Le Convoi de la peur

demandait pardon, il aurait dû veiller sur elle et il l'avait beaucoup négligée." Rieux n'est pas décrit de l'extérieur avec précision. Dans le roman, le physique de Rieux n'est pas décrit. Rieux ne se décrit pas car il a une très grande pudeur, par peur de révéler son identité, et par son refus de se mettre en valeur. Rieux écrit quelque ligne sur lui dans le carnet de Tarrou : "Paraît trente-cinq ans. Taille moyenne, les épaules fortes. Visage presque rectangulaire. Les yeux sombres et droits, mais

projecteurs. Un peu plus loin, une file de camions. Puis tout se tut à nouveau. Quelqu’un traduisit les ordres : il fallait descendre avec les bagages et les déposer le long du train. En un instant, le quai fourmillait d’ombres ; mais nous avions peur de rompre le silence, et tous s’affairaient autour des bagages, se cherchaient, s’interpellaient, mais timidement, à mi-voix. Une dizaine de SS, plantés sur leurs jambes écartées, se tenaient à distance, l’air indifférent. A un moment donné, ils s'approchèrent

résistants communistes d’origine étrangère, souhaitant lutter contre le Nazisme et contre l’occupant allemand. Il prend la tête de ce réseau très performant, rendu célèbre par les coups d’éclat (assassinat d’Allemands et de collaborateurs, sabotage de convois allemands, assassinat de Ritter, un général SS responsable du Service du Travail Obligatoire en France...). En 1944, suite à une trahison, le réseau est neutralisé par une vague d’arrestations. Torturés longuement puis exécutés, les membres du réseau

l'arrière, le danger et la prise de risque ne peuvent exister que sous la forme de simulacres et de parodie, à l'exemple de sacrifices de Lola qui goûte ses beignets malgré sa terreur de grossir: « elle eut en peu de temps aussi peur des beignets que moi des obus », ou de la peur des civils qui se précipitent dans les caves à la première alerte : « Ces paniques menues, durant lesquelles tout un quartier en pyjama, derrière la bougie, disparaissait en gloussant dans les profondeurs pour échapper à un

en pensant à une éventuelle évasion) Où le narrateur sera-t-il transféré? (le narrateur sera transféré à la conciergerie) Chapitre 22 : Résumé 1 : Le narrateur quitte son cachot et se fait conduire dans la voiture qui l’a ramené à Bicêtre, le convoi arrive vers huit heures et demi du matin. La foule, avide de sang, s’est déjà attroupée pour ne pas manquer ce bon spectacle Résumé 2 : Le prisonnier est transféré à la Conciergerie. Il nous conte le voyage et sa discussion avec le prêtre et l’huissier

[canton], le cannibalisme dans le bourg de Lioudbimovka prend des proportions dramatiques. On isole les cannibales. Le comité provincial d'aide aux affamés a acheminé dans la ville de Pougatchev un train médico-alimentaire pour 5'000 personnes. Le convoi amène du ravitaillement pour six mois. Les échanges de marchandises avec l'Ukraine sont impossibles car dans les provinces de Zaporojié, Donetzk, Ekaterinoslavl, Odessa et Nikolaiev, la famine a été déclarée. La collecte de dons alimentaires y est

j'ai courus ». […] Lorsqu’il voit la plèbe soulevée d’enthousiasme par son discours, Marius fait charger en hâte les navires avec les vivres, les soldes, les armes et tous les autres matériels. Il ordonne à son lieutenant […] de partir avec les convois. Pendant ce temps, lui-même enrôle des soldats, en ne suivant pas la coutume des anciens qui consistait à les choisir dans les classes sociales, mais prenant tous les volontaires, pour la plupart des prolétaires exclus du service militaire. Les uns

Lorsque plus tard il cache le mot juif de la vitrine du salon de coiffure pour que 2 allemands viennent s’y faire coiffer, il ne se rend pas compte des représailles que cela aurait pu entraîner. Dans le salon, tous les adultes avaient peur. C’est peut-être cette absence de peur, la naïveté et l’absence de soucis qui a permis à des enfants de rester calmes et de survivre. Contrairement aux adultes, Joseph, ne sachant pas de quoi demain sera fait, conserve un brin de légèreté et une âme d’enfant comme lorsqu’il

est dans sa cellule et n’a plus qu’une pensée : la peur et la certitude d’être condamné à mort. Chapitre II :Cela fait trois jours que c’est le procès de l’accusé ; il fait beau, il y a du soleil. L’accusé est condamné à mort. Chapitre III :Le condamné dit que dans tous les cas, tout le monde est condamné à mort dès la naissance et que le bourreau n’a plus rien à lui prendre, mise à part la peur qu’il fait au gens. Chapitre

véritable mission qui est en réalité de couler un navire britannique de ravitaillement, mais pas n'importe lequel c'est un navire transportant les toutes nouvelles armes des américains qui permettrait aux britanniques d'avoir une supériorité militaire, ce convoi pourrait donc être protégé par des sous-marins ou navires britanniques. Il y a, à présent, beaucoup trop d'éléments qui ne sont pas en notre faveur: le navire est introuvable, les britanniques connaissent notre position et le navire peut être protégé