Le Costume

se retrouvait entouré de gens venus déguisés pour l’occasion. Un gimmick très suivi, indiquant que tout le monde avait envie de vivre la fête à fond. A l’entrée parmi les nombreux stands trônait une animation ou l’on se pressait pour revêtir un costume de sumo et en découdre avec ses amis. Bref une introduction plutôt festive donnant le ton de cette fête où l’on vient pour s’amuser, partager, plutôt que pour se montrer. Question rafraichissement les points de ventes sont nombreux, avec un personnel

de ressortir le texte et lui donner plus d’importance. B) Les Costumes : (croquis : Le Comte de Guiche) Le costume du comte de Guiche, est composé, d’un chapeau marron, à plumes colorées, d’un long manteau beige/marron, d’une tunique violette, une blouse blanche à nœud à l’intérieur de cette dernière, d’un pantalon noir et de bottes noires. Les vêtements donnent l’impression d’être en tissu et les chaussures en cuir. Dans le costume du Comte, le chapeau, est mis en valeur, il est retiré et « remis »

puces et de les manger). Des numéros de danse, d’acrobaties, des musiques vocales et/ou instrumentales, intervenaient aussi au court du spectacle. Personnages : La commedia dell'arte repose sur des personnages bien reconnaissables, grâce à leurs costumes, leurs masques et leurs caractères stéréotypés. Ces personnages sont souvent issus du théâtre du moyen-âge Arlequin, Scapin et Polichinelle appartiennent à la famille des Zanni, c'est-à-dire des valets, fourbes ou imbéciles, intrigants ou poltrons

personnages qui se bousculent, qui s'évitent - La caricature: le principe est de saisir quelques traits saillants des personnages et de les amplifier pour obtenir un effet comique - Les costumes: certains personnages portent des chapeaux ridicules, des sabots démesurés, des rubans attachés à leur costume - Le jeu des acteurs: il peut être poussé à l'outrance: grimaces, mimiques, gestes dans le dos d'un autre personnage ... , effets de voix, déplacements sur scène exagérés. -L'outrance

le journalisme d’investigations et de documentaires a permis la réalisation de « L’ICEBERG » L’ICEBERG, spectacle d’1h20 de cirque chorégraphié autour d’un pont d’éclairage où diverses acrobaties s’effectuent par huit danseurs-acrobates sans costume de scène : Arnaud Jamin, Sébastien Jolly, Valentine Mathiez, Guillaume Varin, Marion Soyer, Jérôme Pont, Mathilde Arsenault Van Volsem et Julie Travert. En arrière plan sur scène, défilent les toiles de Denis Robert, œuvres mi peinture mi collage

accentueront davantage. En outre, j’aimerais ajouter un escalier pour relier la cuisine et les salons. Maintenant, pour les costumiers : les costumes des personnages doivent évoquer la mode du début du siècle dernier. Le commissaire, joué par Stephan, devra porter un chapeau melon, un col dur « très haut » et un costume noir. Quant à l’auteur, Philippe, il portera un costume négligé des années 60 de manière à faire contraster les deux époques. À présent, je m’adresse aux comédiens et scénographes. Il faut

personnage en scène , peu à peu le costume se développe il est stéréotype (exemple : le manteau pour le roi pupre -rouge comme le sang ; des haillons pour les pauvre ; le long tricot de laine pour les divines …) . Le costume représentant pour les femmes a évolue avec l'utilisation des artifices (comme des peruches et des fausses potrines tenu par un colant sous la robe) Le theatre Grec et tres codifie et tres complexe ,avec des convontion de masques et des costumes , de decor et du gestuelle.

autres. C’est aussi une recherche d’identité face aux autres. Alors qu’il a toujours été rejeté par les autres, il espère pouvoir un jour se mêler à la société comme une personne à part entière, capable d’aimer et d’être aimé. L’évolution de ses costumes : Son premier vêtement se constitue de boyaux de poissons et marque le contraste ultime du personnage qui, né à l’endroit le plus pestilentiel d’Europe, reçoit le meilleur odorat qui soit et deviendra un personnage qui tout le long de l’histoire

cette interdiction et décidèrent de la tourner en dérision à leur façon. Ils participèrent d'abord au carnaval déguisés eux-mêmes en moines jusqu’à ce que tombât une nouvelle interdiction ! Alors faisant appel à leur imagination, ils créèrent un costume blanc avec capuchon, évoquant plus discrètement l'habit monacal… Ils ajoutèrent à ce déguisement un étrange masque, impersonnel, avec un très long nez rouge et pointu : les Blancs-Moussis étaient nés ! Il semblerait que leur première apparition dans

marque (Rugby, Polo, Rame) mais également le côté anglais chic. Le prix de ses costumes varie autour de 650 euros. La vente de ces derniers se fait en propre, de leurs boutiques. John Preston  Cette enseigne propose un assortiment important, le prix d’un costume étant d’environ 750 euros. Elle dispose d’une surface de vente de 200 m2 pour 5 salariés. Lagonda  Douze salariés, 2 échoppes à Paris pour des costumes variant de 400 à 550 euros. Old England  Trois boutiques en France dont une