Le Devoir De Mémoire

Des épisodes qui ont marqué la mémoire collective. 18 juin 1940 : L’appel du général de Gaulle. Le général de Gaulle s’oppose à la signature d’un armistice avec l’Allemagne. Il gagne Londres ou il lance un appel à la résistance depuis la BBC. Peu entendu a l’époque, cet appel donne naissance à la France libre et marque le coup d’envoi de la résistance. 22 juin 1940 : Signature de l’armistice à Rethondes. 2Guerre Mondiale (3 septembre 1939 à 22 juin 1940.) Le 16 juin 1940 le chef du gouvernement

erreur à "trop en faire". Je ne vois plus le but finalement, culpabiliser, sensibiliser la différence est maintenant difficile à retrouver. En réalité, à trop faire on en oublie l'essentiel. Ce n'est plus un devoir de mémoire c'est devenu par le biais des films une banalisation de la mémoire. Les jeunes ne se trouvent plus sensibiliser par ces crimes nazis ou pas assez reconnaissons-le, seulement ces films ou autres documentaires à intervalles trop réguliers ne démantèlent-ils pas cette période tragique

Faut-il oublier le passé pour se donner un avenir ? Avenir : futur passé : action volonté il faut oublier de façon de façon volontaire Devoir de mémoire massacre esclavage Faire face au passé y compris pour les peuples Dépasser le passé pour se donner un avenir Bon oubli sain et mauvais oubli malsain Savoir oublier pour être heureux : nietch et freud raison d’être de la psychanalyse Refoulement : oubli Un début de problématisation ...  le passé, c'est ce qui n'est plus, ce dont l'existence

La mémoire du génocide juif en France: Synthèse 1945 1946 1953 1956 1960 1964 1969 1978 1987 1991 1993 1994 1997 1998 2000 2010 Début du mythe résistancialiste, mémoire sélective redécouverte du génocide, devoir de mémoire Mandats des présidents principaux sur la question de la mémoire juive. Charles de Gaulle 1959-1969 Pompidou 1969-1974 Mitterrand 1981-1995 Chirac 1995-2007 De 1945 à 1969 : Temps du Résistancialisme : Au cinéma, René Clément

Le Journal d'Hélène Berr est un journal, un témoignage, commencé en avril 1942 lorsqu'elle avait 21 ans. C'est une étudiante juive à la Sorbonne à Paris, passionnée de littérature qui parsème ses écrits de citations et de références. En 1944, elle est arrêtée, déportée à Drancy puis à Auschwitz le jour de ses 23 ans. Elle arrive en novembre au camp de Bergen-Belsen où elle mourra, quelques jours avant la libération du camp

PAGE : PAUL MILAN Chapitre 2 L’historien et les mémoires de la Seconde Guerre mondiale Table des matières 1 Une mémoire patriotique de la guerre 1.1 Le mythe d’une France totalement résistante. . . . . . . . . . . . . . 1.2 Le consensus "résistancialiste" . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.3 Une mémoire conflictuelle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 3 3 3 2 Le réveil des différentes mémoires de la guerre 2.1 Un nouveau contexte . . . . . . . .

|  | |FORMULAIRE DEVOIR Médicours | |Veuillez indiquer vos coordonnées complètes |N° élève:2002063 | |

Les Historiens et le Mémoires de la 2nd Guerre Mondiale Rappel : > Bilan humain : 550 000 morts dont 45% civils ( 160000 Déportés, 170000 soldats, 76 000 victimes des chambres à gaz, 40000 STO ) > La France vainqueur ? : régime de vichy... > Mémoires → plusieurs / parfois remisent en question comme JM LE PEN ( donc ces mémoires posent encore des problèmes aujourd'hui malgré le temps écoulé... ) → mémoires évoluent dans le temps, grâce aux travaux des historiens notamment I.

Chap 1 : Le rapport des sociétés et leur passé : l'Histoire et les mémoires de la seconde guerre mondiale. Intro : → La mémoire désigne le souvenir qu'une société entretient de son passé. Cette mémoire est sélective en fonction de ce que la société veut transmettre. Cette mémoire sélective peut faciliter ou gêner le travail des historiens, le travail des mémoires. → L'historien est confronté à des mémoires plurielles, certaines douloureuses et difficiles à accepter. Le travail des historiens

et les mémoires de la Seconde Guerre Mondiale en France : La France Gaullienne, le mythe résistancialiste : Sortir de la honte : De Gaulle à la libération exprime que les collaborateurs n’on été qu’une minorité et que la nation dans son ensemble était unie dans la résistance et que Vichy n’était ni la France ni la République. On a appelé ça le mythe résistancialiste : le mythe d’une France unis et résistante. Ce mythe va durer juste à la fin années 70, dans cette création de mémoire beaucoup