Le Corps Dans La Littérature Maghrébine

qui nous fait revivre: «L'exotisme (...) comme la loi fondamentale de l'intensité de la sensation, de l'exaltation du sentir; donc de vivre » (Segalen in Covanti, 2007, p23). L’exotique est quelque chose d’irréelle qui n’existe que par la littérature, la poésie, les spectacles, les films, les peintures, l’art ou les décorations… la plupart des gens parait satisfait des bouleversements qui touchent soit l’emplacement ou la cohérence entre les animaux, les végétaux et les décorations car l’un

l’unanimité des (rares) agents rencontrés ayant commencé leur carrière avant les années 2000, et surtout des formateurs, de quelques patrons d’agences ou d’entreprises, et des experts de la sécurité qui s’expriment dans les conférences ou dans la littérature professionnelle, pendant de nombreuses années, on « embauchait n’importe qui » dans la sécurité privée. Cette activité est particulièrement remarquée pour l’importance du turn-over chez les ADS. Dans son rapport de branche, l’OMPS établit que

car le père a transformé le corps de son enfant en un autre, l’histoire est racontée comme dans la tradition orale dans une place publique : celle de Jamâa-El-Fnâ de Marrakech. Dans le roman de Tahar Ben Jelloun, la narration éclate dans une surenchère de conteurs et dans une rivalité de voix qui s’installent dans cette place pour rendre public le secret dont sont détenteurs ces « gouals ». Ces récitants tentent d’émerveiller la foule par l’histoire insolite du corps d’Ahmed-Zahra et de la transmettre

Salem Chaker (Berbères aujourd’hui, page 64), sur le fait que “le droit coutumier berbère est une donnée objective des sociétés berbères ; il préexiste à l’arrivée des Français, qui ne l’ont pas crée comme on pourrait parfois le croire à lire la littérature nationaliste arabo-islamique”. Ce “dahir berbère”, texte de droit international privé qui ne dit pas son nom, tendait à l’application du droit coutumier berbère en matière pénale aux populations berbères. Il s’agit là, sans plus, d’un exemple

gars de la campagne ». On peut relever tout ce qui montre qu’effectivement notre personnage est un campagnard En outre, cet habit, tout comme le couvre-chef, a des aspects ridicules et n’est pas sans rappeler l’habit du bouffon : . De même son corps est également objet de ridicule : par rapport à ses autres camarades, nul difficulté à l’imaginer benêt et mal dans sa peau. Ainsi son habillement annoncerait aussi le destin du personnage : déjà en costume de citadin lorsqu’il rentre au collège, même

celui des femmes actuelles. On retrouve un discours bien souvent similaire, elles se sentent « prises d'un besoin subit » et « accouchent sur le siège ». Dans les années 1970, on assiste à l'apparition de l'expression « déni de grossesse » dans la littérature psychiatrique. Un intérêt manifeste pour ce phénomène dont les mécanismes étaient totalement méconnus, suscita à partir des années 1980 une vague d'étude et de recherche lui donnant ainsi plus de consistance, précisant ses contours, devenant ainsi

entretenir de façon délibérée une tension entre les polarités de l'oral et de l'écrit, et à jouer systématiquement de cette tension dans son processus de créativité poétique. Avec ces renseignements, nous pouvons envisager le rap comme une forme de littérature, en montrant que les rappeurs s'inspirent de près ou de loin à des écrits et des auteurs littéraires. Nous étudierons d'une part un rap entre critique et correction, en analysant la volonté des rappeurs de « transmettre un message » à l'intérieur

Université Sidi Mohamed Ben Abdellah Faculté des Lettres et des Sciences Humaines Sais – Fès Département de Langue et de Littératures Françaises Projet de Fin d’Etudes Pour l’obtention de la Licence Fondamentale en Études Françaises Parcours : linguistique Réalisé par : Encadré par : Chadia jaghouta Chadya Qorchi M. MOHAMED NABIH Année Universitaire

conte merveilleux : Le conte populaire se définit selon trois critères : son oralité, la fixité relative de sa forme et le fait qu’il s’agisse d’un récit de fiction. Il s’inscrit d’abord dans ce vaste champ qu’en 1881 Paul Sébillet baptise de « littérature orale ». Le conte bénéficie de la transmission de bouche à oreille qui caractérise le savoir du peuple. Le mot conte a été synonyme de nouvelle jusqu’au début du XXème siècle. Ceci explique par exemple le titre des contes de Maupassant qui ne sont

article se propose d’examiner un domaine peu exploré de l’imaginaire artistique : celui qui touche aux soins du corps de la femme, à travers une forme spécifique ayant trait à l’hygiène féminine intime. Cette notion recouvre toutes les pratiques centrées sur l’entretien, la propreté et la surveillance de l’état du sexe féminin. Inscrit dans l’histoire plus large de l’hygiène et des soins du corps, cet aspect de la vie féminine a fait l’objet, dans toutes les civilisations, d’une série de règles d’usage