Le Césarisme De Napoléon Ier

Louis-Napoléon Bonaparte, Karl Marx A la fois philosophe, sociologue, historien, économiste, auteur du Capital et du Manifeste du parti Communiste, Karl Marx analyse dans Le 18 brumaire de Louis-Napoléon Bonaparte les circonstances la chute de la IIème République. Proclamée en février 1948 après une révolution populaire contre le régime de Louis Philippe, celle-ci semble dès le départ défaillante et ne dure que quatre ans, jusqu'au coup d'Etat de Louis Napoléon Bonaparte, neveu de Napoléon Ier

divisent concernant la politique à mener pour défendre la République. La vie politique est marquée par la violence et l’instabilité. Malgré les victoires qui écartent la menace extérieure, la République s’affaiblit jusqu’à un coup d’État, en 1799. Napoléon Bonaparte consolide certains acquis de la Révolution et pose les bases de la France moderne. Cependant, il installe dès 1802 un pouvoir personnel contraire aux idéaux de 1789. Les guerres de conquête du Premier Empire en Europe engendrent un éveil

toutefois, le droit de vote est ouvert uniquement aux hommes de plus de 21 ans. Sélection par l’âge et le sexe. Constitution : ensemble des textes fondamentaux qui déterminent la forme d’un gouvernement ainsi que les droits et devoirs des citoyens. Césarisme démocratique : régime fonctionne en accord direct avec le peuple consulté fréquemment par plébiscite (cad qu’il accorde ou non sa confiance à l’Empereur). En réalité, entre 1852 et 1870 il n’y en a aucun. Souveraineté nationale : nation, peuple à

proclamation de Napoléon Bonaparte, Empereur des Français par senatus consulte, jusqu’à sa première abdication le 14 avril 1814, puis de son retour à Paris le 20 mars 1815, jusqu’à la séparation de la Commission Napoléon II le 7 juillet 1815. c) Contexte historique et juridique III Plus précisément, le Directoire, affaibli par des difficultés financières et une opposition violente, est renversé le 9 novembre 1799 (le 18 Brumaire dans le calendrier révolutionnaire) par le général Napoléon Bonaparte

Napoléon III président : Election fixée en Décembre 48. Victoire de Louis-Napoléon Bonaparte soutenu par le parti de l’ordre et Thiers (« une crétin que l’on mènera »). -> Prestige du nom, gloire du toton, et social (« L’extinction du paupérisme »). Le 10 Décembre, 5.500.000 voies dvt Cavaignac. Gouvernement compte Barrot et Falloux. Assemblée législative du 13 mai 49 confirme avec 500 députés du parti de l’ordre. Politique réactionnaire de l’Assemblée législative Politique de Napoléon : «

légende noire. Bonaparte doit tenir compte de la constitution. Les assemblées ont - en théorie - un rôle de contre-poids même s'il ne faut pas exagérer cette influence comme l'a fait Pietri dans Napoléon et le Parlement. Il serait plus juste de parler de « dictature de salut public » à la romaine. Napoléon ne manquera pas de le rappeler à Sainte-Hélène : « Lorsque je me mis à la tête des affaires, la France se trouvait dans le même état que Rome lorsqu'on déclarait qu'un dictateur était nécessaire

tardive. Ce candidat, fort de son patronyme, est Louis Napoléon Bonaparte. C'est une victoire écrasante pour ce dernier, mais il a à sa disposition une Assemblée divisée en toutes parts. La droite est divisée en monarchistes et bonapartistes, les premiers étant eux même divisés en légitimistes et orléanistes. À gauche, les républicains sont scindés entre modérés, radicaux et socialistes. Il n'en faut pas plus pour aiguiser le désir conquérant de Napoléon, étonnamment identique à son oncle. Il nomme des

un échec fondamental car la politique n'est pas seulement l'histoire des Princes, mais celle de toute la société. I- Mai 1814-juin 1815 : l'année des trois effondrements : A- Une première Restauration de compromis (mai 1814-mars 1815) : Napoléon a perdu sa bataille, l'Empire s'effondre et on fait face à la Restauration. Le Roi « rentre des fourgons de l'étranger ». C'est un homme de 59 ans qui arrive (né en 1755), il vivra jusqu'en 1924. Il a vécu la grande majorité de sa vie à l'étranger

Histoire de la France (1850-1890). Plan ; 1848-1870, les rêves avortés ; [p.2-5] - Début de la deuxième république, échec de l’illusion lyrique (1848-1851). [p.2-3] - Le second empire ou l’échec du césarisme (1851-1870). [p.3-5] *Deux parties ; l’empire autoritaire [p.3-4] l’empire libéral [p.4-5] 1870-1914, la troisième République triomphante ; - La République sans les républicains (1870-1879). [p.6-7] *La commune [p.6] La difficile mise en place

Reims et le sang de Saint Louis. » 3. Les Français pensaient au même candidat : Louis Napoléon Bonaparte, couvert de ridicule lors de ses équipées précédentes, notamment à Boulogne. Mais le candidat est mésestimé par la classe politique, on le disait « crétin », « idiot »… Le pari est fait sur le peuple et la Providence : « Dieu et le Peuple se prononcent. » (Lamartine) Or, Lamartine est écrasé par Louis-Napoléon Bonaparte. L’inéluctable conflit constitutionnel et le coup d’État[modifier | modifier