Le Cou de la girafe

Flamand, Recherches géologiques et géographiques sur le Haut-Pays de l’Oranie, p. 744-5. — Noter que, même pendant la période dont nous parlons, il y avait dans l’Afrique du Nord des animaux qui s’accommodent aujourd’hui d’un climat chaud, mais sec : la girafe, le zèbre, le chameau. 2. A Gafsa, dans le Sud de la Tunisie, des alluvions superposés sur une grande épaisseur contiennent des outils paléolithiques offrant les types les plus primitifs. L’étude de la formation de ces alluvions a convaincu M. de

Destatte Sabine©2003-ISEFC-Cours de remédiation 17 - difficultés liées à la présence de A, 0 ou U • Ç devant a, o, u s'il faut prononcer [s] un forçat, un glaçon, une gerçure • G est suivi de U devant e ou i pour prononcer [g] guitare (mais girafe) — dialogue (mais loge) –langue (mais lange) • GU ou QU deviennent G ou C devant a ou o fabrication (mais fabrique) — gondole sauf : quelques exceptions (critiquable, quotidien) et les participes présents comme communiquant, provoquant. 3.Compétences

travaux d'extension du port de Zeebruges • Convoyeurs n'attendent plus (les) • Copie conforme • Coq chante à tous les étages (le)* • Coq en pâte • Coquins de la table (les) • Corbeille de fruits défendus • Corde au cou (La) • Cordon (le) • Cornac (le) • Corne de brume • Corniche du bout du monde (la) • Corps au coeur (un) • Correspondance • Corsets pour corps sages • Côté coeur, à tous coups, ça pique • Coucher de soleil

Aux malades, aux femmes qui viennent d'accoucher et aux jeunes éprouvés par la circoncision, on donne à boire du sang de boeuf mais sans sacrifier cependant l'animal. Le prélèvement est opéré en posant un garrot, une lanière de cuir, autour de son cou de façon à faire saillir la veine jugulaire qu'on incise alors avec la pointe d'une flèche. Après avoir ainsi recueilli dans l'inévitable courge - ou calebasse environ un litre de sang, on enduit la blessure de bouse pour arrêter l'hémorragie et cicatriser

impossible de considérer le profit trimestriel des souliers de Grandet comme un cadeau, tant ils étaient usés. La nécessité rendit cette pauvre fille si avare que Grandet avait fini par l'aimer comme on aime un chien, et Nanon s'était laissé mettre au cou un collier garni de pointes dont les piqûres ne la piquaient plus. Si Grandet coupait le pain avec un peu trop de parcimonie, elle ne s'en plaignait pas; elle participait gaiement aux profits hygiéniques que procurait le régime sévère de la maison où

impossible de considérer le profit trimestriel des souliers de Grandet comme un cadeau, tant ils étaient usés. La nécessité rendit cette pauvre fille si avare que Grandet avait fini par l’aimer comme on aime un chien, et Nanon s’était laissé mettre au cou un collier garni de pointes dont les piqûres ne la piquaient plus. Si Grandet coupait le pain avec un peu trop de parcimonie, elle ne s’en plaignait pas ; elle participait gaiement aux profits hygiéniques que procurait le régime sévère de la maison

impossible de considérer le profit trimestriel des souliers de Grandet comme un cadeau, tant ils étaient usés. La nécessité rendit cette pauvre fille si avare que Grandet avait fini par l’aimer comme on aime un chien, et Nanon s’était laissé mettre au cou un collier garni de pointes dont les piqûres ne la piquaient plus. Si Grandet coupait le pain avec un peu trop de parcimonie, elle ne s’en plaignait pas ; elle participait gaiement aux profits hygiéniques que procurait le régime sévère de la maison

demander • Donner la nature (ou classe grammaticale). • Donner la fonction. • Analyser (nature et fonction) un mot ou un groupe de mots. Exemple Fabu menaçait de lui tordre le cou, bien qu’il ne fût pas cruel, malgré le tatouage de ses bras et ses gros favoris. G. Flaubert, Un cœur simple. Analysez : « de lui tordre le cou », « cruel ». Adopter la bonne méthode Pour trouver la nature (ou classe grammaticale) d’un mot ou d’un groupe de mots, vous devez connaître les grandes catégories de mots décrites

tendrement des nouvelles de son mari, parlait plus tendrement encore, sur la fin du repas, à un jeune mage. Il vit un magistrat qui, en présence de sa femme, pressait avec vivacité une veuve; et cette veuve indulgente avait une main passée autour du cou du magistrat, tandis qu’elle tendait l’autre à un jeune citoyen très beau et très modeste. La femme du magistrat se leva de table la première, pour aller entretenir dans un cabinet voisin son directeur qui arrivait trop tard, et qu’on avait attendu

impossible de considérer le profit trimestriel des souliers de Grandet comme un cadeau, tant ils étaient usés. La nécessité rendit cette pauvre fille si avare que Grandet avait fini par l’aimer comme on aime un chien, et Nanon s’était laissé mettre au cou un collier garni de pointes dont les piqûres ne la piquaient plus. Si Grandet coupait le pain avec un peu trop de parcimonie, elle ne s’en plaignait pas ; elle participait gaiement aux profits hygiéniques que procurait le régime sévère de la maison