Le Desir Selon Descartes

reste toujours ouverte et à sonder de plus. Toutefois, la première vérité reçu ou atteinte selon la méditation cartésienne reste l’essence du moi, c’est-à-dire son existence et sa manifestation loin de toute autre entité ; «La vérité première, celle qui résiste à tous les efforts du doute le plus extravagant, au mal génie, c'est le cogito : je pense, donc je suis.»[footnoteRef:1] [1: DESCARTES (René), Les Méditations métaphysiques, éd. Bordas, 1987. ] Nous sommes des sujets

Explication de texte |[pic] | |DESCARTES | [Introduction avec phrase d’accroche tirée de Platon] « J'éprouve, déclarait Calliclès, à l'égard de ceux qui cultivent la philosophie un sentiment très voisin de celui

quotidien. Il essaie de faire en sorte que ce que vous faites soit réaliste et socialement acceptable. C'est comme votre gestionnaire personnel. Le surmoi :Imaginez-le comme une petite voix à l'intérieur de votre tête qui vous dit ce qui est bien et mal selon les règles de la société et les valeurs que vous avez apprises de vos parents et d'autres personnes importantes. C'est comme votre conscience. Le ça :Le ça est comme une partie instinctive de vous. Il cherche simplement à obtenir ce qu'il veut quand

pourquoi, par exemple lors d’un vol il prend des risques dans le but de satisfaire un désir immédiat ou prémédité. En effet, le vol peut soit être commis pour satisfaire un besoin vital, soit, suite au désir de posséder tel ou tel objet ou même suite au désir de voler. De même lors d’un viol, les motivations du violeur sont souvent liées à ses désirs. L’Homme peut donc commettre des atrocités pour exaucer un désir lorsque la réalité s’oppose à la réalisation de celui-ci. Pour Epicure, il est normal

conscience, des défauts de clarté, et elle manquerait soi-disant d’authenticité, selon certains philosophes.Nous verrons à présent dans une première partie les phénomènes pouvant démontrer que la conscience est propre à l’homme. Puis, dans une seconde partie, que celle-ci se heurte à certaines limites.La conscience fonde notamment le sentiment de l'existence et, pour les penseurs modernes, la pensée de la mort. En effet, René Descartes met en évidence cette capacité de l'homme à se saisir comme pensant à travers

copie du réel. L’art doit représenter le beau>qui est dans la nature>donc représenter la nature. Il existe un réalisme psychologique qui mime les sentiments., et social. Il y a aussi des aspects déplaisants, vulgaires de l’art. Selon Aristote, l’art offre une purification de l’âme. La réalité n’est alors qu’un support pour l’imagination pour « faire beau ». L’artiste peint SON monde. L’œuvre d’art est subjective. Le bovarysme est un terme désignant les personnes se reconnaissant

encore être capable de les faire. Il faut donc, pour être libre, acquérir une certaine responsabilité qui nous permettrait d'assumer nos décisions. Tout le monde a une opinion différente au sujet de la liberté si elle est désirable ou non. Pour Descartes la liberté est : « affirmer ou nier, poursuivre ou fuir les choses que l’entendement nous propose, nous agissons en telle sorte que nous ne sentons point qu’aucune force extérieure nous contraigne » (1). De ma part, la liberté est importante

alors attirée vers la terre et comme ce serait sa seule impression consciente, elle croirait faire librement ce qu’elle désire alors qu’en fait son désir resterait l’effet de l’attraction terrestre. On peut se demander si être conscient suffit pour être libre. Spinoza montre par son exemple qu’être conscient peut donner l’impression illusoire d’être libre. Cependant quand Descartes nous parle d’une liberté d’indifférence, ne décrit-il pas une expérience intérieure convaincante ? Si je peux douter de

Pour Descartes, l'esprit s'identifiait avec la conscience, avec la pensée claire et distincte. On pouvait avoir accès, par la conscience, à tout ce qui se passe en nous, sans possibilité d'erreur (cf. fait que le malin génie ne pouvait nous tromper concernant tout ce qui se passe dans notre esprit). Dès le 17e, un contemporain de Descartes, Leibniz, a répondu à Descartes que cette conception du psychisme humain n'est pas valide, et est insuffisante. Pour Leibniz, contrairement à Descartes, on ne

collectivité. Relatif, quant à lui , du latin relatum qui veut dire rapporter, concerne quelque chose qui n'est ni absolu, ni indépendant, qui n'a de valeur que si il est en rapport avec autre chose. Si la morale peut être définie comme relative selon les cultures, les croyances et les sociétés, elle peut donc revêtir un caractère universel. Une morale serait ainsi applicable à tous les individus et les sociétés de la Terre. Il convient de ce fait d'examiner en quoi la morale dépendrait-elle