Le Dernier Cri

physiques provoquées par la chaleur : « L’air chaud met des larmes (...) tourner un peu la tête pour respirer... la lumière cruelle qui les éblouit » ; par l’immobilité : « Ils sont prisonniers (...) a obstrué leurs artères » ou par une chute : « ... ce cri de souffrance et de surprise ». Celles-ci anticipent la douleur du dénouement de l’intrigue qui se termine par l’accident mortel de Martine : « ... jette aux yeux des écalts meurtriers ». 2. Le deuxième et le troisième paragraphes semblent extérieurs

petite ; ce dernier, après un hochement de tête, se retourna vivement et abattit violement sa matraque sur les côtes de l’enfant. Il recommença l’opération autant de fois qu’il le jugea nécessaire sur tout le corps de la gamine. Cette dernière retomba lourdement au sol tel une brindille que l’on aurait rompue dès le premier coup de matraque. Affaiblie et recouverte de bleus, elle trouva tout de même la force de rassembler ses bras dans un ultime réflexe de survie tandis que son cri strident laissait

aussi pris conscience que « tuer n'est pas la solution ». Il reconnaît l'échec de son programme, de son règne. Cette prise de conscience annonce et justifie la scène finale de la pièce, c'est-à-dire le dénouement : il ne lui reste plus qu'à jouer le dernier acte de cette tragédie qu'il a lui-même montée. Caligula est d'abord seul en scène devant son miroir, il se lance dans un long monologue, ou plutôt dialogue avec lui-même, dans une longue tirade qui occupe les deux tiers de la scène. Il y fait le

général et son apparition lumineuse, soulignée par les trois adjectifs du vers 4, repris en chiasme au vers 27, contrastent avec la banalité morose. ·        Le personnage jaillit brutalement au vers 18 et les syllabes de son nom au vers 19 forment un cri. Cette rencontre amoureuse est très simple : c’est le croisement de deux sourires et l’échange de regards inconnus. ·         La reprise des trois adjectifs du vers 21 a aussi pour fonction de traduire l’émotion du jeune amoureux.   3/ Un amour rayonnant

femme en général et son apparition lumineuse, soulignée par les trois adjectifs du vers 4, repris en chiasme au vers 27, contraste avec la banalité morose.
Le personnage jaillit brutalement au vers 18 et les syllabes de son nom au vers 19 forment un cri. Cette rencontre amoureuse est très simple : c’est le croisement de deux sourires et l’échange de regards inconnus. 
La reprise des trois adjectifs du vers 21 a aussi pour fonction de traduire l’émotion du jeune amoureux.

3/ Un amour rayonnant

Le

depuis peu et côtoie Emma, qui habite aux Bertaux chez qui il rend visite au père Rouault. Il se rend compte de son amour naissant pour la charmante Emma. Extrait: entrevue entre Charles et Emma qui se retrouvent seuls pour la première fois. Ces derniers se rapprochent. Problématique: En quoi cet extrait évoque-t-il une relation vouée à l'échec? I) le réalisme flaubertien A) un univers campagnard clairement restitué. -On a une description détaillée car on trouve des thèmes spécifiques aux fermes

bruit…. Climat détendu et qui dépend fortement des personnalités de chacun. Situation d’urgence ou non Non, sauf s’il s’agit de remplacer un salarié dont la démission a surpris tout le monde Situation de crise ou non Non, sauf si c’est le dernier candidat et aucun n’a convenu. Durée 30 minutes. J Cas à étudier Cas N° Elément du contexte Impact sur la communication 1 Statut des intervenants Place prise dans l’entreprise Le point de vue du salarié est opposé à celui de

Fiche de lecture Etude du livre « Le Dernier Jour d’un condamné » écrit par Victor Hugo en 1829. Ce livre est édité en février 1829 par l’éditeur Charles Gosselin mais sans le nom de l’auteur. Ce n’est que 3 ans plus tard (15 mars 1832) que Victor Hugo complète sa nouvelle par une longue préface qu’il signe de son nom. Edition utilisé : Pocket. I . La situation de l’œuvre : 1) Victor Hugo est né le 26 février 1802 à Besançon et mort le 22 mai 1885 à Pais. C’est un écrivain, dramaturge, poète

Un cri terrible sortit du gosier de la jeune fille, ses yeux se dilatèrent, ses sourcils violemment tirés par une douleur inouïe, s’écartèrent avec horreur, elle lisait dans les yeux de Raphaël un de ces désirs furieux, jadis sa gloire à elle ; et à mesure que grandissait ce désir, la Peau en se contractant, lui chatouillait la main. Sans réfléchir, elle s’enfuit dans le salon voisin dont elle ferma la porte. — Pauline ! Pauline ! cria le moribond en courant après elle, je t’aime, je t’adore, je

Victor Hugo Le Dernier Jour d’un condamné L’homme face à la société 1.10.2 A quel genre littéraire appartient Le Dernier Jour d’un condamné ? A. Autobiographie Dans le livre, • Il raconte son histoire, sa vie mais ce n’est pas un récit rétrospectif. • C’est rédigé au passé mais le livre se déroule au présent. • Ce n’est pas une personne réelle mais en plus, ça nous relate qu’une toute petite partie de sa vie. • On ne sait rien du narrateur >>> il est énigmatique • Pas d’identification