Le Cycle De Vie Du Métier De Danone

des communautés de pratique chez Schneider Electric. Je remercie aussi les membres de la communauté CoP-1 des knowledge managers de grandes entreprises européennes francophones, et tout particulièrement Élizabeth Bila d’Arisem, Benedikt Benenati de Danone, Pierre Prével du Groupe Crédit Agricole SA, Éric Laurent de La Banque Postale, Philippe Drouillon de Solvay… Merci aussi à mes collègues de l’Institut Boostzone, et en premier lieu à Dominique Turcq. Ensemble, nous travaillons à clarifier ce concept

avec l'électricité, le téléphone et le moteur à explosion 3 ème Rev = 1970 le département américain invente l’arbalète 1971 = Intel microprocesseur 1967 = Apple premier ordinateur bureau Schumpeter (destruction créatrice) > le monde évolue par cycle, par phase notamment avec le rôle moteur de l'innovation, des innovateurs. Il parle d'innovation majeure et d'innovations secondaires par grappes. = Banzai technologie. Certain disent qu'aujourd'hui on se rapproche d'une 4ème Révolution avec les nanotechnologies

opportunités de développement B.1. La mission de l’E° Accomplissement d’une tache bien spécifique. La définition de la mission d’entreprise doit répondre à 4 questions * « Quel est notre métier ? » * « Qui sont nos clients ? » * « Que leur apportons nous ? » * « Que devrait être notre métier ? » Pour être utile, celle-ci doit rassembler 3 caractéristiques - But précis - Valeurs distinctives - Champ concurrentiel. Ex : Mission LVMH * Ambassadeur de l’art de vivre occidental

entreprises bénéficient des économies internes et externes (économies d’échelle), ce qui leur permet de grandir et d’acquérir un pouvoir de marché synonyme de marché concentré et donc de concurrence imparfaite. Cependant, il estime qu’il existe un cycle de vie des entreprises et que les entreprises vieillissantes vont décliner et vont sortir du marché, ce qui va réinstaurer la situation de concurrence. Marshall est considéré comme le véritable pionnier de l’économie industrielle. 3) La nouvelle

véhicules pour Renault, agences publicitaires gérant des budgets importants…), cette structure répond à une logique de transversalité. On la retrouve aussi dans les entreprises multinationales, qui peuvent ainsi adopter un découpage par fonctions, par métiers (divisions), ou par zones géographiques. B. Les enjeux de la structure matricielle En mettant en place une structure matricielle, l’entreprise favorise les relations transversales et la collaboration entre salariés sur un thème commun (conception

sociodémographiques, est définie à partir de critères qualitatifs opérationnels et explicatifs du comportement comme : - Attentes (avantages recherchés...) - Attitudes - Comportements (marques achetées, habitudes de consommation...) - Style de vie (activités pratiquées, centres d’intérêts...) - Personnalité (valeurs...) En communication, 4 catégories de cibles peuvent être distinguées : - Les consommateurs (communication marketing) - Les collaborateurs (communication interne) - Les citoyens

missions d’intérêt général). Approche mercatique : notion d’avantage compétitif Métier : savoir-faire spécifique, différentiel, source d’avantage compétitif. Mission : réponse mercatique à des besoins exprimés plus ou moins fortement sur les marchés transversalisés. D’où le rôle de la marque dans les grandes entreprises ; il faut donner du sens aux différents produits proposés aux consommateurs (exemple Danone vend de la santé). 6) Entreprise et environnement(s) : L'entreprise est un système

l’impératif moral. C’est tout d’abord l’évolution de nos modes de vies, les progrès techniques qui permettent l’accélération des échanges, la transmission des savoirs, un niveau de plus en plus élevé d’éducation des populations mais c’est aussi la fin d’un cycle historique marqué par l’individualisme, le souci premier de l’épanouissement de la personne et de sa liberté, qui ont entraîné un certain nombre de dérives. Bon nombres d’entreprises cherchent aujourd’hui au contraire, à se positionner aux antipodes

........................................................... 28 La rentabilité des clients ................................................................................................................................ 28 La mesure de la valeur à vie du client............................................................................................................ 28 Le capital client..............................................................................................................

générale…………………………………………..6 Partie I : AttijariWafaBank : Une banque nouvelle Introduction………………………………………………..9 Historique banque commerciale du Maroc……10 Wafabank………………………………………………….11 Fiche technique ATTIJARIWAFA BANK………12 Leadership dans les métiers de la banque et de la finance...............................................................13 Des partenariats de Premier plan…………………14 Processus de fusion dynamique…………………...15 Présentation du centre d’affaires Kenitra……..16 Expansion……………………………………………