Le Dernier Carré Les Miserables

elle sera méprisée, repoussée, vile à cause de moi, de moi qui l’aime de toutes les tendresses de mon cœur. Ô ma petite Marie bien-aimée ! Est-il bien vrai que tu auras honte et horreur de moi ? Misérable ! Quel crime j’ai commis, et quel crime je fais commettre à la société ! VICTOR HUGO, Le Dernier Jour d’un condamné, (Folio classique, pp101-102). En un clin d'œil le préau se vida de tout ce qui n'était pas argousin ou galérien. Les curieux de Paris allèrent s'abriter sous les auvents des

Mais cette définition est rapidement réfutée, car : (i) à coup sûr la vertu de l'esclave ne saurait être la capacité de commander. (ii) Mais surtout, il faudrait rajouter « avec justice et sans injustice » à la définition de Ménon, car, dit ce dernier, « la justice est vertu » (73d). En fait, ce qui rend le commandement vertueux, c'est une qualité supplémentaire : ici la justice. Or, la justice, est-ce une vertu ou est-ce la vertu ? demande Socrate. La justice n'est pas la seule vertu, il

son destin, il ne le contrôle pas et ainsi est le résultat de toutes les péripéties auxquelles il a essayé d'échapper. Citons un des romans les plus connus de la littérature française «Les misérables» de Hugo, qui nous présente des personnage types romantiques comme Jean Val Jean. La situation même de ce dernier est très représentative d'un personnage qui subit son destin : il est en cavale et essaye d'échapper à la police. Il n'a pas vraiment de but si ce n'est de s'en sortir vivant. A l'inverse

définition est rapidement réfutée, car : (i) à coup sûr la vertu de l'esclave ne saurait être la capacité de commander. (ii) Mais surtout, il faudrait rajouter « avec justice et sans injustice » à la définition de Ménon, car, dit ce dernier, « la justice est vertu » (73d). En fait, ce qui rend le commandement vertueux, c'est une qualité supplémentaire : ici la justice. Or, la justice, est-ce une vertu ou est-ce la vertu ? demande Socrate. La justice n'est pas la seule

Son portrait psychologique. → Misanthrope : v1 : sans nuance v24 : se sent trahit par le genre humain v26-27: hait tellement le genre humain qu'il serait capable de le fuir Atrabilaire : v13 : « sales emplois » : jugement v16-17 : « honteux », misérable : il s'indigne v24 : « têtebleu» Ce qui le pousse à cette haine, c'est l'hypocrisie qu'il dénonce à travers son réquisitoire. B. La dénonciation de l'hypocrisie. → « franc scérélat » v7 : traitre v8 : arrive à lire à travers le masque de l'hypocrisie

ÉTUDE D’UNE ŒUVRE INTÉGRALE : Le Dernier Jour d’un condamné de Victor Hugo Séance 1. Entrée dans le roman. Dominante : lecture. Objectif : comparer les sentiments du narrateur pour voir dans quelle mesure ils ont évolué. Supports : chapitre premier – dernier chapitre. I – Les sentiments du narrateur au début du roman - 1 - L’énonciation. Qui parle ? A qui ? Où ? Quand ? De quoi ? Dans quel(s) but(s) ? 2 - L’écriture au service du récit (construction des phrases, types

ÉTUDE D’UNE ŒUVRE INTÉGRALE : Le Dernier Jour d’un condamné de Victor Hugo Séance 1. Entrée dans le roman. Dominante : lecture. Objectif : comparer les sentiments du narrateur pour voir dans quelle mesure ils ont évolué. Supports : chapitre premier – dernier chapitre. I – Les sentiments du narrateur au début du roman - 1 - L’énonciation. Qui parle ? A qui ? Où ? Quand ? De quoi ? Dans quel(s) but(s) ? 2 - L’écriture au service du récit (construction des phrases, types de phrases, temps

Mais cette définition est rapidement réfutée, car : (i) à coup sûr la vertu de l'esclave ne saurait être la capacité de commander. (ii) Mais surtout, il faudrait rajouter « avec justice et sans injustice » à la définition de Ménon, car, dit ce dernier, « la justice est vertu » (73d). En fait, ce qui rend le commandement vertueux, c'est une qualité supplémentaire : ici la justice. Or, la justice, est-ce une vertu ou est-ce la vertu ? demande Socrate. La justice n'est pas la seule vertu, il en

mais le grand pere de ce dernier,en me praint insitamant,m'a confier un trésor de piece d'or a l'insu de tous;il l'a enfui au milieu du foyer,en me suppliant respecteussement de le lui garder.lorque celui ci meurt~tant il fut d'un naturel cupide!~jamais il ne voulut en parler a son fils et il préfera le laisser sans ressources plutot que de reveler (l'exisatnce de) son tresor a son fils.il lui laissa un petit carré de terre pour y vivre ac un grd labeur et de facon misérable.

L’Assommoir Émile Zola Gervaise Macquard est blanchisseuse dans le quartier de la Goutte d’or. Elle attend le retour de son compagnon Auguste Lantier. Ce dernier la trompe et découche. Ils logent à l’hôtel Boncœur. Elle regarde par la fenêtre du deuxième étage d’où elle voit tout un quartier populaire, misérable où les ouvriers vont à leur travail. Elle vient d’avoir une conversation avec Mme Boche. Chapitre 1 I. Une évocation réaliste du monde ouvrier. 1. Diverses catégories -