Le Couvercle Baudelaire

a toujours soif ; la clepsydre se vide. Tantôt sonnera l’heure où le divin Hasard, Où l’auguste Vertu, ton épouse encor vierge, Où le repentir même (oh ! la dernière AUBERGE !), Où tout te dira : Meurs, vieux lâche ! il est trop tard ! ” Charles Baudelaire, Les fleurs du mal Le jour qui vient Il s’est levé le jour qui vient Et il me réchauffe le coeur Et il sourit dans sa splendeur C’est comme s’il me tendait la main. Un peu de rire un peu de pleurs Que me donneras-tu aujourd’hui Ajouteras-tu

lamente »… - l’accumulation « de vers, de billets doux, de procès, de romances » v. 3 - des métaphores « je suis un cimetière abhorré de la lune » v. 8 - des interjections « ô matière vivante » v. 19 - des comparaisons « comme un couvercle » v. 1 III- L’idéal esthétique 1) Dans « la Beauté », la beauté est associée à l’indifférence et au mal. En effet, cette femme est associée à l’indifférence car elle apparaît comme « un rêve de pierre » v. 1. De plus, elle est solitaire et

Provocateur en utilisant des sujets tabous, attitude cynique, le rire, en blasphème en imprécation, voyant sensible a l'excès exigent différent des autres, supérieur aux autres. III] un poète marginal Charles Baudelaire A) biographie →Né en 1821, d'un milieu bourgeois, d'un père amateur d'art qui meurt à 6ans. Sa mère se remarie avec le lieutenant Hoppick et lui est contre cet union et n'a jamais aimé son beau-père. → Une adolescence

» (Chateaubriand, Génie du Christianisme) Spleen : Généralement, c’est un mot d'origine anglaise pour désigner un état d'ennui mélancolique. Il peut aussi désigner une angoisse plus profonde. Baudelaire a intitulé 4 poèmes Spleen dont voici un quatrain: "Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis Et que de l'horizon embrassant tout le cercle Il nous reste un jour noir plus triste que les nuits ‘’ 2. Histoire du

représentation * Œuvre intégrale : Fin de Partie (1947) de Samuel Beckett, aux éditons de Minuit Lecture analytique des passages: * De la page 11 à la page 20, jusqu'à « il va à la porte » * De la page 27 à la page 31, de « Nagg frappe sur le couvercle de la poubelle », jusqu'à « parler plus bas ». * De la page 42 à la page 43, de « Je me sens un peu trop à gauche » jusqu'à « parler plus bas » * De la page 67 à la page 73, jusqu'à « prions dieu » * De la page 100 à la page 110, de « cessons

poétique : « Moi, comme les chiens… », Les Chants de Maldoror (1869), Lautréamont / Prolongement pour ouverture : « Spleen » (« Quand le ciel bas et lourd […] »), LesFleurs du mal (1857), Baudelaire Objectif : étudier un autoportrait à la fois poétique et monstrueux Isidore Ducasse publie, sous le nom de Lautréamont, Les

Les Fleurs du Mal, Baudelaire Charles Baudelaire est un poète français du XIXe siècle. Il mène une vie marginale et de bohème. Il perdu son père a l'age de six ans et sous la pression de sa famille, en 1841, il embarqua pour les côtes d’Afrique et de l’Orient. En rentrant,de son premier voyage, à Paris il écrivit ses premiers textes. Il tomba sous le charme de Jeanne Duval. Dans le plupart de ses poèmes Baudelaire exprime la mélancolie, la solitude c'est le spleen. Il a voulu se démarquer

le simple orfèvre semble plus savants que les savants cependant la portée de cette réflexion ne se limite pas au XVII  siècle ,de nos jours encore certains scientifiques feraient bien de suivre les conseils de Fontenelle (ex :rael ) Spleen Baudelaire (Les Fleurs du Mal, Spleen et idéal) I- Introduction : Les Fleurs du Mal : voir explication Parfum exotique. Spleen : est le 78 de la section Spleen et idéal, mais c’est aussi le 4ème poème que l’auteur intitule "Spleen" (les 75,76

Les Fleurs du Mal Charles Baudelaire Les Fleurs du Mal Table of Contents Les Fleurs du Mal......................................................................................................................................................1 Charles Baudelaire.........................................................................................................................................1 PRÉFACE...........................................................................................

peints ». Ces rues industrielles qui se dessinent avec ce champ lexical de la peinture avec les mots « ébauche, peints, dépeints » nous fait grandement penser à Baudelaire et son spleen. Tout d’abord avec le langage poétique et la dernière phrase de l’extrait qui nous fait peser au vers « Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle ». De plus « les fumées de la banlieue » nous fais penser à l’industrie et au fog londonien du