Le Culte Impérial

Rome. La défense de l’empire n’est pas qu’une condition c’est aussi un devoir pour les citoyens romains. Les devoirs qu’Aelius Aristide ne mentionnent pas sont : que tous les citoyens romains doivent participer aux cultes publics et surtout au culte impérial, l’obligation de se faire recenser, sous peine de perte de la citoyenneté. Le recensement permettait de rattacher chaque citoyen à une tribu d’évaluer sa fortune, son rang et sa centurie, l’obligation de servir dans la légion romaine. Sous la

était restée grande.Dès sa douxième année, celui que l' on surnommait Carcalla en raison d' une courte veste gauloise qu' il aimait porter reçut le titre d' Auguste mais dut attendre la mort de son père, en 211, pour lui succéder dans la fonction impériale qu' il devait malheureusement partager avec son frère cadet Geta. Caracalla assassinat son frère de sa propre main et élimina tous ses partisans, dont le célèbre juriste Papinien. L' empereur mena plusieurs expéditions dans les années qui suivirent

Malgré sa mauvaise réputation, le syncrétisme est le mode religieux le plus répandu au monde. Exemples via le catholicisme romain : -25 décembre : Les chrétiens de Rome ont choisi le 25 décembre comme jour de la naissance du christ afin d’imiter le culte du sol invictus (soleil invaincu), qui se déroulait au solstice d’hiver. -Bûche de Noël (autrefois une méthode de divination : on jugeait de l’année à venir selon la façon dont la bûche se consumait). -La Toussaint fait écho à une fête de changement

Objets d'étude :  La poésie - Convaincre, persuader et délibérer. Textes :  Texte A : « La chanson des Canuts » (1831) Texte B : Victor Hugo (1802-1885), Châtiments (1853), « Le Manteau Impérial » Texte C : Pierre Emmanuel (1916-1984), Jour de colère (1942), « Hymne de la liberté » Annexe : Jean-Paul Sartre (1905-1980), Qu'est-ce que la littérature ? (1948).  Texte A :  « La chanson des Canuts » (1831) chanson composée par Aristide Bruant en 1910 qui relate l'insurrection, en 1831, des ouvriers

christianisme •       Les chrétiens sont d’abord persécutés   -         Contrairement aux païens (ceux qui ne sont pas chrétiens) les chrétiens sont monothéistes et refusent de vénérer l’empereur comme l’exige le pouvoir romain (refus du culte impérial). -         Les premiers chrétiens sont donc pourchassés et parfois tués : on les appelle les martyrs car ils préfèrent mourir que renoncer à leur religion (ex. le martyr de Perpétue). -         Mais malgré ces martyrs les chrétiens

nouvelles administrations Le fondement juridique du pouvoir de l’Empereur est l’imperium (pouvoir de commandement suprême). Il se fonde aussi sur l’autoritas (auparavant c’était le sénat qui l’avait, autorité morale, pouvoir d’influence) et le culte impérial c'est-à-dire que peu à peu il va y avoir une divinisation de l’Empereur qui apparait d’abord dans l’empire orientale puis va se répandre sur le reste de l’empire. A partir du 3e siècle, l’Empereur sera un Dieu de son Vivant alors qu’avant il

Taishi décrète que le shinto est la religion officielle de la cour impériale du Japon. Ce statut n’est maintenu que jusqu’en 1946. En 682, l’empereur japonais Temmu a ordonné de collecter les faits marquants de son pays. Les mythes d’origine du Japon ont été regroupés en 712 dans un livre appelé Kojiki. Ce livre est devenu le livre sacré du shintoïsme. ⇨ Le shinto est né d’un mélange entre animisme, shamanisme, et de culte des ancêtres. Peu à peu tous ces cultes de la fertilité, ces vénérations

|La grande muraille de Chine. | Les origines Le Confucianisme est un ensemble d'enseignements moraux qui a vu le jour en Chine aux VIème et VIIème siècles avant J.C. Il repose sur des institutions telles que la piété filiale et le culte des ancêtres. C'est le système philosophique qui a été le plus suivi en Chine et il a coexisté pendant des siècles avec le Taoïsme et le Bouddhisme. |[pic] |Confucius. | Son fondateur est Confucius (-551,-479). Né à Lu

aussi des stèles figurées d’époque préromaine ou romaine dont la datation n’est pas toujours aisée et dont l’interprétation reste très discutée. Il en va de même pour les divinités qui apparaissent sur les monnaies des cités de Numidie. Les lieux de culte, sanctuaires ruraux très marqués par l’influence punique ou simples lieux remarquables (grottes) ont fait l’objet d’une fréquentation que l’absence de sources écrites ne nous permet pas d’analyser précisément. Au total nous savons donc très peu de

quelque chose de sectaire. A Rome, c’était le contraire. Les Romains accueillaient volontiers les divinités venues d’ailleurs. Rome connaît notamment l’influence de la Grèce avec Hercule par exemple, qui est intégré à Rome au 8ème siècle ACN et devient culte au 15ème siècle ACN. Il protège le commerce et amène la victoire. Esculape, a été introduit en 291 ACN dans le but de mettre fin à une épidémie. Rome n’emprunte pas ses divinités qu’à la Grèce mais aussi à l’Orient. En 240 ACN, Rome est menacé, les