Le Desir Selon Bergson

empêche l’homme d’être conscient de ses besoin. Il pense que faute de retourner à la simplicité naturelle les hommes courront ainsi inévitablement à leur ruine. Rousseau voit l’expérience comme le fait de ressentir les choses par soi-même et cela est selon lui la base de toute connaissance. IL le dit lui-même : « il faut sentir avant de penser ». Et le Fait d’obéir à lui-même le rendra libre. Par ailleurs à cette époque Eglise était le médiateur entre l’homme et Dieu. Le pape était le représentant de

la satisfaction des siens dépend de moi. Or chacun dépendant ainsi de tous les autres, aucun n'est plus le maître de personne. Si donc nous travaillons par nécessité, cette nécessité permet d'une certaine manière à chacun de se libérer des autres. Selon la thèse d'Adam Smith, le travail est donc une nécessité à la fois naturelle et sociale : ne pas ou ne plus travailler, c'est tout à la fois être menacé dans sa survie et dans son statut de membre de la communauté humaine ; c'est risquer de perdre

on pense le monde qui nous entourent grâce aux mots de notre langage. C’est en ce sens que Hegel écrit dans Philosophie de l’esprit  : « c’est dans les mots que nous pensons ». Le langage est donc inséparable de la pensée. Selon Hegel, une véritable pensée s’incarne dans le mot et ce que nous croyons intraduisible en mots, ne tient qu’au caractère très vague et indéfini de ce que nous pensons. Notre pensée est juste et structurée que lorsqu’elle arrive à s’incarner dans des

présents sur Terre, l'Homme est soumis au déterminisme. En effet, selon ce principe, chaque évènement est déterminé par un principe de causalité scientifique. Ainsi l'Homme n'échappe pas à la règle, et est soumis comme les animaux ou les objets inanimés à ce déterminisme. De manière simple on sait par exemple que l'Homme étant doté d'une masse, il est soumis au principe de gravité comme tous les objets qui l'entourent. On peut donc, selon ce principe assimiler l'Homme à un objet étudiable par la science

connaissance objective Obstacle épistémologique Théorie poétique des quatre éléments | Œuvres principales | La formation de l'esprit scientifique La psychanalyse du feu L'eau et les rêves | Influencé par | Kant, Hegel, Comte, Nietzsche, Lautréamont, Bergson, Jung | A influencé | Canguilhem, Althusser, G. Durand, Simondon, Dagognet, Foucault, J.-L. Le Moigne, D. Lecourt, P. Sloterdijk, D. Parrochia, V. Cespedes | modifier  | Gaston Bachelard, né à Bar-sur-Aube le 27 juin 1884 et mort à Paris le 16 octobre 1962

« c’est désirer très fort » ! Cela voudrait dire que la volonté et le désir sont de même nature et qu’il y a entre eux qu’une différence de degré. Nous disons la même chose au sujet de la différence entre le désir et la passion. Certes, désir et volonté sont deux modes de conscience, mais n’y a-t-il pas pourtant entre eux des différences ? On peut désirer sans aller jusqu’à vraiment vouloir. Mais pourrait-on vouloir sans désirer en même temps ? Une volonté qui ne porterait pas en elle un désir serait

passant de l’art à la philosophie, comme du moins vers le parfaitement accompli, mais de reconnaître que l’art est une expression indépassable et fondamentale du rapport que l’homme entretient avec la vie réelle. La vraie raison d’être de l’art, selon Nietzsche est donc, par la puissance de la volonté de créer, de célébrer et d’approuver le monde dans sa dimension tragique, en créant de belles illusions qui réconcilient l‘homme avec la vie : « Ce qui est essentiel dans l’art, c’est qu’il parachève

dit de ne pas le faire. À l’inverse, si un homme faisait le même acte, il serait alors capable de violence puisque sa raison lui dirait qu’il ne doit pas détruire d’êtres vivants pour le plaisir. La dialectique du maître et de l’esclave, qui, selon Hegel, donne à l’homme pour objectif de se réaliser en tant qu’esprit, donc de se différentier de l’animal, a pour origine une violence inouïe et gratuite entre deux hommes, entrainant un vainqueur et un vaincu, ou un maitre et un esclave. Cette

moi ? La conscience de soi semble supposer de se replier sur soi-même pour se contempler. Il semble plus facile de tricher avec les autres qu'avec soi-même. La solitude nous fait être alors que le contact avec autrui nous pousse à paraître.  Selon Hegel, … [Recopier définition d’Autrui, condition de la conscience de soi] Autrui nous empêcherait donc d'être nous-mêmes et la solitude serait le moyen de se retrouver car seul je ne peux jouer un personnage. Mais il ne faut pas en conclure que

qu’il arrive à franchir des étapes jusqu’à arriver à une vie sans pêcher. Selon eux, Dieu dans sa grandeur, et puisqu’il nous a fait à son image, ne pourrait pas permettre que l’âme qui n’a pu arriver à toucher sa parcelle divine, ne puisse pas avoir la possibilité de recommencer autant de fois qu’il le faut. C’est ainsi que comme on le disait tout à l’heure, la vie ne serait pas qu’une, mais plutôt une répétition de vie. Selon Nietzsche également, la vie est répétition. Dans sa théorie de l’éternel