Le Courant Liberale Classique

Les courants de la pensée économique. Il existe en économie différents courants de pensée qui s’opposent radicalement les uns aux autres. Leurs désaccords portent sur des questions aussi essentielles que l’origine de la valeur des biens, l’origine des profits, l’importance de la demande dans l’économie, le degré de rationalité des agents, la formation des taux d’intérêts. Le plus célèbre d’entre eux est le courant « classique », (appartenant au grand courant « libéral ») apparu au XVIIIe siècle

des modèles de penser, des visions du monde. I- Les grands courants de la pensée économique. On situe la naissance de la science économique à partir d'Adam Smith, c'est-à-dire à la fin du XVIII ème siècle, qui correspond à une période de grands changements: la révolution industrielle. En réalité, il existait déjà cette pensée classique, une certaine réflexion économique. A- Les réflexions économiques avant l'école classique. 1)Antiquité et Moyen-Age. Aristote est un philosophe du

les pays Nordiques en réaction contre le modèle culturel classique des pays latins tels que la France et l’Italie. Ainsi au XVIIIème siècle, on constate déjà un retour aux sources et aux traditions nationales. En Grande-Bretagne la première génération de romantiques se situe à la fin du XVIIIème siècle avec notamment Wordsworth, Coleridge. La deuxième génération est encore plus intensément romantique : entre 1812 et 1824, ce courant est alimenté par des poètes (Byron, Shelley, Keats), des romanciers

économique et sociale », cette définition du site vie-publique.fr sur le rôle économique de l’État exprime la complexité du sujet. Les classiques ou libéraux comme Adam Smith, pense que le rôle de l’État est d'assurer la sécurité du peuple. Pour eux, l’État ne doit pas intervenir dans l'économie, le marché est, selon eux, capable de l'autoréguler. Les classiques prônent donc la libre concurrence et l'ouverture des frontières. Les événements du XX ème siècle, tel que les 2 guerres Mondiales et la

LES PRINCIPAUX COURANTS ECONOMIQUES LE COURANT LIBERAL = Classiques (18eme) + Néoclassiques (Fin 19eme) Les classiques (A.Smith ; Ricardo ; Malthus ; J.b Say) I. LE MODELE DE L’HOMO OECONOMICUS Individualisme des agents économiques Individu = être rationnel qui décide seul de ce qui est bon pour lui. Utilitarisme : satisfaction maximum et Hédonisme : minimisation de l’effort DONC : Etat ne doit pas intervenir dans les décisions de l’individu, sinon effet pervers, servitude de l’individu

droite, souvent divisés en plusieurs partis chacun. Evidemment en désaccord sur le rôle de l’Etat, ces deux courants de pensées, hérités des années post-révolutionnaires, ne sauraient se résumer à « plus d’Etat » d’un côté et « moins d’Etat » de l’autre. Dès lors, il convient tout d’abord de présenter d’analyser le premier mode de pensée, hérité de Keynes (A), avant de s’attarder sur le modèle libéral (B). A – « Plus d’Etat » : l’Etat providence et les relances keynésiennes La base de la pensée keynésienne

27 27 2 Histoire la pensée économique 2.1 Les classiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.1.1 Les courants de pensées classiques . . . . . . . . . . . . . . . 2.1.2 L’école classique anglaise . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.1.3 L’école classique française . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2 La pensée de Marx . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2.1 La position de Marx face aux classiques . . . . . . . . . . . . 2.2.2 La théorie de la

C – LES FONDEMENTS THÉORIQUES DE LA MACROÉCONOMIE 1 – Le point de vue des classiques: la loi de l'offre de J.B.Say a) – L'offre crée sa propre demande 1. Les « économistes classiques » libéraux (Adam Smith, David Ricardo, Jean-Baptiste Say…) partent de la production (l’offre) pour analyser le circuit macroéconomique. En 1803, Jean-Baptiste Say élabore sa « Théorie de l'offre » selon laquelle « l'offre crée sa propre demande » ou encore « les produits s'échangent contre des produits ». Autrement

marcher, et vous presenterez les arguments a l'avantage et contre le marcher. Adam Smith, Grace a la main invisible, le marche conduit a l'equilibre general. La concurrence fait baisser les prix, ce qui est bon pour les consommateurs. Pour les liberaux, la liberte d'entreprendre, c'est rechercher a maximiser son profit et limiter les couts de production. Keynes, chez lui le marche engendre une situation du sous emploi, le marcher a des failles et des limites, il y a des dysfonctionnement, ce

Les thèses libérales et keynésiennes s’opposent autour du rôle que doit jouer l’Etat, selon les libéraux le rôle de celui-ci doit se limiter aux trois premières fonctions régaliennes ; assurer la sécurité du territoire et le maintient de l’ordre, définir le droit et rendre la justice. En revanche les keynésiens, qui récusent la loi des débouchés, considèrent le marché comme imparfait et pensent que l’Etat à une rôle à jouer afin d’atteindre l’optimum économique. Quelles sont les différences majeures