Le Conformisme Ash

plutôt + (Mayo : + gpe soudé, + il est efficace) ms autres facteurs entrent en jeu ds la productivité + membres peuvent s’entendre pr moins W, prendre + leur tps… * Sur la pensée du gpe : groupe think : ens de pressions pour obtenir consensus, conformisme = rech unanimité donc effet plutôt – car pas innovation, esprit critique… d) La dynamique du gpe Kurt LEWIN père fondateur psychosociologie expérimentale. * Théorie de la dynamique de gpe : étude des champs de force ds petits groupes

influences au sein d’un groupe I) L’influence majoritaire 1) La normalisation C’est le fait d’adopter les règles de fonctionnement général pour s’intégrer : acceptation de la norme. 2) Le conformisme (suivisme) La personne va dans le sens du groupe et fait comme les autres, il est influençable. Selon Ash, l'individu seul accepte de changer pour suivre le groupe en oubliant toutes les valeurs qu'il a pu avoir auparavant. (Exemple : phénomène sectaire, perte de toute réflexion) 3) Soumission

|Frustration si inactivité | |Indépendance d’esprit |Rébellion contre conformisme, pressions | |Grande capacité de concentration |Accepte mal d’être interrompu

Notion d’équilibre. Affinement de l’image du corps. Orientation dans le temps et l’espace. Le jeu permet de construire l'identité de l’enfant, de l'inscrire dans le temps. Apprentissage des règles de la vie humaine. Période acconflictuelle, de conformisme, où l’obsessionnalisation vient servir l’éducation et l’enseignement « âge de raison ». politesse, mensonge, formations réactionnelles. Désexualisation des relations objectales avec des formations réactionnelles (pudeur-dégout). Il conçoit les

devriez être capable de : - Analyser l’impact du groupe comme facteur de conformisme - Analyser comment des minorités sont capables de produire un effet de conformisme. - définir l’ « Effet de conversion » énoncé par Moscovici 1. INFLUENCE MAJORITAIRE ET CONFORMISME A l’époque où se constitue la science des phénomènes de groupe, l’expérience de Salomon ASCH (1956)1 éclaire l’impact du groupe comme facteur de conformisme. Ce chercheur, dans ses études sur l'influence sociale ou majoritaire observe

a. La contrainte permet la conformité sociale. - La notion de conformité : Le conformiste est celui qui respecte les objectifs de la société et utilise les moyens usuels pour at- teindre ces objectifs. Le conformisme permet le respect des attentes lors d’une communication, d’un échange. Par exemple, si je demande mon chemin à un passant, j’attends du passant qu’il me réponde, qu’il le fasse avec un minimum de politesse et le passant attend de moi, politesse

1. La conduite des individus. a. La contrainte permet la conformité sociale. - La notion de conformité : Le conformiste est celui qui respecte les objectifs de la société et utilise les moyens usuels pour at- teindre ces objectifs. Le conformisme permet le respect des attentes lors d’une communication, d’un échange. Par exemple, si je demande mon chemin à un passant, j’attends du passant qu’il me réponde, qu’il le fasse avec un minimum de politesse et le passant attend de moi, politesse

avoir { reproduire le comportement du modèle. Ex : on observe un accident de la route sans le reproduire. On ne subit pas les conséquences du comportement. B – Conformisme Le Bon, Il s’est intéressé aux mouvements de foule. Les gens qui se trouvent en groupe voient s’altérer leur état psychologique (plus en possession de nos moyens). Ash, 1956 L’homme est rationnel et ne se laisse pas hypnotiser par la foule. Il reste indépendant des autres et peu résister à une majorité. On est influencé par la

sélectivité Globalisation (percevoir l’ensemble avant d’identifier les stimuli isolés). Sélectivité (focaliser sur un détail) « Nos décisions sont-elles prises librement ? » Des décisions sous influence L’expérience de Salomon Ash (1951) sur le conformisme. L’expérience de Pilip Zimbardo (1971) sur l’adaptation de nos comportements (expérience dite de Stanford). « Quelle est la conclusion de ces deux expériences ? » « Quelle sont les erreurs les plus classiques en matière de décision

interaction avec d'autres pour converger vers une opinion commune : c'est l'effet de normalisation. Mécanisme naturelle qui fait que si on a pas de bonnes raisons qu'il en soit autrement, on a tendance à préférer être dans la norme. Le conformisme (Asch) Ash (1956) montre qu'il existe une pression à la conformité qui est exercée par la majorité sur la minorité au sein du groupe. Il met en lumière que dans les organisations des pressions s'exercent sur les membres du groupe pour adopter un comportement