Le Corbeau

la fatalité est représentée par un corbeau et dans Cage d’oiseau par un oiseau dont on ignore la sorte. Dans chacun des deux poèmes, les oiseaux représentent différents thèmes, mais symbolisent tout de même la mort : dans le poème de Nelligan, l’oiseau représente la mort drastique. Quand Nelligan écrit : «Ils planaient au frisson glacé de nos ténèbres, Agitant à leur becs une chair en lambeaux» 5(l.7-8), il illustre bien le coté macabre du corbeau. Le corbeau est utilisé car il est un oiseau charognard

Enfin la paix. Jour noir et âme de corbeau. Tristes plumes de mon âme, qui tente de s’échapper de ce corps pour gagner l’éther. Le bleu-noir du ramage qui me recouvre reflète les couleurs du soleil couchant et c’est dans mes yeux que se reflètes la misère du monde. Je ne suis qu’un corbeau parmi les corbeaux, un charognard parmi les charognards qui ne pense pas, qui mange. Non, le terme n’est pas juste, je ne mange pas, je bouffe, me bâfre, me goinfre de cette chair malsaine faisandée, m’emplis

Le Corbeau (titre original : The Raven) est un poème narratif de l'écrivain américain Edgar Allan Poe, et compte parmi les textes les plus forts de ce poète, établissant sa réputation dans son pays et en Angleterre. Il paraît pour la première fois le 29 janvier 1845, dans le New York Evening Mirror. D’une grande musicalité et à l'atmosphère irréelle, obéissant à une métrique stricte, le poème raconte l'histoire d'une mystérieuse visite que reçoit le narrateur, qui se lamente sur la mort de son amour

être certain de cette « vérité » que si l’on prend en compte tous les corbeaux qui existent et qui ont existé depuis la nuit des temps dans le monde, ce qui est totalement impossible. Rien ne prouve et n’empêche de croire qu’un corbeau rouge ait pu exister ou qu'un corbeau blanc n'existera pas un jour. L’hypothèse n’est donc jamais complètement vérifiée et vient se placer dans l'état d'avancement de la science, discipline en perpétuelle évolution. 3) Les savants et scientifiques d’aujourd’hui

En écrivant : « Déchirant à large coups de bec, sans quartier, / Mon âme, une charogne éparse au champ des jours, / Que ces vieux corbeaux dévoreront en entier » 1(l.12-14), l’auteur insinue qu’il va mourir bientôt. Il y a une comparaison entre le corbeau et la mort dans cette citation. Son poème est teinté d’images lugubres faisant constamment référence à la mort. Un large champs lexical comprenant les mots « funèbre » (l.2), « lugubrement » (l.5), « carcasse » (l.6), « frisson » (l.7), « ténèbre »

il est séparé de l'aube par le ciel. L'image suscitée par ces poèmes est toujours une image qui nous glace le sang, une image qui nous rappelle qu'on ne sait pas tout et même rien de ce qui nous entoure. Certaines images comme la guerre ou le corbeau qui apportent la mort seront toujours d'actualité et admises de tous. On peut êter pris de compassion en voyant le poète qui ne veut plus écrire et le pousser à continuer tout comme on veut aider la personne qui veut mourir à se battre pour vivre

un ami sort de l'ombre à ta place, Demain du sang noir séchera au grand soleil sur nos routes Chantez, compagnons, dans la nuit la liberté nous écoute... Ami, entends-tu les cris sourds du pays qu'on enchaîne Ami, entends-tu le vol noir du corbeau sur la plaine Oh -Qh-Oh-Oh-Oh-Oh-Oh-Oh-Oh-Oh-Oh-Oh. Le chant des partisans INTRODUCTION : Présentation du « Chant des Partisans » Nature de l’oeuvre : Chant populaire, patriotique, c’est l’hymne de la Résistance française durant l’occupation

de graves psychoses et cette maladie le clouera en institution psychiatrique pour le reste de sa vie. Dans son poème «Les corbeaux», dès le début, il écrit: «J'ai cru voir sur mon cœur un essaim de corbeaux». (V.1). Le choix du corbeau n'est pas exempt de sens car le corbeau est à la fois un oiseau carnivore et un charognard. Puis, à la lecture de son poème, nous pouvons remarquer que la fatalité est indissociable de la mort grâce au passage qui montre la présence de la mort: «Déchirant à larges coups

- « noir » : comme la couleur de l’uniforme des SS, noir comme la mort, le deuil) - « corbeaux » : charognards planant au-dessus des cadavres, auxquels sont comparés les Allemands qui tuent, pillent le pays et se repaissent des dépouilles. Le corbeau représente toujours une menace. - « nos » : notre pays envahi et occupé par les Allemands. - « plaines » : la plaine est un grand espace plat où il est impossible de se cacher. Dans la plaine, les proies sont à la merci des prédateurs. - «

Citation : L’oiseau dans ma cage d’os C’est la mort qui fait son nid Paragraphe d’antithèse : Argument 2 : l’oiseau est habituellement un symbole de paix et de liberté Sous-argument 2.1 : Dans le poème Les corbeaux, Émile Nelligan, choisi le corbeau comme oiseau représentant la fatalité. En effet les corbeaux sont des oiseaux charognard, aimant manger de la chair morte. Donc il va de soi que cet oiseau représente bien la mort. Sous-argument 2.2 : Dans le poème, cage d’oiseau, Saint-Denys Garneau