Le Devoir De La Comédie Est De Corriger Les Hommes

Cette comédie en un acte et en prose de Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux a été créée par les comédiens italiens en 1725 et publiée à Paris la même année. Beaumarchais a exprimé toute son estime pour cette courte comédie en la qualifiant de « petit bijou ». Cette pièce en onze scènes est à la fois une satire sociale et un regard de moraliste sur l’homme. Marivaux y renouvelle le canevas et les lazzis de la commedia dell’arte pour faire réfléchir les spectateurs à de nouveaux rapports sociaux

classiques. 4. la domination de la raison. 5. le combat des penchants et des désirs humains. 6. la précision du vocabulaire et du style. 7. l’emploi d’une langue riche, claire et noble. 8. le respect de la règle des trois unités. Dans ce devoir, on va essayer de repérer les caractéristiques propres au classicisme, qu’on vient de citer, présentes dans l’œuvre de ces deux écrivains du XVIIe siècle, Jean Racine et Pierre Corneille, pour ratifier leur appartenance à ce courant littéraire.

La pièce L’École des femmes a été écrite en 1662, peu après le mariage de Molière avec Armande Béjart. C’est une comédie à la structure rigide, divisée en cinq actes et écrite en alexandrins avec des rimes suivies. Cette pièce raconte l’histoire banale d’un vieil homme qui veut prendre la main d’une femme vingt-cinq ans plus jeune que lui. Elle comporte de nombreux monologues touchants et passionnants qui servent à exprimer l’évolution psychologique de cet homme au nom d’Arnolphe. Arnolphe Mon

lazzis de la commedia dell’arte pour faire réfléchir les spectateurs à de nouveaux rapports sociaux au moyen de l’utopie. Réutilisant le couple traditionnel maître-valet, Marivaux se livre à deux exercices concomitants : le laboratoire utopique et la comédie de mœurs. Il joue également sur deux registres, le comique et le pathétique. Ces dualités assumées donnent à la pièce son caractère onirique qui permet de mieux faire accepter la critique très novatrice pour l’époque. En effet Marivaux aborde l’aliénation

comiques qui font rire les passants. Ce sont des acteurs ambulants. Les acteurs permettent de faire vivre les personnages des textes. Un acteur est celui qui met en action le texte écrit ; il donne vie au personnage. Les acteurs sont essentiellement des hommes. Les acteurs étaient déconsidérés par l’église. Elle les excommuniait ; elle leur reprochait d’avoir une vie dissolue et immorale. Tabarin, bateleur (magicien-prestidigitateur) et son compère Montdory, médecin-vendeur ambulant, font des représentations

représentat° de l’imitat° d’une act° faite par des perso en act° et non par la narrat°. Tragédie : représentat° de perso élevés, ac nobles préoccupat°, avec langage soutenu. Le spectacle catastrophique doit corriger les mœurs = CATHARSIS : « purger les pass° par la crainte et la pitié ». Comédie : représentat° pers rang moyen de préoccupat° triviales et avec langage courant ou familier. Moyen-âge (période batarde du Vème au XVème après J-C en France) : 2 formes de théâtre Le théâtre des mystères :

lecture. 2nde 8 Constance. I. Molière. Molière, de son vrai nom Jean Baptiste Poquelin est né à Paris, baptisé le 15 janvier 1622. Il est mort à Paris le 17 février 1673. Il était dramaturge auteur de comédie, ainsi que comédien et chef de troupe de théâtre français sous le début du règne de Louis XIV. Il incarne l’auteur classique français par excellence. Fils d’un bourgeois parisien aisé, il eut une enfance marquée par des deuils successifs, le plus

« Le devoir de la comédie étant de corriger les hommes en les divertissant, j'ai cru, que, dans l'emploi où je me trouve, je n'avais rien de mieux à faire que d'attaquer par des peintures ridicules les vices de mon siècle ; et, comme l'hypocrisie, sans doute, en est un des plus grands, en est un des plus en usage, des plus incommodes et des plus dangereux, j'avais eu, Sire, la pensée que je ne rendrais pas un petit service à tous les honnêtes gens de votre royaume, si je faisais une comédie qui décriât

vérité ».  Quelle vision de la société proposent ces deux textes ? (3 points) Ces deux textes proposent, par le truchement du regard de l’avoué, une vision critique de la société parisienne de la Restauration et, plus largement, de la société des hommes. Derville est présenté comme un homme des plus clairvoyants, « un homme si bien placé pour connaître le fond des choses » : sa vision du monde est donc celle d’un homme lucide et avisé, qui sait faire tomber les masques, et voir ce qui est « cach(é)

l'expression d'une sensibilité individuelle. Nous nous demanderons si l'écrivain doit s'engager dans ses oeuvres. D'abord, nous verrons que l'engagement est un droit, souvent lié à la passion. Puis, nous verrons que l'engagement ne doit cependant pas être un devoir, sous peine d'atteinte à la liberté individuelle. L'engagement d'un écrivain est une question éminemment personnelle. D'abord, il s'agit d'un droit souvent exploité car un écrivain est toujours aux prises d'un monde, d'une réalité à laquelle