernité » ? La pertinence de ce thème nous demande donc de l’examiner sous l’angle suivant : d’abord qu’est ce que la modernité et la postmodernité

entre les idées de coopération et de souveraineté, entre l’objectif de l’ordre international et le développement inévitable des révolutions, entre le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes et le partage du monde en zones d’influences. Pour lui, le conflit est au cœur de la collectivité des Etats, non la solidarité ; la coopération internationale ne peut être qu’occasionnelle, ponctuelle. La souveraineté de l’Etat, expression du droit des peuples, reste l’élément central de la vie internationale.

pour lui les suivants : - l’autonomie. Ce terme souligne que l’homme moderne se gouverne lui-même à la lumière de sa propre raison, il s’émancipe de l’hétéronomie (une loi donnée de l’extérieur) ; - la démocratie. Les individus sont soumis au pouvoir qu’ils se donnent eux-mêmes. La démocratie est le régime des individus libres et égaux. Elle s’oppose à un pouvoir reposant sur le sacré. Elle suppose la « discussion et l’argumentation dans le pluralisme des opinions » ; - la sécularisation. « Celle-ci