Le Coucher Du Soleil Romantique Baudelaire

MODERNITÉ DU LIEU COMMUN En marge de Flaubert : Novembre Le moderne se contente de peu. Valéry, Cahier B, 1910 Car existe-t-il [...] quelque chose de plus charmant, de plus fertile et d'une nature plus positivement exci tante que le lieu commun ? Baudelaire, Salon de 1859 II est trop facile de dire ce que parait être un lieu commun. Mais ce qu'il est, en réalité, qui pourra le dire ? Léon Bloy, Exégèse des lieux communs 1. Ecrire, se taire II pourrait sembler paradoxal de parler d'une modernité

poèmes en prose de Charles BAUDELAIRE dont est analysé le premier : ‘’L’étranger’’ (pages 2-5), tandis que les autres sont simplement résumés et commentés, et que figure à la fin (pages 20-27) un commentaire sur l’ensemble. Bonne lecture ! http://www.comptoirlitteraire.com/ 2 Le recueil est précédé d'une lettre ‘’À Arsène Houssaye’’, qui tient lieu à la fois de dédicace, de préface et de manifeste. Baudelaire y présente la forme nouvelle

(Kundera) ___________________________________________________________1 4 (b) Le beau est toujours bizarre (Baudelaire) ___________________________________________15 (c) Dionysiaque et apollin ien (Niet zsche) ______________________________________________15 (d) Beauté et utilité (Gautier) _______________________________________________________16 (e) Beauté et mysticisme (Platon, Baudelaire, Mallarmé…) ________________________________17 B. Le vrai ____________________________________________________________

quand le soleil la caressait », « qu’on les distinguait à peine ». À ce procédé, qui vise à renforcer l’illusion romanesque, s’ajoutent le verbe « sembler » « elle semblait un portrait de Veronese », «  sa voix semblait parfois trop aigue » et la comparaison « on aurait dit », qui donne l’impression d’un regard subjectif sur la jeune fille. Malgré la fadeur de l’aspect de la jeune fille, l’auteur ne fait pas un portrait figé d’elle, en effet il indique des changements liés à la lumière du soleil, en

mythique littéraire ------------------------------------------------ | 42 | Conclusion -------------------------------------------------------------------------------- | 43 | | | Partie II : Analyse textuelle Chapitre I : Poésie en vers de Baudelaire : Thèmes d'un bestiaire -------- | 45 | | | Introduction ------------------------------------------------------------------------------- | 45 | I- L'Homme-animal : Le bestiaire de l'identification ----------------------------------------

rend-il compte du monde ? Lectures analytiques : Rimbaud, Poésies, « La bateau ivre », 1871. Mallarmé, Poésies, « Brise marine », 1887. Apollinaire, Alcools, « Zone », 1913. Documents complémentaires : 1. Baudelaire, Les Fleurs du Mal, « Parfum exotique », 1857. 2. Baudelaire, Le spleen de Paris, « Les fenêtres », 1869. 3. Rimbaud, Illuminations, « Ville », 1873-1875. 4. Rimbaud, Lettre à Paul Démeny dite « du Voyant ». OBJET D’ETUDE I : LA POESIE Séquence 2 : la poétique de Ponge

utilise l'image " Un grand soleil d'hiver éclaire la colline ", qui laisse prévoir qu'après l'hiver symbolisant la mort et la guerre, viendra la chaleur et la clarté redonnant vie. L'idée de victoire et de bonheur futur est également servie par l'enfant, auquel il fait allusion " Et je te dis de vivre et d'avoir un enfant " qui symbolise la vie et la renaissance. De plus, on constate un réel contraste entre ce passage et le reste du poème. « Un grand soleil » symbole d’espoir et de vie

répit les tristes cheminées 18 Fument, et que de suie une errante prison 19 Eteigne dans l'horreur de ses noires traînées 20 Le soleil se mourant jaunâtre à l'horizon! 21 - Le Ciel est mort. - Vers toi, j'accours! donne, ô matière 22 L'oubli de l'Idéal cruel et du Péché 23 A ce martyr qui vient partager la litière 24 Où le bétail heureux des hommes est couché. 25 Car j'y veux, puisque enfin ma cervelle vidée 26 Comme le pot de fard gisant au pied d'un mur 27 N'a plus l'art d'attifer

jamais chercher à s'infliger des souffrances, ni à faire semblant, ou encore à se mystifier elle-même. Mademoiselle Pârvati se languissait de pleines lunes argentées, de Princes irrésistibles et Charmants, de légers baisers sucrés, de poèmes romantiques, de soirées enchantées... Oui, elle aurait tant voulu que Felipe lui composât des acrostiches... R etenue et dense E toilée, immense V erte mer en transe I voire de la chance E ternelle cadence N ée de mon espérance S ouris, vis et danse

faire. En bon soldat du romantisme, il est convoqué par Victor Hugo pour faire partie de la claque de soutien à Hernani, mission dont Gérard s'acquitte volontiers (voir Bataille d'Hernani). 1830 est l'année des deux révolutions : la révolution romantique à laquelle Gérard participe, et la révolution politique, celle des Trois Glorieuses à laquelle il ne participe qu'en badaud. La politique ne l'intéresse pas. Les barricades lui ont cependant inspiré un poème-fleuve : Le peuple, son nom, sa gloire