Le Crépuscule Du Matin Champs Lexical

le spectateur s’attend à voir les acteurs évoluer aux différentes heures de la journée : le matin, l’après midi, le soir la nuit, l’aube… Ainsi se trouverons soulignés les cinq séquences du Cid. Acte I : grande lumière de l’après midi. Acte II : lumière tamisée du crépuscule. Acte III : la nuit tombante ; la maison de Chimène éclairée par le clair de lune. Acte IV : la lumière tamisée du petit matin. Acte V : grande lumière des heures chaudes de la matinée. Les accessoires : l’épée qui

Mais à quoi bon attendre, là où il n’y a rien à pre n d re? » se dit-il. Sur ce, il parc o u rt tout un arpent7, sans ralentir, en suivant un sentier, ce qui l’amène à un chemin de traverse. Tendant le cou, il aperçoit dans un enclos tout près d’un champ d’avoine, une abbaye de moines blancs8 avec une ferme attenante9 qu’il décide de prendre pour cible. Elle était solidement construite avec des murs en pierre grise fort dure – vous pouvez m’en cro i re – et entourée d’un fossé aux bords escarpés

seulement comme l’éditeur de cet original Américain cosmopolite. L’ancienne gare de Cahors Voyageuse ! ô cosmopolite1 ! à présent Désaffectée, rangée, retirée des affaires. Un peu en retrait de la voie, Vieille et rose au milieu des miracles du matin, Avec ta marquise2 inutile 5 Tu étends au soleil des collines ton quai vide (Ce quai qu’autrefois balayait La robe d’air tourbillonnant des grands express) Ton quai silencieux au bord d’une prairie, Avec les portes toujours fermées de tes salles

plafond ». La pendule qui sonne les douze coups de minuit fait écho aux événements lugubres qui se déroulent dans ces ruines. 2. Qu’éprouve Pauline ? Comment cela se manifeste-t-il ? Pauline éprouve de la peur et cela se manifeste par l’emploi du champ lexical de la terreur : « terreur », « bondir d’effroi », « agonie de la terreur ». Le personnage semble pétrifié, « immobile de terreur », « retenant son haleine ». Cette peur se manifeste Pauline 15 aussi par des gestes brusques : la jeune femme

subjonctif . L’accord du participe passé . . . . Les homonymes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 80 ¼ ¿ Le style Champ sémantique et champ lexical . . . . . . . . . . . . . . . . Les figures de style . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 92 ¾ Les questions de cours 97 Les tests . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les corrigés . .

cicatrices » qui fait songer au personnage de mort-vivant crée par Mary Shelley, Frankenstein ; — une atmosphère sombre et pesante qui évoque la mort : « obscures » (p. 17), « écrasées » (p. 17), « noire » (p. 18), « souterraine » (p. 19) ; — le champ lexical de la peur et de l’étrange qui renvoie à la peur de la mort : « formes bizarres » (p. 17), « reflets verdâtres » (p. 17), « air inquiet » (p. 18). ❸ Les premiers chapitres du roman insistent sur la monotonie de la vie des Raquin. Montrez-le en

subordonnées ; modes et concordance des temps ; valeurs du conditionnel 114 – ortHogrAPHe : dictée préparée ; accord de l’adjectif 115 – conJugAison : temps du passé ; verbes pronominaux ; subjonctif imparfait 116 – VocABuLAire, Figures de stYLe : champs lexicaux ; comparaisons, métaphores, hyperboles 116 OUTILS DE LA LANGUE – cHoisisseZ une Lecture 118 – teneZ Votre cArnet de Lecture 119 – ActiVités d’orAL : faire un compte rendu de lecture ; présenter un travail de groupe et débattre 119 – Lire

particulière, Thérèse Raquin, d’Émile Zola. A Bonjour, Gervaise Avant d’aborder, Thérèse Raquin Voici le premier paragraphe d’un autre roman d’Émile Zola (1840-1902), L’Assommoir (1876). Gervaise avait attendu Lantier jusqu’à deux heures du matin. Puis, toute frissonnante d’être restée en camisole à l’air vif de la fenêtre, elle s’était assoupie, jetée en travers du lit, fiévreuse, les joues trempées de larmes. Depuis huit jours, au sortir du Veau à deux têtes, où ils mangeaient, il l’envoyait

Muse est une allégorie de la misère du poète Œuvre d’art = marchandise + Le poème sert au poète à « gagner son pain » C. Du matériel au spirituel Le poème propose deux alternativers pour « gagner son pain » : Chanter des Te Deum : spirituel, champ lexical de la religion « enfant de chœur »  « encensoir »  rejeté car elle n’y croit pas «  auxquels tu ne crois guère » «  étaler ses appats » : matériel, vulgaire  objectif : «  faire épanouir la rate du vulgaire » = faire rire la foule (« saltimbanque »)

quoi le mot « abeilles » est remplacé ? Le mot abeilles est remplacé par un substitut - Dans quel but a-t-on utilisé cette substitution ? Le substitut est utilisé afin d’éviter la répétition Insecte …………………..substitut lexical Abeille…………………….mot spécifique Insecte……………………mot générique A retenir : Le mot générique : il englobe des mots spécifiques. Il désigne une définition sous laquelle on peut regrouper d’autres mots. Exercice d’application : P37